304 research outputs found

    International congress for caribbean archeology

    Get PDF

    WHERE THE AMAZON RIVER MEETS THE ORINOCO RIVER. ARCHAEOLOGY OF THE GUIANAS

    Get PDF
    Archaeological and interdisciplinary investigations conducted in the Guianas during these last 35 years offer a new picture of the pre-Co­lumbian Guianas. Although archaeology still is relatively incipient in the Guianas, it is possible to draw up a panorama of the prehistory of this huge region. During the last millennium before the European Conquest, Guianas coast was divided into two main territories dominated by two different cultural entities. Cayenne Island in French Guiana was the key-area marking the boundary between two cultural traditions. Western coast up to the Guyana was dominated by cultures linked to the Arauquinoid Tradition originated in the Middle Orinoco. Eastern coast was occupied by cultures belonging to the Polychrome Tradition of the Lower Ama­zon. These two cultural entities grew up from ca. AD 600 up to their destruction by the European Conquest. Keywords: Archaeology, Guianas, arauquinoid tradition, polychrome traditionLas investigaciones arqueológicas e interdisciplinarias llevadas a cabo en las Guyanas durante estos 35 últimos años muestran una nueva imagen de las Guyanas precolombinas. Si bien la arqueología es relativamente joven en las Guyanas, es posible presentar un panorama de la prehisto­ria de esta inmensa región. En el último milenio antes de la Conquista europea, el litoral de las Guyanas estaba dividido en dos territorios prin­cipales dominados por dos diferentes conjuntos culturales. La Isla de Cayena en Guyana francesa era una zona clave que marcaba la frontera entre dos tradiciones culturales : la costa occidental dominada por cul­turas ligadas a la Tradición Arauquinoide originaria del Medio Orinoco y el litoral oriental ocupado por culturas pertenecientes a la Tradición Policroma del Bajo Amazonas. Estas dos entidades culturales se desar­rollaron cerca de 600 DC hasta su destrucción por la Conquista europea. Palabras-clave: Arqueología, Guyanas, tradición arauquinoide, tradición policromaLes recherches archéologiques et interdisciplinaires menées dans les Guyanes durant ces 35 dernières années fournissent une nouvelle image des Guyanes précolombiennes. Bien que l’archéologie soit relativement jeune dans les Guyanes, il est possible de dresser un panorama de la préhistoire de cette immense région. Durant le dernier millénaire avant la Conquête européenne, le littoral des Guyanes était divisé en deux territoires principaux dominés par deux différents ensembles culturels. L’Île de Cayenne en Guyane française était une zone charnière mar­quant la frontière entre deux traditions culturelles. La côte occidentale était dominée par des cultures liées à la Tradition Arauquinoïde issue du Moyen Orénoque. Le littoral oriental était occupé par des cultures appartenant à la Tradition Polychrome du Bas Amazone. Ces deux en­tités culturelles se développèrent de 600 apr. J.-C. environ jusqu’à leur destruction par la Conquête européenne. Mots clés: Archélogie, Guyanes, tradition arauquinoïde, tradition polychrome. Archaeological and interdisciplinary investigations conducted in the Guianas during these last 35 years offer a new picture of the pre-Co­lumbian Guianas. Although archaeology still is relatively incipient in the Guianas, it is possible to draw up a panorama of the prehistory of this huge region. During the last millennium before the European Conquest, Guianas coast was divided into two main territories dominated by two different cultural entities. Cayenne Island in French Guiana was the key-area marking the boundary between two cultural traditions. Western coast up to the Guyana was dominated by cultures linked to the Arauquinoid Tradition originated in the Middle Orinoco. Eastern coast was occupied by cultures belonging to the Polychrome Tradition of the Lower Ama­zon. These two cultural entities grew up from ca. AD 600 up to their destruction by the European Conquest. Keywords: Archaeology, Guianas, arauquinoid tradition, polychrome traditio

    Reid Basil A., Myths and realities of Caribbean history

    Get PDF
    Voilà typiquement le genre d’ouvrage que certains Tartuffe de la science considéreront probablement avec dédain, alors que son objectif et son utilité sont évidents. Il s’adresse très clairement à un large public, sans pour autant être inutile aux étudiants et aux chercheurs qui sauront y trouver du plaisir et de l’usage. Ce livre a toutes les chances de rencontrer un lectorat large et varié. Basil Read enseigne l’archéologie à l’université des West Indies à ..

