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Les résultats électoraux depuis 1847.

La présentation des résultats électoraux en Belgique depuis 1847 (1) jusqu’à nos jours – du niveau régional et communautaire jusqu’au niveau européen en passant par le niveau fédéral – peut sembler n’être qu’une « simple » entreprise de compilation de chiffres officiels. Pourtant, il apparaît vite que ces chiffres officiels ne sont disponibles que pour une période restreinte, relativement récente, alors que les autres publications existantes sur le sujet sont toujours partielles, de précision et qualité variables. L’intérêt majeur de cette annexe réside donc dans la présentation complète – en un seul ensemble – des 94 élections depuis 1847 pour la Chambre des représentants, les Parlements régionaux et communautaires (Parlement flamand, Parlement wallon, Parlement bruxellois et Parlement germanophone) ainsi que le Parlement européen

Annex 2 – Electoral results since 1847

La présentation des résultats électoraux en Belgique depuis 1847 jusqu’à nos jours – du niveau régional et communautaire jusqu’au niveau européen en passant par le niveau fédéral – peut sembler n’être qu’une ‘simple’ entreprise de compilation de chiffres officiels. Pourtant, il apparaît vite que ces chiffres officiels ne sont disponibles que pour une période restreinte récente alors que les autres publications existantes sur le sujet sont toujours partielles et de précision et qualité variables. L’intérêt majeur de cette annexe réside donc dans la présentation complète – en un seul ensemble – des 94 élections depuis 1847 pour la Chambre des Représentants, des Parlements régionaux et communautaires (Parlement flamand, Parlement wallon, Parlement bruxellois et Parlement germanophone) ainsi que du Parlement européen. Toutefois, les sources utilisées et la fiabilité des résultats diffèrent entre les différentes périodes présentées ici. Pour la période 1847-1914, la principale source disponible est la thèse de W. Moine publiée en 1970 qui se base essentiellement sur une méthodologie de critique historique des sources de sept « journaux nationaux » publiés au 19ème siècle. Nous reprenons donc ses résultats à titre ‘informatif’. Les résultats pour la période 1919-2010 sont quant à eux basés sur les chiffres fournis par le Service Public Fédéral Intérieur. Toutefois, comme le soulignait déjà J. Stengers en 1962 , les sources du Ministère de l’intérieur contiennent bien souvent « nombre d’erreurs et de confusions ». Les données ont donc été vérifiées, corrigées et ajustées par d’autres études, principalement pour la période d’entre-guerre . Pour chaque élection, le lecteur trouvera le nombre d’électeurs inscrits, les votes déposés et les votes valables (c’est-à-dire les votes déposés desquels sont soustraits les votes blancs et nuls) ainsi que le taux de participation. Les résultats proprement dits sont ensuite présentés, pour chaque parti , sur l’ensemble du Royaume (votes valables et sièges obtenus) ainsi que – pour les élections législatives – dans les trois grandes régions du pays : en Flandre (recouvrant les circonscriptions électorales des provinces flamandes, sauf pour l’actuel Brabant flamand que nous avons limité à l’arrondissement de Louvain ), en Wallonie (intégrant les circonscriptions des cinq provinces wallonnes actuelles ) et à Bruxelles-Hal-Vilvorde (BHV) . Les contraintes matérielles ne nous permettant pas de présenter le résultat de toutes les listes candidates, nous avons fait le choix de ne présenter que le résultat des listes ayant obtenu au moins un siège. Certains tableaux ont néanmoins du être adaptés à des contraintes supplémentaires ponctuelles. Pour la période 1847-1914, nous présentons le résultat des élections renouvelant soit intégralement, soit partiellement la Chambre des Représentants . Ensuite, précisons qu’à l’époque du système majoritaire plurinominal (jusqu’en 1899), les chiffres présentés comme « votes valables » sont en réalité la « puissance électorale utilisée » . Ce nombre est obtenu en divisant, pour chaque parti et dans chaque circonscription, les votes valablement exprimés par le nombre de sièges à pourvoir dans la circonscription. Ce procédé est indispensable pour définir le pourcentage de votes obtenus par les partis sur plusieurs circonscriptions car chaque électeur disposait d’autant de voix que de sièges à pourvoir dans sa circonscription. Les tableaux pour les élections régionales, communautaires et européennes ont également été adaptés. Les élections régionales wallonnes et bruxelloises ne nécessitent en effet pas de distinction entre plusieurs ‘zones’ territoriales. Le Parlement flamand est quant à lui composé de députés flamands et bruxellois : les premiers sont élus directement dans les circonscriptions des provinces flamandes alors que, avant les élections régionales de 2004, les six députés communautaires flamands de Bruxelles sont élus indirectement au sein du groupe linguistique néerlandais du Parlement bruxellois . Depuis 2004, ces six députés sont élus directement en cette qualité par les électeurs bruxellois et indiqués comme tels dans les tableaux. Enfin, pour les élections européennes, il est moins intéressant de présenter les résultats électoraux sur base territoriale des circonscriptions étant donné que les sièges sont répartis suivant les suffrages obtenus au sein des trois collèges électoraux: le collège néerlandais (électeurs de Flandre et de BHV), le collège français (électeurs wallons, à l’exception des cantons d’Eupen et Saint-Vith, et de BHV), le collège germanophone (électeurs des cantons d’Eupen et Saint-Vith) . Un exposé exhaustif des résultats électoraux belges sur près de deux siècles est techniquement difficile en un nombre limité de pages. Nous nous sommes donc efforcés de présenter l’image la plus lisible possible de la compétition électorale belge depuis 1847, permettant aux lecteurs soit une analyse centrée sur une élection spécifique, soit sur une comparaison régionale et communautaire ou encore l’évolution dans le temps d’un ou plusieurs partis.Presenting an extensive report of all Belgian electoral results since 1847 - at the national as well as the subnational levels - is not an easy task. Until 1919 officials results were only published at the overall national level but not presented with details by electoral districts. For the 1847-1914, historical analyses are thus the only available source, albeit sometimes a contestable one. After 1919, reliability of official electoral results is nonetheless low for detailed results by districts and it consequently requires cross-checked information. Overall, and for the first time to our knowledge, this annex presents an extensive and comprehension report of all electoral results - at both levels of government - since 1847. For each of the 94 elections reported, the reader would find by districts and by political parties: the number of electors, the turnout, the number of eligible votes, and the number of seats won

