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    La molaire d’enfant néandertalien de Genay (Côte-d’Or, France). Réflexions sur la variabilité dentaire des Néandertaliens

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    En 1985, un germe isolé d’une molaire inférieure était mis au jour par Y. Pautrat dans le site de Genay en Côte-d’Or (France) durant des fouilles de sauvetage. Ce germe a été trouvé avec du matériel lithique attribué au Moustérien et des vestiges fauniques qui pourraient être rapportés au stade isotopique 4. Toutefois, il n’est pas possible d’établir précisément la position spatiale de ce nouveau vestige, numéroté Genay 3, avec le crâne fragmentaire de Genay 1 (et la dent isolée de Genay 2) mis au jour lors des fouilles de J. Joly et J.-J. Puisségur en 1955 (Joly 1955).Le fossile Genay 3 est identifié comme un germe de première molaire permanente droite ayant appartenu à un enfant de 2/3 ans étant donné la calcification de la couronne dentaire. Les diamètres mésio-distal et vestibulo-lingual sont importants avec des valeurs voisines de celles de la série de Krapina ou d’autres Néandertaliens. Cette pièce se caractérise par ses dimensions et une morphologie assez tourmentée de sa face occlusale avec sept cuspides, une fossette mésiale profonde et bien individualisée, comme cela est documenté chez d’autres Néandertaliens immatures. L’étude de ce germe permet de mieux connaître la variabilité des populations qui peuplaient la Bourgogne au Moustérien. Cela nous conduit aussi à présenter des réflexions préliminaires quant à celle de certains traits morphologiques (la mid trigonid crest) et métriques des membres de la lignée néandertalienne

    Dix ans d’archéologie forestière dans le Châtillonnais (Côte-d’Or) : enclos, habitats, parcellaires

