29 research outputs found

    Lazenay, Poisieux – Les Prés-Forêts

    Get PDF
    Un parc éolien constitué de 9 éoliennes alignées le long de la route départementale D 18 sur le territoire des communes de Lazenay (5 plates-formes) et de Poisieux (4 plates-formes) a fait l’objet d’un diagnostic archéologique. Une seule d’entre elles, la plate-forme E 9, à Poisieux, au lieu-dit Les Persillats et Les Prés-Forêt a livré une quinzaine de structures archéologiques creusées dans le calcaire : des fosses, des trous de poteau, un silo et un fossé. Aucun mobilier céramique significa..

    Saint-Doulchard – Rocade nord-ouest de Bourges

    Get PDF
    L’opération archéologique réalisée en 2018 sur le tracé de la rocade nord-ouest de Bourges a permis de compléter les observations effectuées en 2016 lors de la phase initiale de diagnostic. Les terrains correspondent aux zones 5, 6 et 7 telles qu’elles avaient été alors définies. Si l’on regroupe par grande phases chronologiques les découvertes, il est possible de proposer le découpage suivant : une occupation Néolithique/Bronze en zone 6, une occupation de la fin de l’âge du Fer et du début ..

    Cher, Aubigny-sur-Nère, Le Château, Etude Historique

    No full text

    Le grand Cimetière d’Issoudun (Indre) et ses sépultures multiples (fin xviie–début xviiie s.). Premiers résultats de l’étude historique et démographique

    No full text
    La construction d’un Centre de l’Image à Issoudun, à l’emplacement du Grand Cimetière de la ville a été précédée par une fouille archéologique de sauvetage. La direction de cette fouille, qui a eu lieu au printemps et pendant l’été 2002 a été confiée à Philippe Blanchard (Inrap Centre Île de France) qui était assisté par Isabelle Souquet-Leroy, anthropologue (Inrap). Les opérations ont montré que ce vaste cimetière aménagé hors de l’enceinte urbaine, fonctionnait depuis le Moyen Âge, avant mê..

    Le grand cimetière d’Issoudun et ses sépultures de catastrophe : l’apport de l’étude des registres paroissiaux

    No full text
    National audienceIn 2002, the excavation directed by Philippe Blanchard with Isabelle Souquet-Leroy and Dominique Castex on the site of the future image centre in Issoudun led to the discovery of multiple burial pits, known as catastrophe pits, in what used to be the town’s large cemetery. In two distinct periods, after the great fire of the town in 1651, such burial practices were used. The first was represented by twelve pits, the second by two pits. Some of them contained up to 23 individuals. Once the site was completed, significant resources were made available for archival research with two objectives: to understand when and how the great cemetery of Issoudun was established and evolved, and to find the episodes of mortality likely to explain the presence of these pits. Answering this last question involved working on the parish registers of the town’s largest parish, Saint-Cyr, which represented nearly 80% of the population. The work of Jean Gerbier, a historian from Issold, who had dealt with the plague epidemics of 1636-1637, the Fronde, a smallpox epidemic in 1658 and the beginning of the crisis in 1661, enabled us to focus on the mortality episodes at the end of the reign of Louis XIV, 1693 and 1709. The study took into account deaths as well as marriages and births according to a method established in consultation with anthropologists; a monthly count for each year distinguishing between males and females and adults and immatures, in order to establish comparisons between the population in the registers and that in the pits. For months when deaths were particularly numerous, the enumeration became daily with the constitution of nominal lists of the deceased. The results obtained made it possible to rule out the smallpox of 1658 and proved particularly significant for the years 1693 and 1709. Once the crises were well established, the work continued until a complete curve was obtained from 1685 to 1720 with some surveys for the preceding period. Counts were also undertaken in the registers of the other three parishes in the town. Municipal deliberations and tax sources – the capitation rolls of 1701 and 1709 – were also exploited. The final report of the operation, completed in 2011, raised many questions and opened up promising research prospects in archaeology and funerary anthropology as well as in archives.En 2002, la fouille dirigée par Philippe Blanchard avec Isabelle Souquet-Leroy et Dominique Castex sur le site du futur centre de l’image à Issoudun a conduit à la découverte dans ce qui était le grand cimetière de la ville, de fosses à inhumations multiples dites de catastrophes. À deux périodes distinctes, postérieures au grand incendie de la ville en 1651, on a eu recours à de telles pratiques funéraires. La première était représentée par douze fosses, la seconde par deux fosses. Certaines contenaient jusqu’à 23 individus. Le terrain achevé, d’importants moyens sont débloqués pour des recherches en archives avec deux objectifs : comprendre quand et comment le grand cimetière d’Issoudun a été établi et a évolué, et trouver les épisodes de mortalité susceptibles d’expliquer la présence de ces fosses. Répondre à cette dernière question impliquait un travail sur les registres paroissiaux de la plus grosse paroisse de la ville, Saint-Cyr qui représentait près de 80 % de la population. Les travaux de Jean Gerbier un historien issoldunois qui avait abordé les épidémies de peste de 1636-1637, la Fronde, une épidémie de variole en 1658 et le début de la crise de 1661 nous ont permis de nous concentrer sur les épisodes de mortalité de la fin du règne de Louis XIV, 1693 et 1709. L’étude a pris en compte aussi bien les décès que les mariages et les naissances selon une méthode établie en concertation avec les anthropologues ; un dénombrement mensuel pour chaque année en distinguant les hommes des femmes et les adultes des immatures, en vue d’établir des comparaisons entre la population des registres et celle des fosses. Pour mois où les décès étaient particulièrement nombreux, le dénombrement devenait quotidien avec la constitution de listes nominales des défunts. Les résultats obtenus ont permis d’écarter la variole de 1658 et se sont révélés particulièrement significatifs pour les années 1693 et 1709. Une fois les crises bien établies, le travail s’est poursuivi jusqu’à obtenir une courbe complète de 1685 à 1720 avec quelques sondages pour la période qui précède. Des dénombrements ont été aussi entrepris dans les registres des trois autres paroisses de la ville. Les délibérations municipales et des sources fiscales – les rôles de la capitation de 1701 et 1709 – ont également été exploitées. Le rapport final d’opération achevé en 2011 posait de nombreuses questions et ouvrait de belles perspectives de recherches en archéologie et anthropologie funéraire comme en archives

