19 research outputs found

    Introduction

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    Pasa Laurence. Introduction. In: Les dossiers des sciences de l'éducation, N°15, 2006. La littérature de jeunesse à l’école. pp. 5-8

    Des récits lus aux récits produits

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    Introduction

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    Pasa Laurence. Introduction. In: Les dossiers des sciences de l'éducation, N°15, 2006. La littérature de jeunesse à l’école. pp. 5-8

    Des livres de jeunesse pour la classe : lesquels et pour quoi faire ?

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    In an attempt to understand how do teachers select books for pupils, and what they intend to do with, pedagogically speaking, we show them 25 children’s books they could use in classroom. Among which, they have to select five books and to reject five others. The justifications they give suggest that their choices depend as well as professional than affective criterions. Beside this, books seem to be less used as a starting point to teach reading than as a literary support to another subject. However, this limited use seems to be mainly due to a lack of knowledge about characteristics in Literature, and in children’s literature in particular, rather than a will to set away children’s literature from possible teaching tools.Pour tenter de comprendre comment les enseignants choisissent les livres de jeunesse et ce qu''ils projettent d’en faire, en termes d''investissement pédagogique, nous leur avons proposé d''effectuer cinq choix et cinq rejets parmi 25 albums, en vue d''une utilisation en classe. Le comportement des enseignants lors de cette tâche et les explications fournies suggèrent que le choix des livres de jeunesse dépend autant de considérations professionnelles qu’affectives. En outre, les albums semblent moins utilisés comme point de départ d''une activité de lecture que comme appui littéraire pour une autre matière. Cependant, cette utilisation quelque peu restrictive semble plus le fait d’une méconnaissance du fait littéraire en général, et des livres de jeunesse en particulier, que d’une volonté d’exclure les livres de jeunesse des possibles outils didactiques.Pasa Laurence, Beges Claire. Des livres de jeunesse pour la classe : lesquels et pour quoi faire ?. In: Les dossiers des sciences de l'éducation, N°15, 2006. La littérature de jeunesse à l’école. pp. 89-101

    L’écriture inventée : que signifie écrire une lettre pour une syllabe ?

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    Some children spell each oral syllable with a single letter. It is supposed that such spelling codes a syllable or a phoneme : conscious of the need for a phonemic treatment, the child only partially carries through. 144 preschool children (4-5 years old) wrote six sentences with target syllables from three different syllabic structures. Spelling a single letter for one syllable is not the only one. Most often the single-letter spelling indicates a syllabic treatment, but at times also results from a partial phonemic treatment. Most of the children with sin gle-letter spelling always proceed in a syllable-driven manner ; the others sometimes use a syllabic treatment and sometimes a partial phonemic treatment.Certains enfants écrivent une lettre par syllabe (écriture unitaire). On suppose que cette lettre peut correspondre à une syllabe ou à un phonème : l’enfant, conscient de la nécessité d’un traitement phonémique, ne le réaliserait que partiellement. 144 enfants de grande section de maternelle ont écrit six phrases. Les syllabes cibles présentent trois structures syllabiques différentes. Écrire une lettre par syllabe est la réponse la plus fréquente mais n’est pas la seule ; cette lettre renvoie le plus souvent à un traitement syllabique, mais résulte parfois aussi d’un traitement phonémique partiel. La majorité des enfants dont l’écriture est unitaire procèdent de façon exclusivement syllabique et les autres effectuent parfois un traitement syllabique et parfois un traitement phonémique partiel.Creuzet-Kraemer Véronique, Pasa Laurence. L’écriture inventée : que signifie écrire une lettre pour une syllabe ?. In: Spirale. Revue de recherches en éducation, n°44, 2009. Enseigner et apprendre à lire-écrire à l’école, sous la direction de Jacques Fijalkow. pp. 31-47

    Écriture inventée : pluralité des traitements et variabilité selon la structure syllabique

