28 research outputs found

    Phase space polarization and the topological string: a case study

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    We review and elaborate on our discussion in hep-th/0606112 on the interplay between the target space and the worldsheet description of the open topological string partition function, for the example of the conifold. We discuss the appropriate phase space and canonical form for the system. We find a map between choices of polarization and the worldsheet description, based on which we study the behavior of the partition function under canonical transformations.Comment: 18 pages, invited review for MPL

    Mapping the Bentham Corpus

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    University College London (UCL) owns a large corpus of the philosopher and social reformer Jeremy Bentham (1748-1832). Until recently, these papers were for the most part untranscribed, so that very few people had access to the corpus to evaluate its content and its value. The corpus is now being digitized and transcribed thanks to a large number of volunteers recruited through a crowd-sourcing initiative called Transcribe Bentham (Causer and Terras, 2014a, 2014b). The problem researchers are facing with such a corpus is clear: how to access the content, how to structure these 30,000 files, and how to get relevant access to this mass of data? Our goal has thus been to produce an automatic analysis procedure aiming at providing a general characterization of the content of the corpus. We are more specifically interested in identifying the main topics and their structure so as to provide meaningful static and dynamic representations of their evolution over time

    «La relation de limitation et d’exception dans le français d’aujourd’hui : exceptĂ©, sauf et hormis comme pivots d’une relation algĂ©brique »

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    L’analyse des emplois prĂ©positionnels et des emplois conjonctifs d’ “exceptĂ©â€, de “sauf” et d’ “hormis” permet d’envisager les trois prĂ©positions/conjonctions comme le pivot d’un binĂŽme, comme la plaque tournante d’une structure bipolaire. PlacĂ©es au milieu du binĂŽme, ces prĂ©positions sont forcĂ©es par leur sĂ©mantisme originaire dĂ»ment mĂ©taphorisĂ© de jouer le rĂŽle de marqueurs d’inconsĂ©quence systĂ©matique entre l’élĂ©ment se trouvant Ă  leur gauche et celui qui se trouve Ă  leur droite. L’opposition qui surgit entre les deux Ă©lĂ©ments n’est donc pas une incompatibilitĂ© naturelle, intrinsĂšque, mais extrinsĂšque, induite. Dans la plupart des cas (emplois limitatifs), cette opposition prend la forme d’un rapport entre une « classe » et le « membre (soustrait) de la classe », ou bien entre un « tout » et une « partie » ; dans d’autres (emplois exceptifs), cette opposition se manifeste au contraire comme une attaque de front portĂ©e par un « tout » Ă  un autre « tout ». De plus, l’inconsĂ©quence induite mise en place par la prĂ©position/conjonction paraĂźt, en principe, tout Ă  fait insurmontable. Dans l’assertion « les Ă©cureuils vivent partout, sauf en Australie » (que l’on peut expliciter par « Les Ă©cureuils vivent partout, sauf [qu’ils ne vivent pas] en Australie »), la prĂ©position semble en effet capable d’impliquer le prĂ©dicat principal avec signe inverti, et de bĂątir sur une telle implication une sorte de sous Ă©noncĂ© qui, Ă  la rigueur, est totalement inconsĂ©quent avec celui qui le prĂ©cĂšde (si « les Ă©cureuils ne vivent pas en Australie », le fait qu’ils « vivent partout » est faux). NĂ©anmoins, l’analyse montre qu’alors que certaines de ces oppositions peuvent enfin ĂȘtre dĂ©passĂ©es, d’autres ne le peuvent pas. C’est, respectivement, le cas des relations limitatives et des relations exceptives. La relation limitative, impliquant le rapport « tout » - « partie », permet de rĂ©soudre le conflit dans les termes d’une somme algĂ©brique entre deux sous Ă©noncĂ©s pourvus de diffĂ©rent poids informatif et de signe contraire. Les valeurs numĂ©riques des termes de la somme Ă©tant dĂ©sĂ©quilibrĂ©es, le rĂ©sultat est toujours autre que zĂ©ro. La relation exceptive, au contraire, qui n’implique pas le rapport « tout » - « partie », n’est pas capable de rĂ©soudre le conflit entre deux sous Ă©noncĂ©s pourvus du mĂȘme poids informatif et en mĂȘme temps de signe contraire : les valeurs numĂ©riques des termes de la somme Ă©tant symĂ©triques et Ă©gales, le rĂ©sultat sera toujours Ă©quivalent Ă  zĂ©ro

