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    Microstructure and biomechanical characteristics of bone substitutes for trauma and orthopaedic surgery

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    Abstract. BACKGROUND: Many (artificial) bone substitute materials are currently available for use in orthopaedic trauma surgery. Objective data on their biological and biomechanical characteristics, which determine their clinical application, is mostly lacking. The aim of this study was to investigate structural and in vitro mechanical properties of nine bone substitute cements registered for use in orthopaedic trauma surgery in the Netherlands. METHODS: Seven calcium phosphate cements (BoneSource®, Calcibon®, ChronOS®, Eurobone®, HydroSet™, Norian SRS®, and Ostim®), one calcium sulphate cement (MIIG® X3), and one bioactive glass cement (Cortoss®) were tested. Structural characteristics were measured by micro-CT scanning. Compression strength and stiffness were determined following unconfined compression tests. RESULTS: Each bone substitute had unique characteristics. Mean total porosity ranged from 53% (Ostim®) to 0.5% (Norian SRS®). Mean pore size exceeded 100 μm only in Eurobone® and Cortoss® (162.2 ± 107.1 μm and 148.4 ± 70.6 μm, respectively). However, 230 μm pores were found in Calcibon®, Norian SRS®, HydroSet™, and MIIG® X3. Connectivity density ranged from 27/cm3 for HydroSet™ to 0.03/cm3 for Calcibon®. The ultimate compression strength was highest in Cortoss® (47.32 MPa) and lowest in Ostim® (0.24 MPa). Young's Modulus was highest in Calcibon® (790 MPa) and lowest in Ostim® (6 MPa). CONCLUSIONS: The bone substitutes tested display a wide range in structural properties and compression strength, indicating that they will be suitable for different clinical indications. The data outlined here will help surgeons to select the most suitable products currently available for specific clinical indications

    Complications du traitement par radiofréquence des lésions pulmonaires chez 330 patients

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    OBJECTIFS : Etudier les complications, la durée de séjour et les signes fonctionnels des patients bénéficiant d'une ablation par radiofréquence pulmonaire. Rechercher les facteurs de risque de pneumothorax, de pose de drain thoracique, et d'hospitalisation prolongée. MATERIEL ET METHODES : Etude rétrospective de 330 patients (369 procédures) traités sur une période de 8 ans (2002-2010. L'âge moyen est de 64 ans, et sur les 515 nodules traités, 444 sont métastatiques et 71 sont primitifs. RESULTATS : Le taux de morbidité global est de 75.3 % avec 40.9 % de complications majeures, 31.6 % de modérées et 11.6 % de mineures. Le pneumothorax, avec une fréquence de 71 %, un taux d'exsufflation de 6 % et de drainage de 57 % est la première complication. Les facteurs de risque retrouvés sont l'origine métastatique des lésions (p = 0,005) et la faible durée de chauffage (p = 0.02). Le facteur de risque de drainage est l'origine secondaire des lésions p = 0.03). Ces facteurs sont d'interprétation délicate. Il est observé 5 embolies gazeuses dont 2 symptomatiques, 1 lésion thermique et 3 compressions régresssives du plexus brachial, 2 hémothorax mineurs, 7 épanchements pleuraux et 30 cas d'hémorragie intraparenchymateuse scanographique. Les complications retardées sont 2 fistules broncho-pleurales à l'origine de pneumothorax récidivant et d'apparition retardée et une pneumopathie. La durée moyenne de séjour est de 3.7 jours. Les facteurs de risque de séjour prolongé sont la survenue et le drainage d'un pneumothorax. Les durées moyennes de séjour dans le groupe "procédure bilatérale" en un temps" (27 patients) et "procédure sur poumon unique" (6 patients) sont de 3 et 5.7 jours, avec des taux de pneumothorax inférieurs à ceux de l'ensemble de la série. CONCLUSION : Le traitement d'ablation percutanée par radiofréquence, avec une durée moyenne de séjour de 3.7 jours, est une modalité d'ablation peu invasive et bien tolérée par des patients dont l'état général est parfois précaire.BORDEAUX2-BU Santé (330632101) / SudocSudocFranceF