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    Depuis 1997 des recherches sont menées sur des ensembles de structures en pierre sèche préservées par les forêts du Châtillonnais, au nord de la Côte-d’Or, dans le cadre, depuis 2003, du P.C.R. de Vix et son environnement dirigée par C. Mordant et B. Chaume.Les vestiges étudiés sont implantés sur un plateau calcaire et les rebords de la Digeanne et du Brevon (affluent de la Seine) qui entaillent ce plateau à l’est et au sud. Une voie antique traverse cette zone, de l’agglomération celtique de Beneuvre à la ville gallo-romaine de Vertault. Cette voie dessert aussi le sanctuaire d’Essarois et celui du Trembloy.Une partie méthodologique est consacrée aux différents moyens mis en œuvre, compte-tenu de la spécificité du milieu forestier. Les relevés G.P.S. – sur 5 000 hectares environ – sont intégrés dans un S.I.G. et constituent la base de cette étude. Une étude typologique des structures visibles en relief a été faite, appuyée en partie sur l’hypothèse d’une équivalence entre les formes dessinées par les murées de pierre, en forêt, et celles dessinées par les fossés, dans les terres agricoles. Les principales structures sont en élévation. On distingue des structures linéaires, rectilignes ou curvilignes : murées de pierres brutes ou épaulements matérialisant une différence de niveaux entre deux surfaces et des talus. Ces limites se complètent fréquemment pour former des parcelles complètes ou non. Il faut aussi y ajouter les tertres très nombreux, tas de pierres ronds ou allongés, ou quadrangulaires. Certains, alignés, matérialisent des limites. D’autres structures sont des pierres dressées intégrées dans les murées ou isolées s’apparentant à des mégalithes (?). Quelques structures sont en creux, minières et fours à chaux.En complément des observations spatiales, des séries de structures ont été testées au détecteur à métaux : la densité de matériel ferreux permet de délimiter les espaces occupés et aménagés, il apporte des indices de datation et des caractérisations fonctionnelles.Parmi les nombreux ensembles parcellaires de même facture relevés, trois types d’habitats sont à présent identifiés :- des habitats en matériaux périssables principalement situés sur les rebords de plateau sont entourés de murées en pierre brute formant des enclos de forme irrégulière, complets ou incomplets. Ils sont proches d’une source ou d’un ruisseau. Leur prospection systématique a permis de recueillir des indices s’échelonnant sur toute la Tène et aux deux premiers siècles de notre ère. Ils sont tous présentés avec cartes, dessins de détail. Le matériel recueilli est expertisé par J.-P. Guillaumet.- Sur le plateau des habitats en dur, visibles sous forme de tertres, comportent des dépressions internes et parfois des éléments architecturaux. Les plans sont le plus souvent géométriques : un enclos parallélépipédique, à l’intérieur duquel sont adossés un ou plusieurs pierriers. La fouille de la villa de la Pépinière a montré que, sous ces pierriers, on trouvait des bâtiments construits. Leur implantation sur les parties planes et la présence d’éléments architecturaux pourrait en faire des habitats ruraux gallo-romains, peut-être liés aux cultures céréalières. Ces habitats en dur sont éloignés de l’eau courante (près de la moitié sont à plus de 3 km et seulement 4 à moins de 500 m), mais ils peuvent intégrer des points de stockage (mares, puits).- Enfin, en deux endroits occupés à la période protohistorique (Minot et Busseaut), des groupes de tertres quadrangulaires à deux niveaux, semblent constituer des habitats en pierre sèche dans lesquels la fouille de Ch. Peyre et les prospections n’ont trouvé que très peu de matériel et constituent probablement une occupation du haut Moyen-Âge.Les habitats sont intégrés dans un espace organisé par des limites linéaires qui constituent au sens large du terme des parcellaires, seuls trois ensembles constituant des parcellaires fermés et quadrillés. Une synthèse est proposée de leurs différentes formes et fonctions.En complément, J.-P. Thévenot étudie les lames de couteaux recueillies au détecteur et L. Popovitch les monnaies gauloises et antiques.Research has been carried out since 1997 on the sets of dry-stone structures preserved by the forests of the Châtillonnais to the north of the Côte-d’Or. Since 2003 these studies have fallen within the context of the P.C.R. of Vix and its surroundings, under the direction of C. Mordant and B. Chaume.The remains studied stand on a limestone plateau and along the courses of the Digeanne and Brevon rivers (the latter a tributary of the Seine), which run across the plateau on the east and south sides. An ancient road crosses the zone from the Celtic agglomeration of Beneuvre and the Gallo-Roman town of Vertault. The road also leads to the sanctuaries of Essarois and Trembloy.A section is devoted to the methodology used regarding the different means employed, taking account of the specific nature of the forest environment. GPS readings of approximately 5000 hectares have been integrated into a GIS and form the basis of this study. A typological report has been made of the visible structures, based in part on the hypothesis of a correspondence between the forms traced out by the stone walls in the forest and those traced out by ditches in agricultural land. The principal structures are erections. It is possible to discern straight and curved structures : walls made from uncut stones or retaining walls marking a difference in level between two surfaces and embankments. These boundaries frequently join up to form complete (or incomplete) plots of land. These are complemented by abundant mounds of stones; the mounds are sometimes circular, sometimes four-sided, sometimes extended lengthways. Some of these mounds are set out in lines to mark boundaries. Other structures are formed by dressed stones incorporated into walls or isolated, when they bear similarities to megaliths (?). Some structures are hollow, being either mines or lime kilns.In addition to observation of their layout, the series of structures were tested with a metal detector: the density of ferrous materials enables the spaces occupied and used to be determined, and provides clues for purposes of dating and the usages to which the spaces were put.Three types of habitat have so far been identified among the many plots of land of the same construction :i. habitats made mainly from perishable materials situated on the edges of the plateau are encircled by dry-stone walls forming irregularly shaped enclosures, whether fully closed or not. They stand close to a spring or stream. Systematic excavation returned data pertaining to all of the La Tène period and the first two centuries of the Christian era. These habitats are all represented with maps and detailed drawings. The materials gathered have all been evaluated by J.