7 research outputs found

    In arms’ way: The 1960s Latin American New Left thinking on war and politics

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    This essay focuses on the theoretical debates about the relationship between politics and war within the Latin American “New Left” during the 1960s. Although these debates cannot by themselves explain the revolutionary mind-set of this new generation of political activists, they did contribute decisively, I argue, to its emergence including support to the armed struggle. Thus, my perspective moves away from one of the dominant interpretations, according to which the 1960s’ New Left was a direct result of previous and successful revolutionary experiences, such as the Cuban Revolution in particular. Following a critical approach, I will here propose an overview of the main theoretical inspirations of the 1960s Latin American New Left, detailing at the same time their uses and impact

    La opción por las armas. Nueva izquierda revolucionaria y violencia política en Chile (1965-1970)

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    Este artículo se focaliza en el Movimiento de Izquierda Revolucionaria (MIR) y la problemática de la violencia política, que fue central en su historia. Abarcaremos el período 1965-1970 y estudiaremos el discurso que tuvo el MIR sobre este punto, construido tanto en los escritos teóricos como en los discursos de sus dirigentes, el lugar y el rol que ocupó la violencia en la práctica política del MIR, y por último la articulación entre prácticas políticas y representaciones. El artículo está estructurado en torno a los siguientes ejes: el contexto político, ideológico e intelectual que provee al MIR argumentos permitiéndole legitimar el recurso a la violencia (ante los militantes y la sociedad); el debate en torno a la violencia en tanto regulador de las tensiones y divisiones internas; y por último, la interacción entre el uso de la fuerza por el MIR y el espacio público (la violencia y su efecto mediático, las respuestas del Estado).Cet article traite du Mouvement de la Gauche Révolutionnaire (MIR en espagnol) et de la problématique de la violence politique, centrale dans son histoire. Nous nous concentrerons sur la période 1965-1970 et  nous étudierons le discours du MIR à ce sujet, élaboré aussi bien dans les écrits théoriques que dans les discours de ses dirigeants, le lieu et le rôle tenu par la violence dans la pratique politique du MIR, et enfin, l’articulation entre pratiques politiques et représentations. L’article est organisé selon les axes suivants : le contexte politique, idéologique et intellectuel qui pourvoie le MIR d’arguments lui permettant de légitimer le recours à la violence (face aux militants et à la société) ; le débat relatif à la violence en tant que régulateur de tensions et divisions internes ; et enfin, l’interaction entre l’usage de la force par le MIR et l’espace public (la violence et ses effets médiatiques, les réponses de l’Etat).This paper discusses the issue of political violence focusing on the Movement of Revolutionary Left (MIR) from 1965 to 1970. Political literature, public speeches given by MIR leaders, and MIR’s violent acts will be our basic empirical data. The analysis takes into account the nexus between political practices and representations. This paper aims to demonstrate that there is no linear interconnection between the political use of violence and the political context. Both operate simultaneously as essential factors to the choice of political violence. In fact, political, ideological and intellectual context provides MIR with arguments legitimizing the use of violence before militants and society. Violence as part of MIR’s identity contributes to an efficient regulation of internal tensions by justifying the ruling out of disobedient militants. It also allows reinforcing the party’s public image and utterly modifies the rules of public debate through the banalisation of violence as political means

    Le Mouvement de la gauche révolutionnaire face au peuple. Acteurs politiques, acteurs sociaux dans le Chili des années 1960

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    Dans l’ouvrage récemment paru, L’Histoire comme champ de bataille, Enzo Traverse dresse le bilan de la production historiographique des vingt dernières années. Pour l’auteur, les deux grandes mutations opérées dans le champ historiographique depuis le « tournant de 1989 » sont l’essor de l’histoire globale, qui a fondé la compréhension du passé sur l’étude des interactions, des réseaux et des transferts ; et le retour de l’événement, au détriment des structures et du temps long. Si l’histoire..

    La opción por las armas. Nueva izquierda revolucionaria y violencia política en Chile (1965 - 1970)

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    Penser l’histoire de l’Amérique latine

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    En hommage au très grand historien que fut François-Xavier Guerra (1942- 2002), ce livre réunit dix-huit essais inspirés par son œuvre et son enseignement sur l’Amérique latine contemporaine. Succédant en 1985 à François Chevalier à I université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, F.-X. Guerra fut internationalement connu comme historien des révolutions hispano-américaines : Révolution mexicaine de 1910, révolutions d’indépendance du début du XIXe siècle, à travers lesquelles il s’est consacré à interroger les paradoxes et les dilemmes de l’avènement de la modernité politique. Il les pensait dans le vaste espace transnational qu’il appelait l’Euro-Amérique, où, avec les hommes et les imprimés, circulent et s’échangent les cultures politiques. A travers discussions historiographiques, bilans méthodologiques et cas concrets, les essais ici rassemblés reprennent à nouveaux frais des questions telles que : les modalités de la transition entre ancien régime et société libérale, qui engagent la définition de la modernité politique, mais invitent aussi bien à réfléchir d’un œil neuf aux transitions démocratiques de la fin du XXe siècle, le rôle joué par la sphère publique dans les processus de sécularisation ; les conditions de pertinence de l’identification des acteurs dans l’histoire du politique; ou encore, le questionnement du nationalisme à partir de l’espace euro-américain. Des historiens européens et latino-américains, collègues ou anciens élèves de F.-X. Guerra, poursuivent ainsi le dialogue avec cette œuvre généreuse et féconde qui n’a pas cessé d’irriguer la réflexion des latino-américanistes

    Violencia: razones y sinrazones

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    Es altamente probable que este siglo que está recién comenzando supere al siglo XX descrito por Hobsbawm como el más sanguinario del que la Historia tenga registro; juicio éste compartido por personajes tan dispares como René Dumont, William Golding e Isaiah Berlin. Vivimos en tiempos violentos. Hemos hasta llegado a perder la capacidad de asombro frente a las diversas manifestaciones de violencia que nos hacen conocer los programas cotidianos de noticias... Hemos querido profundizar en el conocimiento de la diversas formas de violencia no sólo las manifiestas, sino también las ocultas, las estructurales, aquéllas que se nos han hecho incluso tan habituales que ni siquiera somos capaces de reconocerlas. Aquellas a las cuales Barcellona se refiere cuando dice: “Esta violencia cotidiana y difusa no es la violencia del ángel exterminador ni la del vengador justiciero; es una violencia sin rostro y sin objetivo, anónima e indeterminada: se parece a la contaminación atmosférica y a la desertización de los campos, y nada en absoluto a la revuelta social y a la rebelión de protesta”
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