Characterizing maps to improve on-demand cartography - the example of European topographic maps

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Capitalisation Problem in Research - Example of a New Platform for Generalisation: Cartagen

The aim of this paper is to begin a reflexion about research capitalisation through an innovating software. It first gives an overview of the general needs and objectives for a generalisation research platform, then focusing on the generalisation research case in COGIT laboratory. Then the chosen architecture covering the combination of different software and languages is presented, as well as the technical realisations that have already been achieved. The last section deals with the further needed improvements and the possible benefits for future research, both in and outside COGIT laboratory.JRC.H.6-Spatial data infrastructure

Adding Metadata to Maps and Styled layers to Improve Map Efficiency

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Adding Metadata to Maps and Styled layers to Improve Map Efficiency

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Possible effect of the particulate matter (PM) pollution on the Covid-19 spread in southern Europe

International audienceThe time evolution of the Covid-19 death cases exhibits several distinct episodes since the start of the pandemic early in 2020. We propose an analysis of several Southern Europe regions that highlights how the beginning of each episode correlates with a strong increase in the concentrations level of pollution particulate matter smaller than 2.5 μm (PM2.5). Following the original PM2.5 spike, the evolution of the Covid-19 spread depends on the (partial) lockdowns and vaccinate races, thus the highest level of confidence in correlation can only be achieved when considering the beginning of each episode. The analysis is conducted for the 2020-2022 period at different locations: the Lombardy region (Italy), where we consider the mass concentrations measurements obtained by air quality monitoring stations (μg.m-3), and the cities of Paris (France), Lisbon (Portugal) and Madrid (Spain) using in-situ measurements counting particles (cm-3) in the 0.5-2.5 μm size range obtained with hundreds of mobile aerosol counters. The particle counting methodology is more suitable to evaluate the possible correlation between PM pollution and Covid-19 spread because we can better estimate the concentration of the submicronic particles compared with a mass concentration measurement methodology which would result in skewed results due to larger particles. Very fine particles of lesser than one micron go deeper inside the body and can even cross the alveolar-capillary barrier, subsequently attacking most of the organs through the bloodstream, potentially triggering a pejorative systemic inflammatory reaction. The rapidly increasing number of deaths attributed to the covid-19 starts between 2 weeks and one month after PM events that often occur in winter, which is coherent with the virus incubation time and its lethal outcome. We suggest that the pollution by the submicronic particles alters the pulmonary alveoli status and thus significantly increase the lungs susceptibility to the virus