48 research outputs found

    Effects of Unionization on Graduate Student Employees: Faculty-Student Relations, Academic Freedom, and Pay

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    In cases involving unionization of graduate student research and teaching assistants at private U.S. universities, the National Labor Relations Board has, at times, denied collective bargaining rights on the presumption that unionization would harm faculty-student relations and academic freedom. Using survey data collected from PhD students in five academic disciplines across eight public U.S. universities, the authors compare represented and non-represented graduate student employees in terms of faculty-student relations, academic freedom, and pay. Unionization does not have the presumed negative effect on student outcomes, and in some cases has a positive effect. Union-represented graduate student employees report higher levels of personal and professional support, unionized graduate student employees fare better on pay, and unionized and nonunionized students report similar perceptions of academic freedom. These findings suggest that potential harm to faculty-student relationships and academic freedom should not continue to serve as bases for the denial of collective bargaining rights to graduate student employees

    Unionization, Union Involvement, and the Performance of Gainsharing Programs

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    Nous traitons ici de la question de savoir d'abord si la présence syndicale influence le rendement d'un programme de partage des gains et, ensuite, si la participation du syndicat à l'administration du programme en favorise le succès. Nous adoptons quatre perspectives théoriques pour examiner ces questions : (1) un modèle de coût agence/transaction basé sur la théorie économique néoclassique ; (2) un modèle monopolistique basé sur l'analogie entre le monopole syndical et le monopole sur le marché du produit ; (3) un modèle institutionnel ou de voix collective, et (4) un modèle à deux visages où les syndicats sont en même temps des monopoles et des voix collectives.Les deux premiers modèles insistent sur les influences négatives des syndicats sur le partage des gains. À l'opposé, le modèle de la voix collective prédit un impact positif des syndicats sur le rendement du partage des gains, surtout si cette voix s'exprime par une implication dans l'administration de tel programme. Le dernier modèle suggère que les syndicats peuvent aider ou nuire au rendement du partage des gains, selon lequel des deux visages prédomine. Comme le modèle de la voix collective, ce dernier modèle prédit qu'une insistance plus grande sur la voix collective, par des exercices conjoints, va accroître l'efficacité du programme.Nous avons vérifié empiriquement ces théories en colligeant des données auprès de 217 établissements aux États-Unis et au Canada qui ont vécu des programmes de partage des gains (sur les 622 originalement pointés). Nous utilisons l'analyse de régression multiple pour estimer les relations entre la présence syndicale, son implication dans l'administration des programmes et l'efficacité de ceux-ci.Les données de base incluent les évaluations managériales du succès des programmes. Deux variables dépendantes sont utilisées : l'une simple, l'autre composée. Pour cette dernière, nous recourons à la mesure des moindres carrés. Quant à la première, nous utilisons l'analyse probit. Nous appliquons notre analyse tant à l'échantillon global qu'à des sous-échantillons selon le statut syndical.Les résultats des études empiriques démontrent deux situations syndicales divergentes de façon très similaire quelle que soit la mesure d'efficacité de programme utilisée. Là où les syndicats ne sont pas impliqués dans leur administration, les programmes de partage de gains dans le secteur syndiqué connaissent moins de succès que ceux en milieu non syndiqué.L'inverse est également vrai. Tout cela suggère que l'implication syndicale est cruciale pour le succès de tels programmes dans le secteur privé. De plus, pour ces régressions n'impliquant que l'échantillon syndiqué, la participation syndicale dans l'élaboration du programme est un prédicteur positif et significatif du succès de celui-ci. En somme, vu l'effet négatif sur tels programmes de la non-participation syndicale, nos résultats concordent le plus avec le modèle des deux visages de l'organisation syndicale. Là où les syndicats ne supportent pas le partage des gains, qu'ils en soient exclus ou qu'ils y soient hostiles pour toutes sortes de raisons, le caractère monopolistique de ceux-ci domine et les programmes connaissent alors moins de succès qu'en milieu non syndiqué. Là où les syndicats appuient le partage des gains et là où la gérance accepte l'approche conjointe, le volet de la voix collective des syndicats va prédominer.Notre étude démontre de plus que le rendement des programmes de partage des gains est relié de façon significative aux variables de contrôle suivantes : la taille du groupe bonus, la sorte de plan de bonus, l'environnement industriel, vote ou absence de vote lors du lancement d'un plan et la quantité de formation donnée aux employés. Les équipes d'employés et les comités sur la qualité de vie au travail sont en relation significatives et positives avec la performance du partage des gains dans le sous-échantillon syndiqué seulement. Cela peut servir d'appui à la position qui veut que l'implication des employés a plus de potentiel en milieu syndiqué à cause de la fonction de voix collective des syndicats. Les résultats démontrent également que des programmes extensifs d'implication des employés produisent de meilleurs résultats en partage du travail que les programmes moins rigoureux.Au-delà des preuves à l'appui et à rencontre des différentes théories, la présente étude est forte de conséquences pour l'entreprise et pour les syndicats. Il n'est en apparence pas sage pour les entreprises d'isoler les syndicats dans l'opération de tels programmes, de les exclure de leur administration ou d'utiliser tel programme comme menace au syndicat. Telle stratégie risque de mettre en péril le programme de partage des gains et ainsi causer de sérieuses pertes d’investissements humains et financiers. Les gestionnaires canadiens et américains auront tendance à sous estimer le rôle positif des syndicats dans ces programmes de partage de gains, rôle prouvé sur lequel on doit insister.Les syndicats devraient prendre note de ces résultats. Apparemment, les programmes de partage de gains produiront plus de bénéfices monétaires pour les membres (par des accroissements de productivité) si le syndicat y est activement impliqué. Garder ses distances, être en opposition ou en attente ne semblent pas être des positions optimales pour le syndicat lorsque l'entreprise propose un programme approprié de partage des gains. En plus, certaines indications existent à l'effet que la participation syndicale à l'élaboration de tel programme contribue à son succès.En conclusion, les syndicats ne sont ni bons ni mauvais pour le partage des gains. Leur influence dépend de leur degré de support pour tel programme et de leur implication active dans son administration. Tant les théoriciens que les praticiens en relations industrielles doivent réaliser la complexité de la relation entre syndicats et programme de partage des gains.This study empirically examines the relationships between union status, union involvement, and the performance of gain sharing programs. Using survey data from 217 establishments in the U.S.A. and Canada, the authors evaluate the predictions ofvarious competing theoretical perspectives: the agency/transaction cost approach, the monopoly model, the institutional voice model and a "two faces" model of labour organization. Ordered-probit and OLS regression results show that gain sharing programs with union involvement in program administration resulted in better perceived performance than average programs in the nonunion sector. However, gain sharing programs in the union sector without union involvement had worse outcomes than those in the nonunion sector. These two divergent situations resulted in union status itself having an insignificant relationship with program performance. These results are most compatible with the "two faces" model.Este estudio examina empïricamente las relaciones que existen entre la reputaciòn del sindicato, la participation en el sindicato y la eficiencia de los programas de reparto de utilidades. Usando information obtenida de 217 establecimientos en los Estados Unidos y Canada, los autores evaluaron las predicciones de diferentes perspectivas teòricas : el método por agencia / costo de transaction, el modelo del monopolio, el modelo de la voz institucional y el modelo de las dos facetas de la organizaciòn laboral. Los resultados de regresiones « ordered-probit » y « OLS » demuestran que los programas de reparto de utilidades que cuentan con la participation de los sindicatos en su administraciòn resultan en la perception de un mejor funcionamiento que los programas normales en los sectores no sindicalizados. Sin embargo, los programas de reparto de utilidades en los sectores sindicalizados donde los sindicatos no participaban en la administraciòn de estos, mostraron en gênerai un desempeno peor que aquellos de los sectores no sindicalizados. Estas dos situaciones divergentes dan como resultado que la réputation del sindicato es irrelevante en el desempeno de los programas de reparto de utilidades. Estos resultados son compatibles con los modelos de dos facetas

