21 research outputs found

    Venerque – La Trinité

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    Lien Atlas (MCC) :http://atlas.patrimoines.culture.fr/atlas/trunk/index.php?ap_theme=DOM_2.01.02&ap_bbox=1.427;43.415;1.499;43.458 L’opération de diagnostic archéologique réalisée à Venerque s’inscrit dans le cadre d’un prochain aménagement d’un lotissement sur plusieurs terrains situés au lieu-dit la Trinité. La prescription de ce diagnostic a été motivée par la proximité immédiate de la nécropole de Loupsaout-La Trinité, découverte dans les années 1950 lors d’un défoncement agricole à quelq..

    Venerque – La Trinité

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    Lien Atlas (MCC) :http://atlas.patrimoines.culture.fr/atlas/trunk/index.php?ap_theme=DOM_2.01.02&ap_bbox=1.427;43.415;1.499;43.458 L’opération de diagnostic archéologique réalisée à Venerque s’inscrit dans le cadre d’un prochain aménagement d’un lotissement sur plusieurs terrains situés au lieu-dit la Trinité. La prescription de ce diagnostic a été motivée par la proximité immédiate de la nécropole de Loupsaout-La Trinité, découverte dans les années 1950 lors d’un défoncement agricole à quelq..

    Un four de potier du dernier quart du IIIe s. av. n. è. au Mas de Fourques (Lunel, Hérault)

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    Une fouille préventive a permis d’exhumer un four de potier daté de la fin du IIIe siècle avant notre ère à proximité de l’oppidum d’Ambrussum. Il est situé en piedmont d’une colline, à deux kilomètres à l’ouest du Vidourle. Ce four de grande dimension présente une structure circulaire à double entrée avec un muret séparant en deux la totalité de la chambre de chauffe et de l’alandier. L’aire de chauffe a également été intégralement dégagée. Lors de la fouille ont été mises en évidence la phase de fonctionnement du four et son abandon marqué par le comblement de la structure avec des matériaux provenant du four (terre rubéfiée, blocs, briques, torchis) et de nombreux fragments de vases, en très grande majorité de la céramique non tournée. Aucun rebus de cuisson n’a été retrouvé, la production de ce four n’a pas donc pu être établie avec certitude. Les différentes opérations préventives conduites dans le secteur n’ont révélé aucune autre structure contemporaine de ce four.A preventive excavation led to the discovery of a potter’s kiln dating to the end of the 3rd century BC near the oppidum of Ambrussum. It is situated at the base of a hill, two kilometres west of the Vidourle river. This kiln of large dimensions presents a circular structure with a double entrance and a low wall separating in two the totality of the heating chamber and fire chamber. The heating area was also cleared entirely. During the excavation the functioning phase of the kiln was revealed and so was its abandonment, which is shown by the filling of the structure with materials resulting from the kiln (burnt earth, blocks, bricks, cobs) and numerous fragments of vases, in very great majority handmade ceramic. No rebus of pottery firing was found, the production of this kiln was thus impossible to establish with certainty. The various preventive operations led in the sector revealed no other contemporary structure of this kiln

    Un four de potier du dernier quart du IIIe s. av. n. è. au Mas de Fourques (Lunel, Hérault)