    Evaluation de la place de l'IRM dynamique dans la prise en charge des cancers du col utérin

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    BORDEAUX2-BU Santé (330632101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Ablation par radiofréquence des tumeurs pulmonaires primitives et secondaires (étude rétrospective d'une série de 49 patients traités à l'Institut Bergonié de Bordeaux entre mars 2002 et août 2004)

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    L'ablation thermique par radiofréquence (ARF) est une technique peu invasive largement utilisée dans le traitement des tumeurs hépatiques, moins largement dans le traitement des tumeurs rénales et de façon plus confidentielles dans d'autres localisations tumorales. Quelques études concernant l'utilisation de l'ARF dans le traitement des tumeurs pulmonaires primitives et secondaires ont rapporté des résultats encourageants. Notre étude a été réalisée afin dévaluer la faisabilité, l'efficacité anti-tumorale locale, et les complications émanant de cette technique. Entre mars 2002 et août 2004, 49 patients porteurs de tumeurs pulmonaires inopérables ont bénéficié d'un traitement par radiofréquence. 9 d'entre eux avaient une tumeur primitive et les 40 autres des métastases pulmonaires. Cette technique a été réalisée sous anesthésie générale, par voie percutanée, avec des électodes unipolaires et guidée par le scanner. Les patients n'avaient pas plus de 5 nodules et leur taille ne dépasait pas 40 mm. Un total de 85 lésions a été traité au cours de 58 procédures. La durée médiané de suivi était de 10 mois (2-24 mois). Après traitement les patients ont été suivis régulièrement par scanner avec évaluation de la taille et de l'aspect lésionnel. La majorité des lésions (70%) a évolué vers la constitution d'une fibrose ce qui correspond à un succès de la technique. Seules quatre récidives locales (4,7%) sont survenues au terme du recueil des données. L'ARF était bien tolérée. Les complications sont fréquentes 75% mais minimes, elles sont représentées principalement par le pneumothorax (67,3%) qui ne nécessite souvent qu'une simple surveillance. L'ablation thermique par radiofréquence est un traitement prometteur pour les patients présentant des tumeurs pulmonaires primitives ou secondaires, techniquement peu compliquée et génératice d'une faible morbidité.BORDEAUX2-BU Santé (330632101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Ablation thermique par radiofréquence des tumeurs pulmonaires (évaluation de la survie sur une population de 145 patients)

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    BORDEAUX2-BU Santé (330632101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Evaluation de l'efficacité de la cimentoplastie percutanée dans la prise en charge des métastases osseuses irradiées

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    BORDEAUX2-BU Santé (330632101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Efficacité antalgique de la radiofréquence osseuse de lésions métastatiques à l'origine de douleurs réfractaires (résultats préliminaires d'une étude prospective, à propos de 34 patients)

