33 research outputs found

    « Fondations qarâkhânides », in : Pierre Leriche, Charir Pidaiev et Mathilde Gelin, éds., La Bactriane au carrefour des routes et des civilisations de l’Asie centrale : Termez et les villes de Bactriane-Tokharestan. Paris, Maisonneuve et Larose, 2001 (La Bibliothèque d’Asie centrale ; 1), pp. 335-352.

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    L’article est une recension des constructions fondées par les Qarâkhânides et leur entourage d’après les vestiges archéologiques qui en subsistent, l’histoire de certains d’entre eux étant éclairée par la présence d’inscriptions et d’après des témoignages littéraires. Les plus anciens de ces monuments datent des premières décennies du 11e s. et parmi eux se trouve le premier exemple de complexe architectural composé d’une fondation pieuse et du mausolée de son fondateur : la madrasa de Tamghâ..

    « La mosquée de Tchor Soutoun à Termez. Sa place dans l’architecture islamique », in : Pierre Leriche, Charir Pidaiev et Mathilde Gelin, éds., La Bactriane au carrefour des routes et des civilisations de l’Asie centrale : Termez et les villes de Bactriane-Tokharestan. Paris, Maisonneuve et Larose, 2001 (La Bibliothèque d’Asie centrale ; 1), pp. 385-398.

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    L’A. replace dans le contexte de l’architecture islamique du haut Moyen-Age et plus particulièrement de l’Asie centrale une mosquée aujourd’hui disparue que V. Shishkin avait présentée dans le compte-rendu des fouilles archéologiques de Termez initiées par M. Masson en 1934-36. T.B. dresse un panorama général des mosquées à neuf coupoles dans tout le monde islamique, sans pour autant apporter d’opinion personnelle sur la question des origines de ce plan. Elle souligne aussi les particularités..

    « Qarakhanid wall paintings in the citadel of Samarqand: first report and preliminary observations ». Muqarnas, XXII, 2005, pp. 45-84.

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    Dans ce premier article consacré aux peintures découvertes à Afrasiab (ancienne Samarqand), à partir de 2000 par la mission franco-uzbèke (ENS), l’A. propose une première interprétation du programme artistique. Ces peintures sur plâtre et enduit ont été exhumées dans le niveau de destruction d’un pavillon lui-même construit sur le niveau d’abandon d’un palais abbaside datant du VIIIe s. et rasé au Xe s. Un des plus beaux panneaux représente un guerrier turc aux longues nattes tenant une flèch..

    « Un cycle de peintures murales d’époque qarâkhânide (XIIe-XIIIe siècles) à la citadelle de Samarqand : le souverain et le peintre ». Comptes-rendus des séances de l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, novembre-décembre 2003, pp. 1685-1731.

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    Ce second article s’attache plus particulièrement à l’analyse du programme pictural qui ornait le pavillon princier qarâkhânide découvert à Samarqand. Les peintures, d’un style particulièrement raffiné, avaient été conçues pour s’inscrire dans le programme architectural, à la gloire du prince. Frises géométriques et animalières viennent souligner des scènes où apparaissent des figures interprétées par l’A. comme pouvant être celle d’un prince et de dignitaires. Un fragment de poème en persan ..

    « Archaeological Research at Suhâr 1980-1986 ». Journal of Oman Studies 13, 2004, pp. 263-381.

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    L’article relate la fouille française faite entre 1980 et 1986 sur ce qui fut la grande ville portuaire du ‘Umân du haut moyen âge et jusqu’ aux alentours du XIIe-XIIIe s. de l’è.c. (après des sondages limités, inaboutis ou inédits tentés entre 1958 et 1975 par d’autres équipes). Le principal sondage ouvert au centre de la vieille ville, au point le plus haut du tell, révéla 7m de dépôts archéologiques. Les premiers niveaux d’occupation pourraient être un peu antérieure aux Sassanides (milieu..

    « Bihârî et naskhî-dîwânî : remarque sur deux calligraphies de l’Inde des sultanats ». Studia Islamica, 96 (2003), pp. 81-93, pl. XVIII-XXIV.