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    Une fouille préventive a permis d’exhumer un four de potier daté de la fin du IIIe siècle avant notre ère à proximité de l’oppidum d’Ambrussum. Il est situé en piedmont d’une colline, à deux kilomètres à l’ouest du Vidourle. Ce four de grande dimension présente une structure circulaire à double entrée avec un muret séparant en deux la totalité de la chambre de chauffe et de l’alandier. L’aire de chauffe a également été intégralement dégagée. Lors de la fouille ont été mises en évidence la phase de fonctionnement du four et son abandon marqué par le comblement de la structure avec des matériaux provenant du four (terre rubéfiée, blocs, briques, torchis) et de nombreux fragments de vases, en très grande majorité de la céramique non tournée. Aucun rebus de cuisson n’a été retrouvé, la production de ce four n’a pas donc pu être établie avec certitude. Les différentes opérations préventives conduites dans le secteur n’ont révélé aucune autre structure contemporaine de ce four.A preventive excavation led to the discovery of a potter’s kiln dating to the end of the 3rd century BC near the oppidum of Ambrussum. It is situated at the base of a hill, two kilometres west of the Vidourle river. This kiln of large dimensions presents a circular structure with a double entrance and a low wall separating in two the totality of the heating chamber and fire chamber. The heating area was also cleared entirely. During the excavation the functioning phase of the kiln was revealed and so was its abandonment, which is shown by the filling of the structure with materials resulting from the kiln (burnt earth, blocks, bricks, cobs) and numerous fragments of vases, in very great majority handmade ceramic. No rebus of pottery firing was found, the production of this kiln was thus impossible to establish with certainty. The various preventive operations led in the sector revealed no other contemporary structure of this kiln

    Aignan : Renfort Gascogne-Midi, phase 1 – Gazoduc de Lussagnet à Barran [notice archéologique]

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    L’ensemble des informations stratigraphiques récoltées lors de la prospection et du diagnostic a permis d’observer les principales morphologies desreliefs, ainsi que les dynamiques géomorphologiques en activité dans ce secteur gersois. Ces dernières, en fonction de leur position topographique et de la morphologie du relief, influent de façon importante sur la conservation des sites archéologiques. Au niveau de Cabillot, à Margouët-Meymes, un important colmatage de fond de vallée a permis la conservation dans un contexte sédimentaire hydromorphe de bois datés du Néolithique final [...

    Un four de potier du dernier quart du IIIe s. av. n. è. au Mas de Fourques (Lunel, Hérault)

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    Une fouille préventive a permis d’exhumer un four de potier daté de la fin du IIIe siècle avant notre ère à proximité de l’oppidum d’Ambrussum. Il est situé en piedmont d’une colline, à deux kilomètres à l’ouest du Vidourle. Ce four de grande dimension présente une structure circulaire à double entrée avec un muret séparant en deux la totalité de la chambre de chauffe et de l’alandier. L’aire de chauffe a également été intégralement dégagée. Lors de la fouille ont été mises en évidence la phase de fonctionnement du four et son abandon marqué par le comblement de la structure avec des matériaux provenant du four (terre rubéfiée, blocs, briques, torchis) et de nombreux fragments de vases, en très grande majorité de la céramique non tournée. Aucun rebus de cuisson n’a été retrouvé, la production de ce four n’a pas donc pu être établie avec certitude. Les différentes opérations préventives conduites dans le secteur n’ont révélé aucune autre structure contemporaine de ce four

    Une nouvelle nécropole protohistorique à incinération dans la vallée de la Garonne : la nécropole d’Aouïdas à Saint-Martory (Haute-Garonne)

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    National audienceEn 2012, une reconnaissance archéologique préalable à la réalisation d’une gravière a permis la découverte d’une nouvelle nécropole à incinération protohistorique au lieu-dit « Aouïdas » à Saint-Martory (Haute-Garonne). Cet article propose une présentation des résultats de cette opération qui n’a pas été suivie de recherches plus approfondies. Totalement inédit et insoupçonné, cet ensemble funéraire, estimé à plus de 200 tombes, couvre une superficie d’au moins 8500 m². Daté de l’extrême fin de l’âge du Bronze (transition Bronze/Fer) et du Fer I ancien et récent, il constitue un « maillon » opportun entre les nécropoles de la vallée de la Garonne et celles des Pyrénées centrales avec lesquelles transparaissent des rapprochements éloquents, tant du point de vue architectural que de l’organisation des dépôts

    Des traces d’occupation du Néolithique final dans la vallée de l’Adour à Soues (Hautes-Pyrénées)