-P. Guillaumet. ii. habitats of permanent structures on the plateau, which are seen in the form of mounds, include internal depressions and sometimes architectural features. In general the layouts are geometric: a parallelepiped enclosure surrounding one or several masses of fallen rocks. Excavation of the villa at La Pépinière showed that such masses covered constructed buildings. Their construction on level ground and the presence of architectural elements suggest they might be rural Gallo-Roman habitats, perhaps linked to the cultivation of cereal crops. These permanent structures stand far from running water (approximately half of them more than 3 km away and only 4 of them within 500 m) but they may have resources for the storing of water (ponds, wells). iii. finally, in two places occupied during the protohistoric period (Minot and Busseaut), groups of four-sided, two-level mounds seem to form dry-stone habitats. The excavation carried out by Ch. Peyre has revealed very few materials and they were probably occupied during the early Middle Ages. The habitats are contained within a space limited by linear boundaries that form, in a very broad interpretation of the term 'parcels', just three sets of closed, squared parcels. A summary is given of their different forms and functions. Additionally, J.-P. Thévenot provides a study of knife-blades found with the help of a metal detector and L. Popovitch describes the Gallic and ancient coins discovered.Im Rahmen des von C. Mordant und B. Chaume geleiteten „Programme Collectif de Recherche“ zu Vix und seiner Umgebung werden seit 1997 in den Wäldern des Châtillonnais, im Norden des Departements Côte-d’Or erhaltene Trockensteinmauern untersucht.Die Siedlungsreste befinden sich in der Mitte und an den Rändern des Kalkplateaus und den Hängen der Digeanne und des Brevon (Zufluss der Seine), die die Hochebene im Osten und im Süden einschneiden. Eine keltische und dann römische Straße durchquert diese Zone und führt von Beneuvre nach Vertault und zu den Heiligtümern von Essarois und Trembloy.Ein methodologischer Teil ist den unterschiedlichen Mitteln gewidmet, die angesichts der Spezifizität der waldigen Umgebung angewandt wurden. G.P.S.-Aufzeichnungen – auf ca. 5 000 ha – wurden in ein G.I.S. integriert und bilden die Basis dieser Studie. Daneben wurde eine typologische Untersuchung der im Relief sichtbaren Strukturen durchgeführt. Sie stützt sich zum Teil auf die Hypothese einer Entsprechung zwischen den Formen der murée, im Wald und denen der Gräben in den landwirtschaftlich genutzten Gebieten. Die wichtigsten Strukturen sind noch im Relief sichtbar. Man unterscheidet lineare, gradlinige oder krummlinige Strukturen: murée oder Vorsprünge, die einen Höhenunterschied zwischen zwei Flächen und Böschungen markieren. Diese Begrenzungen ergänzen sich häufig, um vollständige - allseitig eingegrenzte - oder unvollständige - nur teilweise eingegrenzte - Parzellen zu bilden. Hinzu kommen die überaus zahlreichen hügelähnlichen, runden, länglichen oder viereckigen Steinhaufen. Manche sind in Reihen angeordnet und materialisieren Abgrenzungen. Bei anderen Strukturen handelt es sich um aufgestellte, in die murées integrierte oder isolierte Steine, die Gemeinsamkeiten mit Megalithen aufweisen (?). Einige Strukturen sind hohl, hierbei handelt es sich um Abbaugruben und Kalköfen.Zusätzlich zu den räumlichen Beobachtungen wurden einige Strukturen mit dem Metalldetektor untersucht: Die Dichte von eisenhaltigem Material, das Anhaltspunkte für die Datierung und die Funktionsbestimmung liefert, ermöglicht eine Eingrenzung der bewohnten und strukturierten Bereiche.Bei den zahlreichen Parzellen-Gruppen wurden bis heute drei Siedlungstypen unterschieden :- Hauptsächlich am Rand des Plateaus gelegene Siedlungsstrukturen aus vergänglichem Material, die von murées aus unbehauenen Steinen umgeben sind. Sie bilden Umfriedungen, deren Form unregelmäßig sein kann; bei manchen ist die Begrenzung nicht mehr erkennbar, und sie liegen in der Nähe einer Quelle oder eines Baches. Die durch die systematische Prospektion erhaltenen Indizien ergeben eine Datierung über das gesamte Latène und die ersten Jahrhunderte unserer Zeit. Sie sind sämtlich mit Karten und Detailzeichnungen dargestellt. Das Fundmaterial wurde von J.-P. Guillaumet untersucht.- Auf dem Plateau haben an den Steinhaufen erkennbare Steinhäuser gestanden; sie zeichnen sich durch Vertiefungen im Innenbereich aus, mitunter sind Architekturelemente erhalten. Die Grundrisse sind meistens geometrisch: eine parallelepipedische Einfriedung umgibt einen oder mehrere Schutthaufen. Die Ausgrabung der villa de la Pépinière hat erwiesen, dass sich unter diesen Schutthaufen Mauerreste befanden. Ihre ebene Lage und das Vorhandensein von Architekturelementen sind wahrscheinlich ein Hinweis darauf, dass es sich um gallo-römische Siedlungsbereiche handelt, die vielleicht mit dem Getreideanbau in Zusammenhang standen. Diese gemauerten Siedlungsstrukturen sind von fließendem Wasser weit entfernt (fast die Hälfte in über 3 km Entfernung und nur 4 in einer Entfernung von unter 500 m), jedoch können sie mit eigenen Wasserreserven (Teich, Brunnen) ausgestattet sein.Die Gruppen von viereckigen Steinhaufen mit zwei Niveaus an zwei bereits in frühgeschichtlicher Zeit besiedelten Orten (Minot und Busseaut) scheinen von Wohnstrukturen aus Trockensteinmauern zu stammen, in denen die Grabung von Ch. Peyre und die Prospektionen kaum Material zutage gebracht hat. Sie dürften zu einer frühmittelalterlichen Siedlung gehört haben.Die Siedlungsstrukturen sind in ein durch lineare Abgrenzungen strukturiertes Areal integriert, die im weiteren Sinn Parzellierungen entsprechen. Nur drei Ensembles bilden geschlossene und rasterförmig organisierte Parzellen. Eine Synthese ihrer Formen und Funktionen wird vorgeschlagen.Ergänzend wurden zwei Materialkategorien untersucht: J.-P. Thévenot studierte die mit dem Metalldetektor entdeckten Messerschneiden und L. Popovitch die gallischen und antiken Münzen

