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    A Review of Thick-Billed Murre Banding in the Canadian Arctic, 1950–2010

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    Banding of Thick-billed Murres Uria lomvia in the Canadian Arctic was initiated by L.M. Tuck in the 1950s, when he visited three of the largest breeding colonies in Canada. Up to 2010, banding had been carried out at eight of the 10 major breeding colonies, with totals of more than 1000 birds banded at Coburg Island and Cape Hay, Bylot Island, in the High Arctic and at Digges Sound and Coats Island in northern Hudson Bay. Because murres are long-lived birds, large-scale banding can continue to provide useful results for decades. A total of about 89 000 bandings in Arctic Canada resulted in 1757 usable recoveries up to 2010, the vast majority of which were birds killed by hunters in West Greenland or Newfoundland and Labrador. There was no apparent change in the large-scale geographical pattern of recoveries over the period reviewed, but the proportion of bands recovered has fallen. Several periods of higher- or lower-than-expected recoveries can be attributed to particular events: anomalous ice conditions, intensive gill-net fisheries, and oiling at sea. Thus, banding provided a useful tool not only for identifying migration and wintering areas, but also for identifying transient sources of increased mortality.Les débuts du baguage des guillemots de Brünnich Uria lomvia dans l’Arctique canadien remontent aux années 1950, sous l’égide de L.M. Tuck à l’occasion de sa visite de trois des plus grandes colonies de nidification au Canada. Jusqu’en 2010, le baguage a été effectué à huit des dix grandes colonies de nidification, pour un total de plus de 1 000 oiseaux bagués à l’île Coburg, à cap Hay et à l’île Bylot, dans l’Extrême-Arctique, ainsi qu’au détroit de Digges et à l’île Coats, dans le nord de la baie d’Hudson. Puisque les guillemots de Brünnich sont des oiseaux qui vivent longtemps, le baguage à grande échelle peut donner des résultats pendant des années. Jusqu’en 2010, les quelque 89 000 baguages effectués dans l’Arctique canadien se sont traduits par 1 757 récupérations d’oiseaux utilisables, la vaste majorité d’entre eux ayant été tuée par des chasseurs de l’ouest du Groenland ou de Terre-Neuve-Labrador. Il n’y avait aucun changement apparent dans le modèle géographique à grande échelle des oiseaux récupérés au cours de la période examinée, mais la proportion de bagues récupérées a diminué. Plusieurs périodes de récupérations plus grandes ou moins grandes que prévu peuvent être attribuées à des événements particuliers : un état anormal des glaces, la pêche intensive au filet maillant et le mazoutage en mer. Par conséquent, le baguage a représenté un outil utile non seulement pour déterminer les lieux de migration et les aires d’hivernage, mais aussi pour repérer les sources transitoires de mortalité accrue.Mots clés : L.M. Tuck, guillemot de Brünnich, Uria lomvia, chasse, baguage, population

    Population Trends of Gulls and Arctic Terns Nesting in the Belcher Islands, Nunavut