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    National audienceUne opération archéologique dirigée sur la future ZAC « Parc de l’Adour », à Séméac et Soues (Hautes-Pyrénées), a permis ladécouverte de traces d’occupation du Néolithique final qui se résument à une fosse et peut-être aux restes d’une structure de combustion.Ces témoins apparaissent aujourd’hui isolés mais rien ne s’oppose en définitive à la présence d’une aire d’occupation plus conséquente àl’origine. Le mobilier céramique associé présente des affinités avec le Vérazien et montre dans son ensemble un syncrétisme avec lesproductions du Languedoc occidental et de l’Aquitaine. Bien que peu abondants, ces vestiges matériels constituent une documentation dechoix pour les piémonts pyrénéens où aucun groupe culturel n’a pu être encore défini précisément

    Midi-Pyrénées, Haute-Garonne, Bessières. En Naudou

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    Un projet de carrière pour l’extraction de granulats sur la commune de Bessières a enclenché un diagnostic archéologique sur une superficie de 130000 m², concernée par la première phase d’exploitation de la future carrière. Hors contraintes, la surface accessible était d’environ 126175 m². Les nombreuses structures mises au jour par ce diagnostic témoignent d’une longue occupation du site au cours de la Protohistoire récente. En effet, la chronologie des structures varie entre la fin du premier âge du Fer et la fin du second âge du Fer, bien que certaines d’entre elles ne bénéficient pour l’instant que d’une chronologie plus floue au sein de l’âge du Fer. Cependant, la majorité des vestiges n’a fourni aucun mobilier datant.Dans le secteur nord-occidental de l’emprise, un probable puits ou puisard et une large fosse ou portion de fossé ont été mis au jour dans un même sondage. Ces deux structures en creux datent d’autour de la fin du premier âge du Fer. Elles pourraient avoir fonctionné ensemble, bien que leur mode de fonctionnement ne puisse être élucidé que par une fouille extensive.Deux petites fosses, dont une attribuée génériquement à l’âge du Fer, se trouvent de part et d’autre. Il pourrait s’agir de trous de poteau.Huit foyers à galets chauffés ayant une situation stratigraphique comparable se distribuent dans une large zone entourant cet ensemble de structures. Si ces foyers à galets pourraient participer de la même phase d’occupation, aucun mobilier ne vient confirmer cette hypothèse.En bordure orientale du secteur nord-occidental, un fossé orienté presque nord-sud pourrait être également relativement ancien.Dans le secteur sud-oriental, trois trous de poteau se regroupent près de la limite méridionale de l’emprise. La céramique qu’ils ont restituée, très fragmentée, les situe chronologiquement à l’âge du Fer, un seul tesson datant plus particulièrement du premier âge du Fer.Deux autres trous de poteau se trouvent l’un à 144 m en direction nord-ouest, l’autre à 110 m en direction nord/nord-est. L’arasement très poussé de cette dernière structure dénonce la mauvaise conservation des vestiges situés le long de la bande orientale de l’emprise, anciennement la plus exposées à l’érosion en raison d’une remontée des dépôts alluviaux de la basse plaine.Deux structures de combustion à galets chauffés ont été également mises au jour près de la limite méridionale de l’emprise. Toutefois, leur situation stratigraphique diffère de celle des trois trous de poteau voisins, indiquant une plus grande ancienneté des foyers à galets.Dans ce même secteur sud-oriental nous avons repéré deux fossés. Le premier a une section en U et est orienté 0-NO/S-SE. Sa position stratigraphique le rapproche d’une phase d’occupation du site relativement ancienne.Un deuxième fossé gît à 75 m au nord-ouest de celui-ci. Cette structure a une section en V et comprend deux branches formant un angle proche de 90°. L’enclos ainsi délimité, datant de la fin de l’âge du Fer, semble circonscrire une zone située largement à l’extérieur de l’emprise de ce diagnostic, au-delà de sa limite sud-occidentale. Cette zone est concernée par la deuxième phase d’exploitation de la future carrière et doit faire à son tour l’objet d’un diagnostic archéologique
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