Body size modifies the relationship between maternal serum 25-hydroxyvitamin D concentrations and gestational diabetes in high-risk women

Obesity increases the risk of low 25-hydroxyvitamin D (25(OH) D) concentrations and gestational diabetes (GDM). We explored whether the association between GDM and change in 25(OH) D concentrations measured in the first (7-18 wk) and second (20-27 wk) trimesters of pregnancy is dependent on maternal BMI. The study was a prospective study of 219 women with BMI of >= 30 kg/m2, a history of GDM, or both. The participants were stratified by first-trimester BMI: BMI of = 35 kg/m(2). In the BMI group >= 35 kg/m(2), those who did not develop GDM during the follow-up showed higher increase in serum 25(OH) D concentrations compared with women who developed GDM (43.2 vs. 11.5%; P <0.001). No associations between 25(OH) D concentrations and GDM were observed in other BMI groups. These findings give an important aspect of the role of maternal body size in the association between vitamin D and GDM in high-risk women.Peer reviewe

1. Le chevalier d’Arvieux

Laurent d’Arvieux est né le 21 juin 1635 à Marseille, dans une famille noble ruinée descendant de l’une des branches d’une famille italienne illustre, originaire de Lombardie, du nom d’Arveo (Arvei au pluriel). La branche provençale avait conservé ce nom sous la forme corrompue d’Arviou, nom que celui qu’on connaît désormais comme le chevalier d’Arvieux garda encore jusqu’à son arrivée à la cour où l’on prit l’habitude de l’appeler Arvieu. Ce fut le secrétaire d’État M. de Lionne qui lui ajou..

Conclusion

Au terme de ce parcours, l’ambiguïté plane encore sur la figure de ce voyageur transculturé du Grand Siècle. Est-ce Laurent d’Arvieux, chevalier du Saint-Sépulcre, de l’ordre de Notre-Dame du mont Carmel et de Saint-Lazare de Jérusalem, sujet fidèle de Louis XIV ou bien « ce Turc qui parlait tant de langues », ou encore Dervich Nasser le Franc, « un véritable Bédouin » ? Conclusion paradoxale, qui rejoint une question que l’on se posait déjà au sujet du rapport toujours problématique avec l’a..

2.La scène orientale

Il existe déjà plusieurs ouvrages qui proposent une lecture de l’Orient comme espace théâtral. Le premier d’entre tous, tant par son envergure que par les réactions suscitées, est le célèbre Orientalisme d’Edward Said. Sans nous attarder ici sur les thèses assez radicales lancées par l’auteur ou sur l’ampleur du débat qui s’en est suivi, nous remarquerons seulement que, parmi les techniques d’orientalisation de l’Oriental dénoncées par celui-ci figure également la « théâtralisation » : L’idée..

2. Les Mémoires du chevalier d’Arvieux

Du parcours scriptural… Malgré ce parcours existentiel et viatique d’une grande richesse, le chevalier d’Arvieux resta plutôt dans l’ombre de son vivant. Aujourd’hui encore, les études spécialisées le laissent d’ordinaire de côté. Quelles pourraient être les raisons de cette méconnaissance ? Nous pouvons en déceler quelques-unes à même d’expliquer le peu d’intérêt qu’il suscite au xviie siècle. D’abord, son peu de fortune (dès le début et même tout au long de sa vie) et d’envergure à la cour,..

1. Sous le signe de la curiosité

Le voyageur curieux Le chevalier d’Arvieux est, en tout premier lieu, un voyageur, qualité dont il se recommande la plupart du temps, du moins dans la première partie de son aventure orientale. Toute sa vie est placée sous le signe du voyage et son expérience du monde et des hommes ne saurait être pensée ou interprétée en dehors de cet être-du-voyage. Mais quelle sorte de voyageur est-il ? Si le chevalier d’Arvieux ne s’affirme pas d’emblée en tant que « voyageur professionnel », nous pouvons..

3. La scène occidentale

Pour éviter la chute dans l’errance, le voyage supposait, à l’Âge classique, aussi bien l’aller que le retour, le départ étant censé renfermer in nuce le nostos, la nostalgie des retrouvailles avec la terre d’origine. Chez d’Arvieux pourtant, la nostalgie de son pays est plutôt absente dans la première partie de ses Mémoires, devenant plus manifeste vers la fin de son expérience orientale, celle-ci étant empreinte également d’une certaine lassitude de fin de parcours. Quoi qu’il en soit, c’es..