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    Little information exists on the population trends of gulls and terns nesting in the Arctic. In 1997, we surveyed the number of glaucous gull (Larus hyperboreus), herring gull (Larus argentatus), and arctic tern (Sterna paradisaea) nests on the Belcher Islands (56°00'-57°30'N, 79°30'-80°00'W). We compared our results with the mean number of nests per island counted in the Belcher Islands in the late 1980s using the same survey methods. The mean number of gull nests per island had declined in all five archipelagos surveyed, and the decline was significant in three regions. The number of arctic tern nests had also declined in all three regions where they were originally present, although this decline was significant in only one region. The causes of these apparent declines are unknown. Adult mortality or emigration of gulls from the area may have occurred in response to changes in polynya formation during recent winters, which restricted access to marine food sources. Reproductive success of gulls may also be low in response to the recent 75% decline in common eiders nesting in the Belcher Islands. Eider eggs and ducklings are an important food source for gulls during the breeding season. The decline of nesting arctic terns may reflect either winter mortality of tern populations caused by unknown factors or emigration out of the Belcher Islands in response to regional egging and disturbance by local residents.Il existe peu de renseignements sur les tendances dans les changements de population des mouettes et sternes qui nichent dans l'Arctique. En 1997, on a établi un relevé des nids du goéland bourgmestre (Larus hyperboreus), du goéland argenté (Larus argentatus) et de la sterne arctique (Sterna paradisaea) dans les îles Belcher (56° 00' - 57° 30' de latit. N., 79° 30'- 80° 00' de longit. O.). Nous avons comparé nos résultats avec le nombre moyen de nids par île comptés dans les îles Belcher à la fin des années 1980, en employant les mêmes méthodes de relevés. Le nombre moyen de nids de goélands par île a baissé dans les cinq archipels étudiés, et la baisse s'est révélée importante dans trois régions. Le nombre de nids de sternes arctiques avait également baissé dans les trois régions où elles étaient présentes à l'origine, bien que ce déclin ne fût important que dans une seule région. On ne connaît pas les causes de ces baisses apparentes. La mortalité adulte ou l'émigration des goélands de cette zone aurait pu se produire en réponse aux changements survenus dans la formation de la polynie au cours des derniers hivers - changements qui auraient limité l'accès aux aliments venant de la mer. Le succès de reproduction du goéland pourrait aussi être bas suite au déclin récent de 75 p. cent chez l'eider à duvet qui niche dans les îles Belcher. Les oeufs d'eider et les oisons constituent une importante source alimentaire pour les goélands durant la saison de nidification. Le déclin de la sterne arctique peut être un symptôme soit de la mortalité hivernale des population de sternes dont la cause reste inconnue, soit d'une émigration des îles Belcher en réponse à la collecte des oeufs et à la perturbation dont sont responsables les habitants de la région

    Observations of Marine Birds and Mammals Wintering at Polynyas and Ice Edges in the Belcher Islands, Nunavut, Canada

