Ivo Supičič, Musique et société. Perspectives pour une sociologie de la musique

Rebotier Jacques. Ivo Supičič, Musique et société. Perspectives pour une sociologie de la musique. In: Annales. Économies, Sociétés, Civilisations. 28ᵉ année, N. 1, 1973. pp. 160-162

K. Meyer-Baer. Music of the Spheres and the Dance of Death

Rebotier Jacques. K. Meyer-Baer. Music of the Spheres and the Dance of Death. In: Revue de l'histoire des religions, tome 184, n°2, 1973. pp. 216-219

K. Meyer-Baer. Music of the Spheres and the Dance of Death

Rebotier Jacques. K. Meyer-Baer. Music of the Spheres and the Dance of Death. In: Revue de l'histoire des religions, tome 184, n°2, 1973. pp. 216-219

Rebotier Jacques. Art de musique et art d'Hermès. Recherches sur le symbolisme alchimique de la Post-Renaissance.

Rebotier Jacques. Rebotier Jacques. Art de musique et art d'Hermès. Recherches sur le symbolisme alchimique de la Post-Renaissance.. In: École pratique des hautes études, 5e section, Sciences religieuses. Annuaire. Tomes 80-81, Fascicule II. Vie de la Section : années 1971-1972 et 1972-1973. 1971. pp. 83-85

L'art de musique chez Michel Maier

On a pu appeler l'alchimie art de musique ; l'œuvre de M. Maier (1568-1622), d'une grande richesse symbolique, et dont les gravures sont célèbres, illustre parfois cet aspect. Après avoir passé en revue les motivations qui peuvent pousser un alchimiste à se pencher sur l'art des sons, nous situons Maier dans son temps, en nous attardant plus particulièrement sur les contacts musicaux qu'il a pu nouer. L'intérêt que Maier porte à la musique gravite autour du concept d'harmonie, qui va être exprimé symboliquement de deux façons : a) La première, d'ordre cosmologique, fait appel à des spéculations numériques dans la lignée pythagoricienne, ainsi qu'à des correspondances entre les sons, les planètes, les éléments. b) La seconde, d'ordre mythologique, postulant que les mythes sont des codages d'arcanes hermétiques, est un décryptage en termes d'alchimie de certains d'entre eux. c) Enfin, à côté de cet intérêt tout spéculatif pour la musique, Maier s'est également placé sur un plan plus « opératif », en insérant dans un de ses traités des pièces musicales.Rebotier Jacques. L'art de musique chez Michel Maier. In: Revue de l'histoire des religions, tome 182, n°1, 1972. pp. 29-51