17 research outputs found

    Management of Stakeholders in Urban Regeneration Projects. Case Study: Baia-Mare, Transylvania

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    The process of regeneration of abandoned areas or deteriorated structures in the cities of Romania has become a strategy of urban-integrated development. Conversions and/or regeneration of facilities in the form of assets, with different destinations, are part of the new trend of urban regeneration and a strategy used to attract investment capital. The disappearance of mining industry sites in Maramures County, Romania, has allowed the expansion and planning of new spaces for public use and/or semipublic, and most cities have opened new development perspectives. The study is based on empirical research conducted on the brownfields of Baia-Mare City. This research investigates how stakeholders of an urban regeneration project can be more actively involved in the decision-making processes with regard to the strategic elements of the renewal project of Cuprom, as a former mining industry area. This research contributes to the development of the investigation of new types of knowledge of stakeholder analysis and improves the available practices for stakeholder salience. Social networks created and consolidated by stakeholders of an urban regeneration project are the object of analysis, evaluation, and monitoring of the equilibrium between project management and grant of resources and capital. This paper studies the salience of stakeholders of the SEPA-CUPROM project from Baia-Mare using the social networking approach. Visualization by graphical methods of social networking analysis is a useful instrument in the decision-making process of brownfield projects as part of sustainable strategies in Romania

    Cercetările arheologice de la Polata, (jud. Gorj) / Les recherches archéologiques de Polata, dép. de Gorj

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    Rădulescu Venera, Calotoiu Gheorghe. Cercetările arheologice de la Polata, (jud. Gorj) / Les recherches archéologiques de Polata, dép. de Gorj. In: Materiale şi cercetări arheologice, N°16 1986. A XVI-A sesiune anuală de rapoarte, Vaslui 1982. pp. 294-299

    Săpăturile din împrejurimile oraşului Giurgiu / Fouilles aux environs de Giurgiu

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    Păunescu Alexandru, Ionescu M., Rădulescu Gheorghe. Săpăturile din împrejurimile oraşului Giurgiu / Fouilles aux environs de Giurgiu. In: Materiale şi cercetări arheologice, N°8 1962. pp. 127-139

    Cercetări arheologice la Câmpulung, în zona vechii reşedinţe domneşti (2000–2005) / Les fouilles entreprises dans la zone de l’ancienne résidence princière de Câmpulung (2000–2005)