    Kästner Klaus-Peter, Zoé. Materielle Kultur, Brauchtum und kulturgeschichtliche Stellung eines Tupí-Stammes im Norden Brasiliens

    Get PDF
    Les Zoé (ou Zo’é), groupe tupi-guarani, sont localisés dans l’État brésilien du Pará, dans les Guyanes, au nord de l’Amazone, entre les rivières Cuminapanema et Erepecurú, près de la réserve indigène de Tumucumaque. Bien que leur existence était connue de la FUNAI dès les années 1970, ils furent contactés pour la première fois par des missionnaires évangélistes en 1982 et alors appelés « Indios isolados », puis « Poturu », du nom de leur gros labret de bois poli, avant d’être dénommés « Zoé »..

    Haches et herminettes en pierre de Guyane française

    Get PDF
    Peu d'archéologues ont à ce jour étudié les outils en pierre bien que ceux-ci - et tout particulièrement les haches et les herminettes - eussent été essentiels à l'Amérindien pour la vie en forêt. En Guyane française, la plus grande part du matériel lithique connu est poli. Il est classé selon une typologie morphologique et dimensionnelle. La nature des roches utilisées suggère un choix pétrographique minutieux de la part des artisans amérindiens. La pierre, après polissage sur un rocher, était ensuite généralement emmanchée dans un bois, selon diverses techniques. Les haches et les herminettes ont pour principales fonctions le travail et l'armement, mais également des destinations symboliques ou cultuelles. Exception faite de quelques types régionaux, les mêmes types de lames se retrouvent en Amazonie, dans toutes les Guyanes et sur les Antilles. Encore utilisée par de rares groupes amérindiens, en même temps qu'objet de légendes pour d'aucuns, la hache de pierre commence seulement à être étudiée et ouvre à l'archéologue un champ d'investigation prometteur. (Résumé d'auteur

    Cronología del valle del Upano (Alta Amazonía ecuatoriana)

    Get PDF
    El proyecto arqueológico Sangay-Upano/Río Blanco, realizado entre 1996 y 2003, permitió establecer una secuencia cultural del valle del Alto Upano, desde 700 a. C. hasta nuestros días. Los primeros habitantes del valle pertenecieron a la cultura Sangay. Entre 500 y 200 a. C., las comunidades de la cultura Upano edificaron complejos de montículos a lo largo de los barrancos. Progresivamente, la cerámica Upano, caracterizada por la decoración de bandas rojas entre incisiones, fue reemplazada por la cerámica de estilo Kilamope. Hacia 400-600 d. C., los habitantes huyeron del valle a causa de una fuerte erupción del Sangay. Entre 800 y 1200 d. C., grupos de la cultura Huapula ocuparon algunos de los montículos preexistentes. Son los antepasados de los jívaros actuales que siguen viviendo ahora en la región.Le projet Sangay-Upano/Río Blanco, mené entre 1996 et 2003, a permis de définir une séquence culturelle de la vallée du haut Upano qui débute vers 700 av. J.-C. et continue jusqu’à nos jours. Les premiers habitants de la vallée appartenaient à la culture Sangay. Entre 500 et 200 av. J.-C., les communautés de culture Upano édifièrent des complexes de monticules le long des ravins. Progressivement, la céramique Upano, caractérisée par le décor de bandes rouges entre incisions, fut remplacée par la poterie de style Kilamope. Vers 400-600 apr. J.-C., les habitants fuirent la vallée à cause d’une forte éruption du Sangay. Entre 800 et 1200 apr. J.-C., des groupes de la culture Huapula occupèrent quelques tertres préexistants. Ce sont les ancêtres des Jivaros actuels qui continuent à vivre dans cette région.The archaeological project Sangay-Upano/Río Blanco, conducted between 1996 and 2003, allowed the definition of a cultural sequence for the upper Upano Valley that begins about 700 BC and continues up to the present. The first inhabitants belonged to the Sangay culture. Between 500 and 200 BC, communities of the Upano culture built mounds complexes along the cliffs. The Upano pottery, characterized by red banded incised decoration, was gradually replaced progress by Kilamope ceramics. About 400-600 AD, inhabitants fled the valley as a result of a strong eruption of Sangay volcano. Between 800 and 1200 AD, groups belonging to the Huapula culture settled on some pre- existing mounds. These groups are the ancestors of the modern Jivaros, who still live in the region