    Nouveau regard sur le Bronze ancien en Bourgogne à la lumière de l’étude d’une hache récemment découverte en forêt d’Étaules (Côte-d’Or)

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    La découverte fortuite d’une lame de hache en bronze en forêt d’Étaules, dans des conditions douteuses en 2010, a conduit à son étude aussi détaillée que possible et à sa remise en contexte culturel en offrant ainsi un regard actualisé sur le Bronze ancien en Bourgogne. Cette hache à petits rebords est proche du type de Neyruz et datable du milieu du Bronze ancien. Très bien conservée, elle a été soigneusement préparée après sa sortie d’un moule en plusieurs parties ; elle porte les marques d’une utilisation, mais elle est encore tout à fait fonctionnelle. Sa présence, pourtant privée de contexte archéologique à l’endroit même de la découverte, renforce toutefois l’idée d’une occupation humaine bel et bien développée en Bourgogne dès le début du deuxième millénaire avant notre ère.In 2010, in doubtful circumstances, a bronze axe blade was fortuitously discovered in the forest of Étaules. The artefact has been studied as detailed as possible in order to suggest its former cultural context, thus allowing to give a brief review of the Early Bronze Age in Burgundy. This flanged axe, close to the Neyruz type, can be attributed to the mid-Early Bronze Age. In an excellent state of preservation, it was carefully prepared after having been cast in a split mould; although worn by use, it remains fully functional. Despite the lack of the archaeological context at the precise place where it was discovered, its presence strengthens the idea of a developed human occupation in Burgundy at the time of the early second millennium B.C.Ein im Jahr 2010 unter ungeklärten Umständen im Wald von Étaules zufällig aufgefundenes Bronzebeil konnte im Rahmen dieser Studie ausführlich untersucht und in seinen kulturellen Kontext eingeordnet werden, was uns gleichzeitig erlaubt, eine aktuelle Übersicht zur Frühbronzezeit in Burgund zu geben. Das Beil mit niedrigen Randleisten steht dem Typ Neyruz nahe und kann in die mittlere Frühbronzezeit datiert werden. Der sehr gute Erhaltungszustand läßt erkennen, daß der in mehrteiliger Form hergestellte Gegenstand nach dem Guß sorgfältig überarbeitet wurde. Er zeigt zwar Gebrauchsspuren, ist aber voll funktionsfähig. Wenn auch ohne verbürgten archäologischen Kontext, bestätigt der Fund dennoch die Vision einer fortgeschrittenen Besiedlung Burgunds zu Beginn des zweiten vorchristlichen Jahrtausends