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    In the Belcher Islands, southeast Hudson Bay, Canada, two types of open water exist during winter: 1) large, wind-driven expanses of water along landfast ice edges and 2) recurring polynyas located between small islands (most <10 ha and <15 m deep). In severe winters, only polynyas persist. In March 1998 and 1999, we recorded the species and numbers of birds and marine mammals present at ten polynyas and along four landfast ice edges around the Belcher Islands. To help interpret our observations, we also collected traditional ecological knowledge from local Inuit. Large flocks of common eiders Somateria mollissima (200-12500 birds) were seen along floe edges, and small groups occurred in some polynyas. King eiders S. spectabilis were also observed at several locations, always associated with common eiders. Oldsquaw ducks Clangula hyemalis were common (flocks of 100-500 birds) and occurred primarily at polynyas. Our observations of king eiders represent a significant northern range expansion for this species in Canada during winter. Ravens Corvus corax and snowy owls Nyctea scandiaca were observed along landfast ice edges. Ravens were feeding on the remains of seals killed by Inuit hunters and polar bears Ursus maritimus, and owls apparently hunted sea ducks that were loitering on ice edges at night. We regularly observed bearded seals Erignathus barbatus and ringed seals Phoca hispida at polynyas and floe edges. One beluga whale Delphinapterus leucas was observed by our Inuit guides along a western landfast ice edge, and three walrus Odobenus rosmarus were observed at a floe edge along the southern margin of the Belcher Islands. Clearly, the small recurring polynyas and ice floe edges around the Belcher Islands are important wintering habitat for oldsquaw and common and king eider ducks.L'hiver, dans les îles Belcher, au sud-est de la baie d'Hudson (Canada), l'eau libre est présente sous deux formes: 1) de vastes étendues d'eau créées par le vent, longeant la lisière de la glace de rive et 2), des polynies récurrentes situées entre de petites îles (dont la plupart ont une superficie < 10 ha et une profondeur < 15 m). Durant les hivers très rigoureux, seules persistent les polynies. En mars 1998 et 1999, nous avons relevé les espèces et le nombre d'oiseaux et de mammifères marins présents à dix polynies et le long de quatre lisières de glace de rive autour des îles Belcher. Afin de nous aider à interpréter nos observations, nous avons aussi procédé à la collecte de savoir écologique traditionnel auprès des Inuit de la région. On a observé de grandes volées d'eider à duvet Somateria mollissima (200 à 12 500 oiseaux) le long de floes, et on en a trouvé de petits groupes dans quelques polynies. On a également observé à plusieurs endroits la présence de l'eider à tête grise S. spectabilis, toujours en association avec l'eider à duvet. On a souvent retrouvé le harelde kakawi Clangula hyemalis (en volées de 100 à 500 oiseaux), et ce, surtout dans les polynies. Nos relevés de l'eider à tête grise révèlent, pour cette espèce, une expansion notable de son territoire septentrional au Canada durant l'hiver. On a observé le grand corbeau Corvus corax et le harfang des neiges Nyctea scandiaca sur la lisière de la glace de rive. Les corbeaux se nourrissaient des restes de phoques tués par les chasseurs inuit et les ours polaires Ursus maritimus, et il semble que les harfangs chassaient le canard de mer qui s'aventurait la nuit sur la lisière de glace. On a vu de façon régulière des phoques barbus Erignathus barbatus et des phoques annelés Phoca hispida dans les polynies et au bord des floes. Un bélouga Delphinapterus leucas a été aperçu par nos guides inuit le long d'une lisière occidentale de glace de rive, et trois morses Odobenus rosmarus ont été observés au bord d'un floe longeant la rive méridionale des îles Belcher. Il est évident que les petites polynies récurrentes et les bords des floes de glace autour des îles Belcher représentent un habitat d'hivernage majeur pour le harelde kakawi ainsi que l'eider à duvet et l'eider à tête grise