    Choosing Union Representation: The Role of Attitudes and Emotions

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    In the United States, most unions are recognized by a majority vote of employees through union representation elections administered by the government. Most empirical studies of individual voting behavior during union representation elections use a rational choice model. Recently, however, some have posited that voting is often influenced by emotions. We evaluate competing hypotheses about the determinants of union voting behavior by using data collected from a 2010 representation election at Delta Air Lines, a US-based company. In addition to the older rational choice framework, multiple regression results provide support for an emotional choice model. Positive feelings toward the employer are statistically significantly related to voting ‘no’ in a representation election, while positive feelings toward the union are related to a ‘yes’ vote. Effect sizes for the emotion variables were generally larger than those for the rational choice variables, suggesting that emotions may play a key role in representation election outcomes

    Paper for Labor and Employment Relations Association Annual Meeting

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    Expanding Voice for Professional and Managerial Employees Americans now think about who should be eligible for union representation in a way that limits the voice of numerous employees. For instance, managers and first-level supervisors are viewed as representatives of the employer who should therefore not b

    The Korean economic crisis and working women

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    Union Wages and Union Decline: Evidence from the Construction Industry

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    Two well-documented empirical findings are that unionized employees typically receive substantially higher compensation than their non-union counterparts and that union representation in the United States has declined over time. Some observers have hypothesized a causal link between these two phenomena: the achievement of a union wage premium, they argue, hastened union decline both by reducing union firms’ economic competitiveness and by inducing employers to adopt various union avoidance strategies. Using data from the Current Population Survey and the Census Bureau’s Census of Construction, the authors test this hypothesis for the construction industry. Even in estimations that allow for a lagged response and incorporate a variety of controls, they find no evidence that high union/nonunion wage ratios in construction in the 1970s or 1980s resulted in lower union membership in 2000

    The Union Impact on Profits: Evidence from the Supermarket Industry

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    A number of Studies have found that unions lower profits, but controversy continues over whether the union impact is or is not greater in more concentrated markets or when firms have greater market shares. The empirical controversy is linked to two major underlying issues: whether unions distort capital investment decisions and whether prior research has tended to understate the level of monopoly profits in the U.S.economy. Research on the supermarket industry reveals that indeed unions profits substantially in this sector. The impact is apparently greater when local markets are more concentrated or when firms are positioned better vis-a-vis rivals, but these findings must be regarded as tentative given the multicollinearity existing in the data analyze

    Book reviews

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    The Market’s Reaction to Two Supreme Court Rulings on American Labor Law

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    The Supreme Court has gradually narrowed the number of persons who are protected by the National Labor Relations Act should they seek to form or join a union, in part by ruling that professionals who also serve as supervisors of less skilled employees are not covered by the Act. The market’s reaction to the two latest rulings, Health Care & Retirement Corp. and Kentucky River is researched herein. Shareholder wealth rose for health care firms in response to each ruling. The market response was greater for the latter decision, signaling investor beliefs regarding the benefit to employers and the likely future direction of court decisions.
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