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    L’ancienne résidence des premiers voïévodes de la Valachie pose de nombreuses questions concernant l’église ainsi que les autres éléments composants de l’ensemble, parmi lesquelles l’identification de la maison princière présente un intérêt particulier. Au XVIIe siècle, suite à la fondation du monastère, l’ensemble a été entièrement modifié. L’église princière, abîmée par un tremblement de terre, fût rebâtie en 1635 et les bâtiments monastiques ont été érigés sur un emplacement que les anciennes constructions démolies. Les recherches archéologiques entreprises à l’ancienne résidence princière de Câmpulung en 1975– 1977, 1981– 1982, 1984 et 2000– 2005 ont mis à jour des vestiges du XIVe siècle, en élucidant aussi les problèmes concernant l’évolution ultérieure de l’ensemble architectural. Dès que la résidence princière ne fut plus utilisée, l’espace qui entourait la plus importante église de Câmpulung, où étaient enterrés les deux premiers princes de la Valachie et, après eux, certains grands boyards, a été utilisé avec prédilection comme lieu de sépulture par les citadins. L’ensemble a été entièrement modifié au XVIIe siècle, suite à la fondation du monastère en 1635. L’église a été rebâtie et les bâtiments monastiques ont été érigés après la démolition des anciennes constructions, qui n’étaient plus utilisées. Un problème de grand intérêt est celui de l’identification de la résidence des voïévodes. On a essayé d’attribuer à une phase de construction du XIVe siècle la cave de la maison située au sud-ouest de l’église. Les fouilles de 1975– 1977 ont prouvé que cette cave date du XVIIe siècle. Lors de sa construction ont été détruites les derniers restes du mur qui entourait l’église au XIVe siècle, mur démantelé au XVe siècle, et d’autres restes de construction datant du XVe siècle, ainsi que des tombes du XVIe siècle. L’ancienne maison des voïévodes doit donc être cherchée ailleurs. En essayant d’obtenir des informations sur les vestiges de l’ensemble, les fouilles entreprises en 2000– 2003 ont été concentrées dans la zone située a l’est de l’église et celles de 2004– 2005 vers le sud-est. En dehors de l’ensemble du monastère, on a effectué un sondage sur le terrain situé au No. 76, rue Negru Vodă, en obtenant des renseignements sur l’habitat urbain des XIVe– XVIIe siècles. Les fouilles ont mis à jour des vestiges notables qu’on peut dater au XIVe siècle, dans la zone située a l’est de l’église voïévodale. Parmi celles-ci on doit mentionner une partie, mise à jour sur une largeur d’environ 10 mètres, d’un édifice aux murs en pierre, d’un mètre d’épaisseur, avec un pavement en briques à l’intérieur et de portions pavées en longeant les murs d’est et d’ouest à l’extérieur. Le bâtiment pourrait appartenir à l’ancienne résidence princière. Les éléments stratigraphiques prouvent l’antériorité de cette construction par rapport aux bâtiments du monastère. La découverte, dans une couche de terre ultérieure à la désaffectation du bâtiment, d’une monnaie émise par le roi de Hongrie Vladislav Ier en 1442, appuie l’hypothèse selon laquelle le bâtiment pourrait dater du XIVe siècle en appartenant à l’ancienne résidence princière. Par les fouilles effectuées en 2002 et 2003 on a pu compléter les informations sur un édifice aux gros murs en pierre, découvert en 1981, qui a été alors daté au XVIIe siècle. Il s’agit d’une construction en pierre et briques, de grandes proportions (approximativement 11 m de largeur), située partiellement sous le niveau du terrain de l’intérieur de l’enceinte et en même temps au niveau du sol vers la limite de la terrasse. On a trouvé le seuil et un montant de l’encadrement en pierre de l’entrée au niveau inférieur de la bâtisse. Les données archéologiques, surtout les observations stratigraphiques, peuvent confirmer la datation initiale de la construction, bien que les informations doivent être complétées. Des mentions documentaires ont permis de supposer que cette construction aurait pu abriter les magasins et l’auberge du monastère, construits en 1646– 1647 et détruits en 1737. On a aussi découvert et délimité les traces d’une construction monastique datant probablement du XVIIIe siècle. En 2004 et 2005, au sud-est de l’église, on a mis à jour des traces qui peuvent être attribuées au mur qui entourait l’église, sur son coté est, et autres qui peuvent appartenir à la fortification en terre qui limitait vers le sud l’ensemble. On a trouvé les restes des deux murs en angle droit, de plus d’un mètre d’épaisseur vers l’est, qui, tenant compte de la position stratigraphique, peuvent dater du XIVe siècle. On a trouvé des traces d’habitation du XVIe siècle. De nombreux restes des murs appartenant aux constructions monastiques, du XVIIe, XVIIIe et XIXe siècle ont été découverts. Dans d’autres deux points on a trouvé le mur d’enceinte du monastère de XVIIe siècle, et aussi un mur contemporain, parallèle, vers l’ouest. Appartenant aux constructions monastiques qui limitaient vers le sud l’enceinte, on a découvert deux murs parallèles et un pavement en briques entre eux. Les bâtiments situés au sud de l’église ont fonctionné jusqu’en 1934, quand ils ont été détruits par un grand incendie. Sur une grande surface, au nord de ces murs, se trouvent des couches très épais de décombres, pierre, restes de mortier, qui couvrent aussi les restes des autres murs. Les traces des constructions de différentes périodes, à cause de l’étendue limitée de la surface des fouilles, ont pu être découvertes seulement par fragments. L’image qu’on peut se former sur l’ensemble est subjective et incomplète. On peut formuler seulement des hypothèses en ce qui concerne le plan et la chronologie des constructions. Une recherche intégrale, qui pourrait donner une image d’ensemble sur tous ces vestiges, en confirmant ou en infirmant diverses hypothèses serrait possible un jour, si on envisageait la mise en valeur des restes des édifices disparus.Cantacuzino Gheorghe I., Rădulescu Maria-Venera, Trâmbaciu Ştefan. Cercetări arheologice la Câmpulung, în zona vechii reşedinţe domneşti (2000–2005) / Les fouilles entreprises dans la zone de l’ancienne résidence princière de Câmpulung (2000–2005). In: Materiale şi cercetãri arheologice (Serie nouã), N°2 2007. 2000-2006. pp. 95-141

    Eigenvalue problems in anisotropic Orlicz–Sobolev spaces

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    We establish sufficient conditions for the existence of solutions to a class of nonlinear eigenvalue problems involving nonhomogeneous differential operators in Orlicz–Sobolev spaces.http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1631073X0900078

    Săpăturile de informare de la Gostinu şi Ghizdaru (r. Giurgiu, reg. Bucureşti) / Les fouilles d’information de Gostinu et Ghizdaru

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    Berciu Dumitru, Rădulescu Gheorghe, Mihăilescu Gabriel, Ionescu M. Săpăturile de informare de la Gostinu şi Ghizdaru (r. Giurgiu, reg. Bucureşti) / Les fouilles d’information de Gostinu et Ghizdaru. In: Materiale şi cercetări arheologice, N°7 1961. pp. 291-296
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