    Evidence of Population Declines among Common Eiders Breeding in the Belcher Islands, Northwest Territories

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    Information regarding the status of common eiders, Somateria mollissima, breeding in the Canadian Arctic is sorely lacking. In 1997, we surveyed five island archipelagoes in the Belcher Islands in Hudson Bay (56 00 - 57 30 N, 79 30 - 80 00 W) from 3 to 23 July. Our results were compared with eider surveys of the same islands completed between 1985 and 1989 using a standard protocol. We found 1416 eiders on 431 islands. Most (94.1%) were found while the female was still incubating. In all five island groups surveyed, the number of nesting eiders declined significantly (overall decline of 75.0% from 1985-88 to 1997, range: 62.3-84.0%). In 1997, nesting islands and adjacent waters were free of ice, and eiders nested early and laid large clutches (range: 4.0-4.4±1.0-1.2 SD). These conditions indicate a good nesting season, and we inferred that extensive nonbreeding by female eiders in 1997 did not account for the observed decline. A large reported die-off of eiders during the winter of 1991-92, which occurred when areas of open water froze, was the most likely cause of the decline. Our results raise serious conservation concerns, because eider populations are sensitive to reductions in adult survival and this population is harvested throughout the year by subsistence hunters.On a grandement besoin d'information sur le statut de l'eider à duvet Somateria mollissima qui niche dans l'Arctique canadien. En 1997, du 3 au 23 juillet, on a effectué des relevés dans cinq archipels des îles Belcher situées dans la baie d'Hudson (56°00'-57°30' N., 79°30'-80°00' O.) On a comparé nos résultats suivant un protocole normalisé à des relevés d'eiders effectués dans les mêmes îles entre 1985 et 1989. On a trouvé 1416 eiders dans 431 îles. La plupart (94,1 p. cent) ont été relevés alors que la femelle était encore en train de couver. Dans chacun des cinq groupes d'îles étudiés, le nombre d'eiders nicheurs avait enregistré une baisse importante (déclin global de 75,0 p. cent de 1985 à 1989, fourchette de 62,3 à 84,0 p. cent). En 1997, les îles de nidification et les eaux adjacentes étaient libres de glace; les eiders ont niché tôt et la taille des pontes était importante (fourchette: 4,0 à 4,4 ± écart-type de 1,0 à 1,2). Ces conditions sont révélatrices d'une bonne saison de reproduction, et nous en déduisons que la non-reproduction généralisée par les eiders femelles en 1997 n'explique pas le déclin enregistré. C'est très probablement la mortalité massive d'eiders enregistrée au cours de l'hiver de 1991-92, survenue quand les surfaces d'eau libre ont gelé, qui a été responsable du déclin. Nos résultats soulèvent d'importantes questions en matière de conservation, car les populations d'eiders sont sensibles aux baisses de survie adulte et que, tout au long de l'année, cette population fait l'objet de prélèvements dans le cadre de la chasse de subsistance