    RelatĂłrio de estĂĄgio em farmĂĄcia comunitĂĄria

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    RelatĂłrio de estĂĄgio realizado no Ăąmbito do Mestrado Integrado em CiĂȘncias FarmacĂȘuticas, apresentado Ă  Faculdade de FarmĂĄcia da Universidade de Coimbr

    Etude macroscopique du champ linguistique en France dans laprĂšs-guerre

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    LĂ©tude de lhistoire et de lĂ©volution des idĂ©es en linguistique sest considĂ©rablement dĂ©veloppĂ©e ces derniĂšres annĂ©es. La recherche porte le plus souvent sur des pĂ©riodes prĂ©cises du passĂ© sur lesquelles on a un certain recul, afin den faire ressortir les orientations et les lignes de force. Il est beaucoup plus risquĂ© danalyser la pĂ©riode contemporaine. Pourtant, on ne peut quĂȘtre frappĂ© par les hauts et les bas dun domaine, la linguistique, quelque peu dĂ©laissĂ©e aprĂšs la guerre, si forte dans les annĂ©es 1960, et Ă  nouveau en plein questionnement aujourdhui, pour autant que lon puisse en juger. Ce sont ces mouvements de flux et de reflux que larticle essaie de cerner, Ă  un niveau macroscopique. Notre point de dĂ©part sera lĂ©tude de Jean-Claude Chevalier et Pierre EncrevĂ©, Combats pour la linguistique (2006). Dans ce livre, les auteurs dĂ©crivent lĂ©volution de la linguistique en France aprĂšs la guerre (et plus particuliĂšrement la crĂ©ation des revues de linguistique entre 1958 et 1968). Les auteurs, pour mener Ă  bien leur enquĂȘte fondĂ©e sur des interviews des principaux acteurs du domaine, Ă©tendent leur champ dinvestigation jusquau dĂ©but du 20e siĂšcle. LĂ©tude de Chevalier et EncrevĂ© se situe clairement dans une perspective sociologique, « Ă  la Bourdieu ». Il sagit, Ă  travers les interviews, dĂ©tudier le « champ » linguistique, les positions de « pouvoir » et de luttes entre individus et entre thĂ©ories. Cette dimension est Ă©videmment prĂ©sente, et le livre des deux auteurs laissent bien apparaĂźtre ces oppositions entre classiques et modernes, anciennes thĂ©ories et nouveautĂ© des annĂ©es 1960, etc. Mais, au-delĂ  de cette vision du champ linguistique, il ne semble pas inutile de revenir sur ces prĂ©misses, y compris pour en examiner les consĂ©quences sur une pĂ©riode plus rĂ©cente. Quelles sont les oppositions Ă  luvre ? Y a-t-il rĂ©ellement une opposition fondamentale entre philologie et linguistique ? Y a-t-il une spĂ©cificitĂ© française dans le renouveau linguistique de laprĂšs-guerre ? Quel est le poids des Ă©tudes classiques et des Ă©tudes portant sur des langues modernes ? Dans quelle mesure peut-on parler de « structuralisme Ă  la française » ? Quelle a Ă©tĂ© la portĂ©e (scientifique, Ă©pistĂ©mologique, voire philosophique, Ă  lintĂ©rieur et Ă  lextĂ©rieur des frontiĂšres) de ce structuralisme dans laprĂšs-guerre ? Ce sont quelques unes des questions auxquelles ce bref article essaie de rĂ©pondre

    Parsing Natural Language Idioms with Bidirectional Finite-State Machines

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    In this paper, we introduce the notion of bidirectional nite-state automata (BFSA). A BFSA is dened by the following sequence: A left :!:A right , where ! is a word called pivot, A right a FSA that should be read from the left to the right and A left a FSA that should be read from the right to the left. ! is an edge linking the initial state of A left to the initial state of A right . We present the use of such devices for natural language processing. In this context, BFSA have to be enriched with notions of proximity, optionality and contextual information. Some concrete examples are examined.

    Cognitive aspects of computational language acquisition

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    International audienceQuestions related to language acquisition have been of interest for many centuries, as children seem to acquire a sophisticated capacity for processing language with apparent ease, in the face of ambiguity, noise and uncertainty. However, with recent advances in technology and cognitive-related research it is now possible to conduct large-scale computational investigations of these issues. The book discusses some of the latest theoretical and practical developments in the areas involved, including computational models for language tasks, tools and resources that help to approximate the linguistic environment available to children during acquisition, and discussions of challenging aspects of language that children have to master
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