51 research outputs found

    Nourrir les villes en Afrique sub-saharienne

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    Flujos geograficos en el Ecuador : intercambios de bienes, personas e informacion

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    L'Equateur produit toute la nourriture de base que peut acheter sa population, seul le blé fait exception. Le blé constitue la troisième source de calories après le riz et le sucre et provient à 90% des USA. Cette dépendance, qui s'expliquait en partie à la fin des années soixante-dix, par un cours mondial du blé plus bas que celui du blé équatorien, s'est développé grâce à des subventions versées par les USA et par l'Equateur. La chute récente de la monnaie nationale, liée à la crise pétrolière, entraîna un accroissement des subventions nationales de blé, dont le prix devenait voisin de celui du cours mondial. Des mesures, d'inspiration libérale, prises en août 1986, ont modifié cette politique : suppression des subventions équatoriennes au blé importé, libéralisation des prix des produits dérivés du blé. Ces mesures seront-elles suffisantes au moment où le cours mondial du blé s'affaisse, pour entreprendre une véritable politique d'indépendance alimentaire ? (Résumé d'auteur

    Les charrues de la Bagoué : gestion paysanne d'une opération cotonnière en Côte d'Ivoire

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    Dans les années soixante-dix, les organismes internationaux prennent le relais des Etats du Tiers Monde pour soutenir et contrôler les politiques agricoles qui ont précédemment échoué. En Côte-d'Ivoire, la Banque mondiale finance un ambitieux projet de la Compagnie ivoirienne pour le Développement des Textiles (CIDT) : introduire la culture attelée, intensifier les cultures vivrières et rendre les champs permanents dans le Nord-Ouest ivoirien. Ce livre retrace les débuts (1974 à 1978) de la passionnante aventure de paysans qui, dans une région faiblement peuplée, ont élaboré des sytèmes agraires en harmonie avec l'environnement. Opérant un tri dans la panoplie technologique proposée par la CIDT, ils restent à l'affût de ce qui améliorera leur niveau de vie ou l'organisation de leur travail. Mais les nouvelles techniques contribuent à accentuer les différenciations socio-économiques; la stabilisation des cultures demeure encore une chimère, pour la CIDT comme pour les paysans, et, dans ces conditions, le bulldozer ravage les sols; la concurrence vivriers-coton n'est pas un vain mot quand c'est une société cotonnière qui se charge de promouvoir le riz et le maïs; l'installation récente des Peul et de leurs zébus chassés du Sahel par la sécheresse suscite des projets de développement contraignants, pour les éleveurs comme pour les paysans; les villes attirent les jeunes aussi... Tout bouge, la voie du développement n'est décidément pas aussi clairement tracée que le croyait la CIDT, mais la culture attelée est adoptée et la puissante volonté de progrès des paysans ne laisse pas indifférent. Quinze ans ont passé. De nouvelles études de l'ORSTOM cherchent à saisir l'évolution actuelle : l'ajustement structurel sévit ici comme ailleurs dans le Tiers Monde, les charrues sont toujours là, mais il n'y a plus l'aide de l'Etat comme dans les années soixante, plus d'aide internationale comme dans les années soixante-dix, les paysans se trouvent seuls à inventer leur avenir. (Résumé d'auteur

    Le voyage inachevé... à Joël Bonnemaison

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    Poverty is not a condition of life based on a culture one can approve or be proud of. It is an abyss one tries to get out of by means of physical resistance, of the knowledge gained in poverty and of customs shared with those who are outside the abyss, within specific territories. This analysis deals with poor families living in Quito in 1988-1989. (Résumé d'auteur
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