    Stellar Activity and its Implications for Exoplanet Detection on GJ 176

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    We present an in-depth analysis of stellar activity and its effects on radial velocity (RV) for the M2 dwarf GJ 176 based on spectra taken over 10 years from the High Resolution Spectrograph on the Hobby-Eberly Telescope. These data are supplemented with spectra from previous observations with the HIRES and HARPS spectrographs, and V- and R-band photometry taken over 6 years at the Dyer and Fairborn observatories. Previous studies of GJ 176 revealed a super-Earth exoplanet in an 8.8-day orbit. However, the velocities of this star are also known to be contaminated by activity, particularly at the 39-day stellar rotation period. We have examined the magnetic activity of GJ 176 using the sodium I D lines, which have been shown to be a sensitive activity tracer in cool stars. In addition to rotational modulation, we see evidence of a long-term trend in our Na I D index, which may be part of a long-period activity cycle. The sodium index is well correlated with our RVs, and we show that this activity trend drives a corresponding slope in RV. Interestingly, the rotation signal remains in phase in photometry, but not in the spectral activity indicators. We interpret this phenomenon as the result of one or more large spot complexes or active regions which dominate the photometric variability, while the spectral indices are driven by the overall magnetic activity across the stellar surface. In light of these results, we discuss the potential for correcting activity signals in the RVs of M dwarfs.Comment: Accepted for publication in Ap

    SPACING PATTERNS, MATING SYSTEMS, AND WINTER PHILOPATRY IN HARLEQUIN DUCKS

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    Aspects of Common Eider Nesting Ecology in Labrador

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    The status, distribution, and nesting ecology of common eiders (Somateria mollissima) breeding in Labrador are not well known. This study is an initial effort to improve understanding of the nesting ecology of eiders on the Labrador coast, a zone of intergradation between the northern (S. m. borealis) and American (S. m. dresseri) subspecies of common eider. During 1998 and 1999, 187 islands were surveyed for nesting eiders at four sites (from north to south: Nain, Hopedale, Makkovik, St. Peter’s Bay) along 750 km of the coast. Nest initiation dates (calculated by candling eggs) ranged over a four- to five-week period and were positively associated with latitude: the earliest mean initiation date (5 June) was in St. Peter’s Bay in the south and the latest (27 June) at Nain in the north. Mean clutch size ranged from 3.5 to 4.2 and varied by area and year; eiders nesting in Nain had the smallest clutches. In 1999, the highest nest density (49.8 nests/ha) was observed in Nain and the lowest (3.9 nests/ha) in Makkovik. In some cases, we used boat surveys to assess eider presence and absence and found it to be a reliable method; this search technique could be beneficial to researchers working in remote locations where operational costs are high.On connaît mal le statut, la distribution et l’écologie de nidification de l’eider à duvet (Somateria mollissima) qui se reproduit au Labrador. Cette étude représente un premier pas vers une meilleure compréhension de l’écologie de nidification de l’eider sur la côte du Labrador, une zone de chevauchement entre la sous-espèce du nord (S. m. borealis) et celle américaine (S. m. dresseri) de l’eider à duvet. Durant 1998 et 1999, on a cherché des eiders nicheurs dans 187 îlots à quatre endroits (du nord au sud: Nain, Hopedale, Makkovik, baie de St. Peter’s) répartis sur 750 km de rivage. Les dates du début de la couvaison (calculées en mirant les oeufs) s’étalaient sur une période de quatre à cinq semaines et étaient associées positivement à la latitude: c’est dans la baie de St. Peter’s dans le sud qu’on a observé la date moyenne du début de la couvaison la plus précoce (5 juin), et à Nain dans le nord, la plus tardive (27 juin). La taille moyenne de la couvée allait de 3,5 à 4,2 et variait selon l’endroit et l’année; les eiders qui nichaient à Nain avaient les plus petites couvées. En 1999, la plus forte densité de nids (49,8 nids/ha) a été observée à Nain et la plus faible (3,9 nids/ha), à Makkovik. Dans certains cas, on a utilisé des relevés effectués à partir d’embarcations pour établir la présence et l’absence d’eiders, méthode qui s’est avérée fiable; cette technique de recherche pourrait être bénéfique aux chercheurs travaillant dans des lieux éloignés où les coûts d’opération sont élevés