    Redmond Elsa M. and Charles S. Spencer, Archaeological Survey in the High Llanos and Andean Piedmont of Barinas, Venezuela

    Get PDF
    Elsa M. Redmond et Charles S. Spencer, unis dans la vie et dans la science, ont publié dans les années 1990 plusieurs articles scientifiques sur différents aspects de leur recherche archéologique dans l’État du Barinas, au Venezuela, effectuée la décennie précédente. Toutefois, la monographie finale réunissant les résultats de leur projet était attendue depuis quelque temps et c’est donc avec autant de soulagement que de plaisir que l’on a salué sa publication en 2007. Cet ouvrage suit un pla..

    Kästner Klaus-Peter, Zoé. Materielle Kultur, Brauchtum und kulturgeschichtliche Stellung eines Tupí-Stammes im Norden Brasiliens

    Get PDF
    Les Zoé (ou Zo’é), groupe tupi-guarani, sont localisés dans l’État brésilien du Pará, dans les Guyanes, au nord de l’Amazone, entre les rivières Cuminapanema et Erepecurú, près de la réserve indigène de Tumucumaque. Bien que leur existence était connue de la FUNAI dès les années 1970, ils furent contactés pour la première fois par des missionnaires évangélistes en 1982 et alors appelés « Indios isolados », puis « Poturu », du nom de leur gros labret de bois poli, avant d’être dénommés « Zoé »..

    Etnoarqueología de las casas Huapula y Jíbaro

    Get PDF
    El valle del Upano, en la alta Amazonía ecuatoriana, está caracterizado por la presencia de numerosos montículos artificiales de tierra precolombinos. Edificados y luego abandonados por las sociedades Upano entre 700 a.C. y 400 d.C., algunos de ellos fueron reocupados por grupos Huapula entre 800 y 1200 d.C. La excavación horizontal de un montículo reveló un piso habitacional muy bien conservado, autorizando un análisis espacial de las actividades practicadas. El estudio etnoarqueológico de esta habitación Huapula muestra las grandes similitudes que existen con el modo de hábitat actual de los grupos jíbaros de la región.La vallée de l´Upano, en haute Amazonie équatorienne, se caractérise par la présence de nombreux monticules artificiels de terre précolombiens. Edifiés puis abandonnés par les sociétés Upano entre 700 av. J.-C. et 400 apr. J.-C., certains d´entre eux furent réoccupés par des groupes Huapula entre 800 et 1200 apr. J.-C. La fouille horizontale d´un tertre a mis au jour un sol domestique très bien conservé, permettant une analyse spatiale des activités pratiquées. L´étude ethnoarchéologique de la maison Huapula a montré les grandes similitudes qui existaient avec le mode d´habitat actuel des groupes Jivaros de la région.The Upano valley, in upper Ecuadorian Amazonia, is characterized by numerous precolumbian artificial earthmounds. Built then abandoned by Upano societies between 700 BC and 400 AD, some of them were re-occupied by Huapula groups between 800 and 1200 AD. Open-area excavations of one mound produced a well preserved domestic level, permitting a spatial analysis of activities. Ethnoarchaeological study of the Huapula house has shown great similarities with settlements of modern Jivaros groups of the area
    • …
    corecore