Comparaison entre ventilateurs à turbine de soins intensifs et de domicile chez des patients présentant une insuffisance respiratoire aiguë non-hypercapnique modérée.

Introduction : Les études au banc d'essai suggèrent que la ventilation non invasive peut être administrée au moyen de ventilateurs à turbine de soins intensifs ou de domicile en cas d'insuffisance respiratoire aiguë (IRA) et que son succès à éviter l'intubation est étroitement lié à la synchronisation patient- ventilateur et à la tolérance du patient à la technique. Méthodes : But : comparer la synchronisation et la tolérance par le patient avec différents types de ventilateurs à turbine. Type : étude physiologique prospective en mode ouvert et "crossover" dans un service de réanimation polyvalente. Patients: patients avec IRA non-hypercapnique de sévérité modérée. Interventions: quatre séances consécutives de vingt minutes effectuées de manière aléatoire avec quatre ventilateurs à turbine, deux de soins intensifs et deux de domicile, d'ancienne et de nouvelle générations. Mesures : délai de déclenchement (Td), produit temps pression de la phase de déclenchement (PTP trigger), pressurisation, volume courant insufflé, temps inspiratoire en excès, nombre d'asynchronies, fréquence respiratoire, échanges gazeux et confort du patient. Résultats : 19 patients inclus. Td et PTP trigger sont les plus faibles avec le ventilateur de soins intensifs de nouvelle génération. La pressurisation est la plus basse avec le ventilateur de domicile d'ancienne génération et la plus haute avec le ventilateur de soins intensifs d'ancienne génération. Conclusions : Malgré des différences de performances, aucune différence dans les paramètres clinique n'a été observée, suggérant que les deux types de ventilateurs peuvent être utilisés pour traiter des patients présentant une IRA non-hypercapnique modérée

Dietary rosemary extract in dairy goats organically managed: effects on immune response, mammary infections and milk quality

Natural polyphenols found in the leaves of rosemary (Rosmarinus officinalis L.) have potential therapeutic benefits, because of their potent antioxidant activity and their anticancerogenic and antiviral properties, observed in vitro and in human liver (Aruoma et al., 1996; Offord et al., 1997). Main active components in rosemary extract are carnosol, carnosic acid, rosmarinic acid and rosmanol (Pearson et al., 1997)..