    Esquisse d'un document d'évaluation du patrimoine archéologique pour la ville de Dreux

    No full text
    National audienc

    Le grand cimetière d’Issoudun et ses sépultures de catastrophe : l’apport de l’étude des registres paroissiaux

    No full text
    National audienceIn 2002, the excavation directed by Philippe Blanchard with Isabelle Souquet-Leroy and Dominique Castex on the site of the future image centre in Issoudun led to the discovery of multiple burial pits, known as catastrophe pits, in what used to be the town’s large cemetery. In two distinct periods, after the great fire of the town in 1651, such burial practices were used. The first was represented by twelve pits, the second by two pits. Some of them contained up to 23 individuals. Once the site was completed, significant resources were made available for archival research with two objectives: to understand when and how the great cemetery of Issoudun was established and evolved, and to find the episodes of mortality likely to explain the presence of these pits. Answering this last question involved working on the parish registers of the town’s largest parish, Saint-Cyr, which represented nearly 80% of the population. The work of Jean Gerbier, a historian from Issold, who had dealt with the plague epidemics of 1636-1637, the Fronde, a smallpox epidemic in 1658 and the beginning of the crisis in 1661, enabled us to focus on the mortality episodes at the end of the reign of Louis XIV, 1693 and 1709. The study took into account deaths as well as marriages and births according to a method established in consultation with anthropologists; a monthly count for each year distinguishing between males and females and adults and immatures, in order to establish comparisons between the population in the registers and that in the pits. For months when deaths were particularly numerous, the enumeration became daily with the constitution of nominal lists of the deceased. The results obtained made it possible to rule out the smallpox of 1658 and proved particularly significant for the years 1693 and 1709. Once the crises were well established, the work continued until a complete curve was obtained from 1685 to 1720 with some surveys for the preceding period. Counts were also undertaken in the registers of the other three parishes in the town. Municipal deliberations and tax sources – the capitation rolls of 1701 and 1709 – were also exploited. The final report of the operation, completed in 2011, raised many questions and opened up promising research prospects in archaeology and funerary anthropology as well as in archives.En 2002, la fouille dirigée par Philippe Blanchard avec Isabelle Souquet-Leroy et Dominique Castex sur le site du futur centre de l’image à Issoudun a conduit à la découverte dans ce qui était le grand cimetière de la ville, de fosses à inhumations multiples dites de catastrophes. À deux périodes distinctes, postérieures au grand incendie de la ville en 1651, on a eu recours à de telles pratiques funéraires. La première était représentée par douze fosses, la seconde par deux fosses. Certaines contenaient jusqu’à 23 individus. Le terrain achevé, d’importants moyens sont débloqués pour des recherches en archives avec deux objectifs : comprendre quand et comment le grand cimetière d’Issoudun a été établi et a évolué, et trouver les épisodes de mortalité susceptibles d’expliquer la présence de ces fosses. Répondre à cette dernière question impliquait un travail sur les registres paroissiaux de la plus grosse paroisse de la ville, Saint-Cyr qui représentait près de 80 % de la population. Les travaux de Jean Gerbier un historien issoldunois qui avait abordé les épidémies de peste de 1636-1637, la Fronde, une épidémie de variole en 1658 et le début de la crise de 1661 nous ont permis de nous concentrer sur les épisodes de mortalité de la fin du règne de Louis XIV, 1693 et 1709. L’étude a pris en compte aussi bien les décès que les mariages et les naissances selon une méthode établie en concertation avec les anthropologues ; un dénombrement mensuel pour chaque année en distinguant les hommes des femmes et les adultes des immatures, en vue d’établir des comparaisons entre la population des registres et celle des fosses. Pour mois où les décès étaient particulièrement nombreux, le dénombrement devenait quotidien avec la constitution de listes nominales des défunts. Les résultats obtenus ont permis d’écarter la variole de 1658 et se sont révélés particulièrement significatifs pour les années 1693 et 1709. Une fois les crises bien établies, le travail s’est poursuivi jusqu’à obtenir une courbe complète de 1685 à 1720 avec quelques sondages pour la période qui précède. Des dénombrements ont été aussi entrepris dans les registres des trois autres paroisses de la ville. Les délibérations municipales et des sources fiscales – les rôles de la capitation de 1701 et 1709 – ont également été exploitées. Le rapport final d’opération achevé en 2011 posait de nombreuses questions et ouvrait de belles perspectives de recherches en archéologie et anthropologie funéraire comme en archives

    Du XII<sup>e</sup> au XX<sup>e</sup> siècle, une fresque historique à reconstituer à l’abbaye de Noirlac (Cher)

    No full text
    International audienceLa politique de prescription menée depuis la fin des années 2000 vise à mettre en cohérence l’apport de nombreuses décennies de recherche archéologique (fouilles anciennes puis préventives) sur un site emblématique. Les perspectives étaient triples : disposer de l’ensemble des éléments de décision pour accompagner le projet d’aménagement paysager ; valoriser l’apport de l’archéologie à la connaissance de Noirlac ; penser un outil pouvant orienter la réflexion sur les aménagements futurs
    corecore