    La Chapelle aux Saints (Corrèze). Deux séries lithiques inédites

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    Some of the stone objects recovered from the excavation at Bouffia Bonneval by J. and A. Bouyssonie from 1906 to 1908 remained unstudied at the Bossuet School of Brive (Corrèze). These 183 pieces do not raise doubts about what in known elsewhere about this industry (Charentian Mousterian. Quina type), but supply information about excavations and the way hthic senes were studied before the works of F. Bordes. Another lithic series recently collected on the slopes facing the site is presented in complement to the mousterian gisement, and shows the presence of another contemporary as well as a later neolithic occupation.Une partie du matériel lithique des fouilles de la "Bouffia Bonneval" par les abbés Bouyssonie en 1908 était restée inédite à l'Ecole Bossuet de Brive Ces 183 pièces ne remettent pas en cause ce qui est connu par ailleurs de cette industrie (Moustérien charentien de type Quina). Elles ont surtout livré des renseignements historiques sur les conditions de la fouille et la façon dont était abordée l'étude d'une série lithique avant les travaux de F. Bordes. Leur présentation est complétée par celle d'une série lithique récemment recueillie sur les pentes qui font face au gisement moustérien ; celle-ci montre la présence d'un moustérien contemporain et une occupation néolithique postérieurePautrat Yves. La Chapelle aux Saints (Corrèze). Deux séries lithiques inédites. In: Paléo, n°6,1994. pp. 105-113

    Un poignard biface en silex à Bèze (Côte-d'Or)

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    National audienc

    6. L’industrie lithique

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    L’expérience et la carrière de Robert Octobon étant avant tout celles d’un préhistorien, il n’est pas étonnant qu’au cours de ces quelque dix ans de fouille, un matériel lithique significatif ait été soigneusement recueilli dans la masse même du tumulus, à côté du mobilier funéraire proprement hallstattien. 6.1. Description de l’industrie C’est un total de 159 silex taillés qui a pu être inventorié, se répartissant globalement de la manière suivante : débitage : 141, outils : 11, nucléus : 7,..

    Le Moustérien de "Genay" (Côte-d'Or)

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    Pautrat Yves. Le Moustérien de "Genay" (Côte-d'Or). In: Bulletin de la Société préhistorique française, tome 82, n°5, 1985. pp. 138-142

    Avant-propos

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    Le présent volume est une œuvre collective, patiemment réalisée sur plus de huit ans, par l’ensemble des chercheurs concernés à l’échelle régionale : paléolithiciens et néolithiciens. Elle trouve son origine dans une commande de la Direction de l’Architecture et du Patrimoine (Ministère de la Culture et de la Communication), décrite dans la circulaire 04-755 du 1er juin 2004, signée de Michel Clément, alors directeur. Cette circulaire de deux pages avait pour objet la « programmation scientif..

    La lutte contre le pillage archéologique en Bourgogne-Franche-Comté

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