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    La difficulté de dater et de localiser les manuscrits islamiques produits en Inde à la période des sultanats (1206-fin du 16e s.) tient à plusieurs facteurs. Rares sont ceux qui, avant la fin du 16e s., portent la mention d’une date ou d’un lieu de production. De plus, ces manuscrits présentent de grandes disparités, à la fois picturales et calligraphiques. Enfin, la multiplicité des sources d’inspiration contribue à brouiller les pistes que l’A. se propose de démêler à travers l’étude de deu..

    « L’art du métal dans le Khorasan oriental et le Mâverâ al-Nahr du VIIIe au XVIe siècle », in : Pierre Leriche, Charir Pidaiev et Mathilde Gelin, éds., La Bactriane au carrefour des routes et des civilisations de l’Asie centrale : Termez et les villes de Bactriane-Tokharestan. Paris, Maisonneuve et Larose, 2001 (La Bibliothèque d’Asie centrale ; 1), pp. 353-384.

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    L’A. étudie les objets métalliques prestigieux du Khurâsân et de la Transoxiane, en tentant de différencier ces deux productions qui jusqu’à présent n’ont pas fait l’objet d’approche distinctive, et que seul A. Ivanov avait remarquées. L’article se limite aux objets attribués d’une part à la période allant du 8e au 13e s., d’autre part au règne des Tîmûrides. Le corpus se compose d’objets provenant de fouilles, parfois découverts dans des caches (telle celle de Boutracht), et pour la plupart ..

    « La mosquée de Tchor Soutoun à Termez. Sa place dans l’architecture islamique », in : Pierre Leriche, Charir Pidaiev et Mathilde Gelin, éds., La Bactriane au carrefour des routes et des civilisations de l’Asie centrale : Termez et les villes de Bactriane-Tokharestan. Paris, Maisonneuve et Larose, 2001 (La Bibliothèque d’Asie centrale ; 1), pp. 385-398.

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    L’A. replace dans le contexte de l’architecture islamique du haut Moyen-Age et plus particulièrement de l’Asie centrale une mosquée aujourd’hui disparue que V. Shishkin avait présentée dans le compte-rendu des fouilles archéologiques de Termez initiées par M. Masson en 1934-36. T.B. dresse un panorama général des mosquées à neuf coupoles dans tout le monde islamique, sans pour autant apporter d’opinion personnelle sur la question des origines de ce plan. Elle souligne aussi les particularités..

    « Un cycle de peintures murales d’époque qarâkhânide (XIIe-XIIIe siècles) à la citadelle de Samarqand : le souverain et le peintre ». Comptes-rendus des séances de l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, novembre-décembre 2003, pp. 1685-1731.

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    Ce second article s’attache plus particulièrement à l’analyse du programme pictural qui ornait le pavillon princier qarâkhânide découvert à Samarqand. Les peintures, d’un style particulièrement raffiné, avaient été conçues pour s’inscrire dans le programme architectural, à la gloire du prince. Frises géométriques et animalières viennent souligner des scènes où apparaissent des figures interprétées par l’A. comme pouvant être celle d’un prince et de dignitaires. Un fragment de poème en persan ..

    « Fondations qarâkhânides », in : Pierre Leriche, Charir Pidaiev et Mathilde Gelin, éds., La Bactriane au carrefour des routes et des civilisations de l’Asie centrale : Termez et les villes de Bactriane-Tokharestan. Paris, Maisonneuve et Larose, 2001 (La Bibliothèque d’Asie centrale ; 1), pp. 335-352.

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    L’article est une recension des constructions fondées par les Qarâkhânides et leur entourage d’après les vestiges archéologiques qui en subsistent, l’histoire de certains d’entre eux étant éclairée par la présence d’inscriptions et d’après des témoignages littéraires. Les plus anciens de ces monuments datent des premières décennies du 11e s. et parmi eux se trouve le premier exemple de complexe architectural composé d’une fondation pieuse et du mausolée de son fondateur : la madrasa de Tamghâ..
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