    A complex speciation-richness relationship in a simple neutral model

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    Speciation is the "elephant in the room" of community ecology. As the ultimate source of biodiversity, its integration in ecology's theoretical corpus is necessary to understand community assembly. Yet, speciation is often completely ignored or stripped of its spatial dimension. Recent approaches based on network theory have allowed ecologists to effectively model complex landscapes. In this study, we use this framework to model allopatric and parapatric speciation in networks of communities and focus on the relationship between speciation, richness, and the spatial structure of communities. We find a strong opposition between speciation and local richness, with speciation being more common in isolated communities and local richness being higher in more connected communities. Unlike previous models, we also find a transition to a positive relationship between speciation and local richness when dispersal is low and the number of communities is small. Also, we use several measures of centrality to characterize the effect of network structure on diversity. The degree, the simplest measure of centrality, is found to be the best predictor of local richness and speciation, although it loses some of its predictive power as connectivity grows. Our framework shows how a simple neutral model can be combined with network theory to reveal complex relationships between speciation, richness, and the spatial organization of populations.Comment: 9 pages, 5 figures, 1 table, 50 reference

    Diversity and Keratin Degrading Ability of Fungi Isolated from Canadian Arctic Marine Bird Feathers

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    We present the first records of fungi associated with feathers from seabirds and sea ducks in the Canadian Arctic and sub-Arctic. Birds sampled in Nunavut and Newfoundland (Canada) included the Common Eider (Somateria mollissima), King Eider (S. spectabilis), Black-legged Kittiwake (Rissa tridactyla), Northern Fulmar (Fulmarus glacialis), Glaucous Gull (Larus hyperboreus), Black Guillemot (Cepphus grylle), and Thick-billed Murre (Uria lomvia). In total 19 fungal species were cultured from feathers, identified using ITS rDNA barcoding, and screened for their ability to degrade keratin using a keratin azure assay. Our results indicate that 1) of the 19 isolates, 74% were ascomycetes, while the remaining 26% were basidiomycetes (yeasts); 2) 21% of the ascomycete isolates demonstrated keratinolytic activity (a known pathogenicity factor for fungi that may potentially be harmful to birds); 3) the largest number of fungi were cultured from the sampled Thick-billed Murre; and 4) based on a multiple correspondence analysis, there is some indication that both the King Eider and the Thick-billed Murre collected in the low Arctic had distinct fungal communities that were different from each other and from the other birds sampled. Although our sample sizes were small, initial trends in point (4) do demonstrate that additional study is merited to assess whether the fungal community differences are influenced by variation in the known ecologies of the avian hosts and fungi identified.Nous prĂ©sentons les premiers enregistrements de champignons se rapportant aux plumes d’oiseaux et de canards de mer dans l’Arctique et la rĂ©gion subarctique du Canada. Parmi les oiseaux Ă©chantillonnĂ©s au Nunavut et Ă  Terre-Neuve (Canada), notons l’eider Ă  duvet (Somateria mollissima), l’eider Ă  tĂŞte grise (S. spectabilis), la mouette tridactyle (Rissa tridactyla), le fulmar borĂ©al (Fulmarus glacialis), le goĂ©land bourgmestre (Larus hyperboreus), le guillemot Ă  miroir (Cepphus grylle) et le guillemot de BrĂĽnnich (Uria lomvia). En tout, 19 espèces de champignons ont Ă©tĂ© prĂ©levĂ©es Ă  partir de plumes. Elles ont Ă©tĂ© identifiĂ©es au moyen de codes Ă  barres ITS ADNr et examinĂ©es afin de dĂ©terminer si elles sont capables de dĂ©grader la kĂ©ratine, et ce, Ă  l’aide d’une Ă©preuve de dĂ©gradation de la kĂ©ratine au bleu azur. Nos rĂ©sultats indiquent : 1) que parmi les 19 isolats, 74 % Ă©taient des ascomycètes et que les 26 % restants Ă©taient des basidiomycètes (levures); 2) que 21 % des isolats d’ascomycètes ont affichĂ© une activitĂ© kĂ©ratinolytique (un facteur de pathogĂ©nicitĂ© pour les champignons, facteur susceptible de nuire aux oiseaux); 3) que le plus grand nombre de cultures de champignons a Ă©tĂ© prĂ©levĂ© chez le guillemot de BrĂĽnnich; et 4) que d’après une analyse de correspondance multiple, il y a une certaine indication que les Ă©chantillons de l’eider Ă  tĂŞte grise et du guillemot de BrĂĽnnich recueillis dans le Bas-Arctique comprenaient des communautĂ©s fongiques distinctes qui diffĂ©raient les unes des autres ainsi que des autres oiseaux Ă©chantillonnĂ©s. MĂŞme si la taille de nos Ă©chantillons Ă©tait petite, les premières tendances ressortant du point (4) dĂ©montrent qu’il y a lieu de faire des Ă©tudes plus poussĂ©es afin de dĂ©terminer si les diffĂ©rences entre les communautĂ©s fongiques sont influencĂ©es par la variation des Ă©cologies connues des hĂ´tes aviaires et des champignons identifiĂ©s

    Individual winter movement strategies in two species of Murre (Uria spp.) in the Northwest Atlantic

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    Individual wintering strategies and patterns of winter site fidelity in successive years are highly variable among seabird species. Yet, an understanding of consistency in timing of movements and the degree of site fidelity is essential for assessing how seabird populations might be influenced by, and respond to, changing conditions on wintering grounds. To explore annual variation in migratory movements and wintering areas, we applied bird-borne geolocators on Thick-billed Murres (Uria lomvia, n = 19) and Common Murres (U. aalge, n = 20) from 5 colonies in the Northwest Atlantic for 2–4 consecutive years. Thick-billed Murres ranged widely and among-individual wintering strategies were highly variable, whereas most Common Murres wintered relatively near their colonies, with among-individual variation represented more by the relative use of inshore vs. offshore habitat. Within individuals, some aspects of the wintering strategy were more repeatable than others: colony arrival and departure dates were more consistent by individual Common than Thick-billed Murres, while the sizes of home ranges (95% utilization distributions) and distances travelled to wintering area were more repeatable for both species. In consecutive years, individual home ranges overlapped from 0–64% (Thick-billed Murres) and 0–95% (Common Murres); and the winter centroids were just 239 km and 169 km apart (respectively). Over the 3–4 year timescale of our study, individuals employed either fixed or flexible wintering strategies; although most birds showed high winter site fidelity, some shifted core ranges after 2 or 3 years. The capacity among seabird species for a combination of fidelity and flexibility, in which individuals may choose from a range of alternative strategies, deserves further, longer term attention
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