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    Cette étude examine comment procèdent les enfants en situation d’écriture inventée, lors d’une même passation, en considérant tant le nombre de lettres produites pour chaque mot que les unités orales auxquelles ces lettres correspondent. À l’encontre de l’hypothèse courante selon laquelle les enfants procèderaient à un moment donné de façon unitaire (par exemple syllabique ou phonémique) et uniforme (quel que soit l’objet à écrire), l’analyse s’efforce de mettre en évidence la pluralité et la variabilité des traitements utilisés par un même enfant. La recherche porte sur 115 enfants de grande section d’école maternelle (âgés de 5 à 6 ans) auxquels nous avons demandé individuellement d’écrire six phrases contenant chacune deux mots-tests représentant trois types de structures syllabiques différentes : Consonne-Voyelle (CV), Consonne-Consonne-Voyelle (CCV) et Consonne-Voyelle-Consonne (CVC). Les productions écrites sont suivies d’un entretien métagraphique. Les résultats montrent que 65 % des enfants utilisent plus d’un type de traitement et que celui-ci varie selon la structure syllabique : plutôt syllabique pour CV, plutôt phonémique pour CVC, tandis que les deux types apparaissent pour CCV. La pluralité des traitements utilisés et leur variabilité invitent à complexifier les modèles actuels du développement de l’écriture, tant du côté du sujet que de l’objet.This study examines how children proceed in an invented writing situation, taking into account during the same session both the number of letters produced for each word and the oral units to which the letters correspond. Counter to the current hypothesis which says that children proceed in a unitary way (for example syllabic or phonemic) and a uniform way (regardless of the word to be written), the analysis tries to show the plurality and variability of approaches the same child uses. The research is based on 115 children from a large kindergarten section (5 to 6 year-olds) who were asked individually to write six sentences, each of them containing two testwords which represent three different types of syllabic structures: Consonant-Vowel (CV), Consonant-Consonant-Vowel (CCV) and Consonant-Vowel-Consonant (CVC). The written productions were followed by a metagraphic interview. The results show that 65% of children use more than one type of approach and that their approaches vary depending on the syllabic structure - a more syllabic approach for CV, a more phonemic approach for CVC, while both types of approaches are used for CCV. The plurality and variability of approaches the children used is an invitation to complexify current writing development models in relation to both subject and object.Este estudio examina como actúan los niños en situación de escritura inventada, durante la redacción, tomando en consideración tanto el número de letras por palabras como las unidades orales a las cuales esas letras corresponden. En contra de la hipótesis según la cual los niños, a un momento dado obran de manera unitaria (por ejemplo silábica o fonémica) y uniforme (cualquiera que sea el objeto de escritura), el análisis trata de evidenciar la pluralidad y la variabilidad de los tratamientos utilizados por un mismo niño. La investigación fue realizada entre 115 niños de la gran sección preescolar (de 5 a 6 años de edad), a quienes pedimos individualmente que escribieran seis frases conteniendo, cada una, dos palabras-test representando tres tipos de estructuras silábicas diferentes: Consonante-Vocal (CV), Consonante-Consonante-Vocal (CCV) y Consonante-Vocal-Consonante (CVC). Además de la producción escrita, se realizó una entrevista metagráfica. Los resultados muestran que 65 % de los niños utilizan más de un tipo de tratamiento, el cual varia según la estructura silábica: Preponderantemente silábica para CV, fonémica para CVC, usando los dos tipos en CCV. La pluralidad de tratamientos utilizados y su variabilidad nos llevan a complicar los modelos actuales del desarrollo de la escritura, tanto del lado del sujeto como del objeto

    Les difficultés en lecture orale : perspective socioconstructiviste

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    The difficulties of reading aloud : a socio-constructivistic perspective. Jacques FIJALKOW, Laurence PASA, Serge RAGANO, Université de Toulouse Le Mirail-EURED CREFI. Analysing the difficulties encountered by children when reading aloud has been the object of many pieces of research. In this paper, we first of all reiterate the perspectives which were used during these studies : organistic, school psychology, psychoanalytical, psycholinguistic. We then present what could be a socio-constructivistic perspective as well as six concerns which the adoption of such a perspective enabled us to deal with. We then put forward a grid to be used for analysis, a list of types of children's concepts of reading, three examples of an analysis of answers which highlight the hypothetical reading processes of children, and, finally, two current pieces of research still being carried out.L'analyse des difficultés rencontrées par les enfants en situation de lecture orale a fait l'objet de nombreuses recherches dont on rappelle d'abord dans quelles perspectives elles ont été étudiées : perspective organiciste, psychologie scolaire, psychanalyse, psycholinguistique. On présente ensuite ce que pourrait être une perspective socio-constructiviste et six préoccupations auxquelles l'adoption d'une telle perspective permettrait de répondre. Puis on propose une grille d'analyse, une liste de types de conceptualisations enfantines de la lecture, trois exemples d'analyse de réponses mettant en évidence le processus hypothétique de lecture de l'enfant, et deux recherches en cours,Fijalkow Jacques, Pasa Laurence, Ragano Serge. Les difficultés en lecture orale : perspective socioconstructiviste. In: Repères, recherches en didactique du français langue maternelle, n°18, 1998. À la conquête de l'écrit, sous la direction de Mireille Brigaudiot et Roland Goigoux. pp. 173-192
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