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    OBJECTIFS : 70 % des patients cancéreux en phase palliative sont douloureux. Pour un tiers, l'utilisation d'antalgiques systémiques, de biphosphonates et de la radiothérapie ne sera pas suffisante. Des gestes interventionnels, en particulier la radiofréquence osseuse, peuvent être proposés, son efficacité sur les douleurs réfractaires restant à préciser. Cette étude évalue l'efficacité antalgique de la radiofréquence osseuse de métastases douloureuses réfractaires et étudie les complications et l'évolution tomodensitométrique des lésions au décours du geste. MATERIELS ET METHODES : Sur une étude prospective multicentrique, 34 patients ont été traités par ablation thermique pour une ou deux lésions osseuses douloureuses et réfractaires aux antalgiques systémiques, au biphosphonates et à la radiothérapie. Le traitement antalgique est optimisé en préthérapeutique. Notre objectif principal évalue l'évolution de la douleur maximale à 8 semaines par échelle numérique, une diminution de 2 points étant cliniquement significative. RESULTATS : Trente neuf lésions ont été traitées, 84 % des patients ont une réponse significative concernant la douleur maximale. La douleur maximale passe de 7,1 à 3 et 2 mois avec une diminution dès 24 H (4,1). 2 principales complications sont rapportées : une lésion thermique du nerf sciatique et une fracture acétabulaire. Il y a peu de modifications de l'aspect radiologique des lésions. CONCLUSION : La radiofréquence osseuse de lésions métastatiques douloureuses malgré un traitement optimisé incluant la radiothérapie, est efficace. Ses complications restent limitées. Mots clés : douleur, antalgique, cancer, os, metastases osseuses, thermo-ablation, radiofréquence, complications.OBJECTIVE : Up to 70 % of patients with advanced stage cancer experience pain. For about 35 %, the use of systemic analgesics, biphosphonates and radiotherapy will prove insufficient ; interventional methods, particularly radiofrequency ablation, may be offered ; its effectiveness for refractory pain remains to be fully established. The purpose of our srudy is to analyse the analgesic effectiveness of radiofrequency ablation in bone metastasis causing refractory pain. We analysed also complications ans imaging of the lesions before and after the intervention. MATERIALS AND METHODS : In a multicentric prospective study, 34 patients were treated with thermal ablation for one or two painful bone metastases, refractory to sytemic analgesics, biphosphonates and radiotherapy. Our main objective is to evaluate the evolution of the highest pain level at 8 weeks, using a numerical scale, with a reduction of two (2) points considered clinically significant. RESULTS : 39 lesions were treated. Maximum pain relief is significant (7,1 to 3 at 8 weeks). Pain average passed from 4,9 to 1,7. 4 patients had complications including one sciatic thermic lesion and one acetabular fracture one month after the procedure. There is little radiologic modification of the lesions. CONCLUSION : Bone radiofrequency of painful metastatic lesions despite optimised analgesic treatment, is effective. Complications are limited. Key words : cancer pain, metastasis, bone metastasis, bone pain, radiofrequency, thermoablation.BORDEAUX2-BU Santé (330632101) / SudocSudocFranceF

    Multidisciplinary Treatment and Survival of Patients with Vertebral Metastases from Thyroid Carcinoma

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    C1 - Journal Articles RefereedBACKGROUND: Distant metastases from differentiated thyroid carcinoma occur in up to 20% of cases and represent the most frequent cause of thyroid cancer-related death. Metastatic disease to the spine has the potential to cause severe morbidity, including pain, neurological deficit, and paraplegia. SUMMARY: We present a case series of eight consecutive patients with symptomatic spinal metastases due to thyroid carcinoma treated by our multidisciplinary team consisting of spinal surgeons, oncologists, and radiologists, with management of each case determined by our surgical algorithm. Four patients underwent surgical decompression and stabilization for spinal metastases causing instability, spinal cord compression, neurological deficit, or intractable pain. Three patients underwent vertebroplasty for focal mechanical pain due to osteolytic metastases in the absence of significant spinal cord compression or spinal instability; one of these patients required subsequent surgical decompression for spinal cord compression. One patient was nonoperatively treated. All patients underwent total thyroidectomy for the primary cancer and adjuvant radioiodine-131 treatment. The only patient with poorly differentiated thyroid cancer, which was refractory to radioiodine-131 died at 6 months after vertebroplasty procedures for symptomatic spinal metastases. One patient with medullary thyroid carcinoma died at 18 months after vertebroplasty. All remaining six patients who had well-differentiated papillary or follicular thyroid carcinoma were alive at an average of 50 months (range: 17-96 months) after diagnosis and treatment of symptomatic spinal metastases and were ambulant, independent, and able to perform activities of daily living and had no significant pain or neurologic symptoms. CONCLUSION: The potential for long-term survival of several years following development of spinal metastases should be considered during the counseling and decision-making process for patients with thyroid cancer
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