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    Association of angiitis of central nervous system, cerebral amyloid angiopathy, and Alzheimer’s disease: Report of an autopsy case

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    The association of angiitis of central nervous system (ACNS) with cerebral amyloid angiopathy (CAA) suggests a physiopathological relationship between these two affections. Few cases are reported in patients with Alzheimer’s disease (AD). We describe here a clinicopathological case associating ACNS, CAA, and AD. We discuss the aetiology of ACNS and its relationship with cerebral deposition of beta A4 amyloid protein (βA4)

    Relation of Statin Use and Mortality in Community-Dwelling Frail Older Patients With Coronary Artery Disease

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    Clinical decision-making for statin treatment in older patients with coronary artery disease (CAD) is under debate, particularly in community-dwelling frail patients at high risk of death. In this retrospective observational study on 2,597 community-dwelling patients aged >= 65 years with a previous hospitalization for CAD, we estimated mortality risk assessed with the Multidimensional Prognostic Index (MPI), based on the Standardized Multidimensional Assessment Schedule for Adults and Aged Persons (SVaMA), used to determine accessibility to homecare services/nursing home admission in 2005 to 2013 in the Padua Health District, Veneto, Italy. Participants were categorized as having mild (MPI-SVaMA-1), moderate (MPI-SVaMA-2), and high (MPI-SVaMA-3) baseline mortality risk, and propensity score-adjusted hazard ratios (HRs) of 3-year mortality rate were calculated according to statin treatment in these subgroups. Greater MPI-SVaMA scores were associated with lower rates of statin treatment and higher 3-year mortality rate (MPI-SVaMA-1 = 23.4%; MPI-SVaMA-2 = 39.1%; MPI-SVaMA-3 = 76.2%). After adjusting for propensity score quintiles, statin treatment was associated with lower 3-year mortality risk irrespective of MPI-SVaMA group (HRs [95% confidence intervals] 0.45 [0.37 to 0.55], 0.44 [0.36 to 0.53], and 0.28 [0.21 to 0.39] in MPI-SVaMA-1,-2, and-3 groups, respectively [interaction test p = 0.202]). Subgroup analyses showed that statin treatment was also beneficial irrespective of age (HRs [95% confidence intervals] 0.38 [0.27 to 0.53], 0.45 [0.38 to 0.54], and 0.44 [0.37 to 0.54] in 65 to 74, 75 to 84, and Z85 year age groups, respectively [interaction test p = 0.597]). In conclusion, in community-dwelling frail older patients with CAD, statin treatment was significantly associated with reduced 3-year mortality rate irrespective of age and multidimensional impairment, although the frailest patients were less likely to be treated with statins. (C) 2016 Elsevier Inc. All rights reserved.Peer reviewe

    Maladie d'Alzheimer (conséquences d'un arrêt des traitements spécifiques en unités de soins de longue durée)

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    POITIERS-BU Médecine pharmacie (861942103) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Incidence du stress psychologique sur la survenue d'une infection virale ou bactérienne (étude prospective sur 113 patients)

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    Pertinence de la prescription des inhibiteurs de la pompe à protons en gériatrie

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    Etat des lieux de la prise en charge médicale de la coronaropathie chronique du sujet âgé hospitalisé

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    Introduction : La cardiopathie ischémique est une pathologie fréquente et grave, elle représente 22,7% de la mortalité cardio-vasculaire chez les plus de 75 ans. Des recommandations sur la prise en charge de la maladie coronaire du sujet âgé ont été élaborées en 2008 par la Société Française de Cardiologie et la Société Française de Gériatrie et Gérontologie. Objectifs : Evaluer la prise en charge médicale de la coronaropathie chronique du sujet âgé et sa conformité aux recommandations actuelles. Méthode : Etude rétrospective, menée au sein du pôle de Gériatrie du CHU de Poitiers, des dossiers de patients hospitalisés entre le 1er Janvier et le 30 Juin 2011 et atteints d'une cardiopathie ischémique (code PMSI I25,2, I25,5). Résultats : Au total, 97 patients (âge moyen = 86,6 +/- 5,3 ans ; 50,5 % de femmes) ont été inclus. Parmi eux, 21,6 % présentaient une insuffisance rénale (clairance Cockcroft < 30 ml/mn), 22,7% un diabète et 30,9% une atteinte polyartérielle. Un antécédent d'infarctus du myocarde était noté chez 88,7 % des patients. Le taux de suivi des recommandations c'est-à-dire l'association d'un bêtabloquant, d'un antithrombotique, d'une statine et d'un IEC ou ARA II était de 27,8% : 68% des patients recevaient un bêtabloquant, 75% un antiagrégant plaquettaire, 61,9 % une statine et 53,6% un IEC ou ARA II. En comparant la population recevant le traitement conforme aux recommandations avec celle ayant une ou plusieurs thérapeutiques manquantes, seule la différence d'âge (83,9 vs 87,6 ans) était statistiquement significative (p<0,001). Conclusion : Notre étude montre une sous-utilisation des traitements recommandés dans la maladie coronaire chez le sujet âgé probablement due aux comorbidités du patient, à la iatrogénie et à l'appréhension d'une polymédication. La stratégie thérapeutique doit reposer non sur l'âge réel mais sur une analyse individuelle prenant en compte les comorbidités, le risque iatrogène et l'espérance et la qualité de vie du patient, rendue possible par la collaboration entre cardiologues, gériatres et médecins généralistes.POITIERS-BU Médecine pharmacie (861942103) / SudocSudocFranceF

    Relations entre désordres cognitifs et altérations du contrôle traductionnel au cours de la maladie d'Alzheimer

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    Les voies de signalisation mTOR/p70S6k et PKR/eIF2a sont altérées dans les cerveaux des patients atteints de la MA. Nous avons étudié ces voies dans les lymphocytes des patients et cherché des corrélations entre l'activité des protéines et les scores de tests neuropsychologiques. METHODOLOGIE : un prélèvement sanguin permettait l'isolement des lymphocytes puis l'extraction des protéines dont l'activité était révélée par western blots puis quantifiée par densitométrie. RESULTATS : il existe une diminution significative des protéines mTOR et p70S6k chez les patients Alzheimer et une augmentation de l'activité PKR et eIF2a. Les analyses montrent des corrélations significatives avec les tests neuropsychologiques 5MMS, Grober, Empan. DISCUSSION : nos travaux montrent une altération significative du contrôle traductionnel dans les lymphocytes de patients Alzheimer qui pourrait refléter le déclin cognitif et être un marqueur de sévérité de la maladie.POITIERS-BU Médecine pharmacie (861942103) / SudocSudocFranceF

    Existe-t-il un lien entre l'inflammation périphérique et le statut cognitif au diagnostic de la maladie d'Alzheimer ?

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    A côté de la dégénérescence neurofibrillaire et des plaques amyloïdes, il existe un processus inflammatoire décrit dans la maladie d'Alzheimer (MA) au niveau central et en périphérie. Ce processus implique différents acteurs de l'inflammation dont les cytokines et chemokines. Nous avons focalisé l'étude sur les interleukines IL-1b, IL-6, TNFa et la chemokine CCL5 (Rantes) dans le cadre d'une étude multicentrique dont l'objectif principal était de quantifier le taux plasmatique des médiateurs de l'inflammation et de chercher une corrélation avec les scores cognitifs chez les patients atteints de la maladie d'Alzheimer au moment du diagnostic. Une étude ancillaire menée sur Poitiers quantifiait également le taux des médiateurs au sein des cellules mononucléées, ainsi que l'activation de la protéine kinase PKR. Cette étude s'inscrivait dans le cadre d'un programme hospitalier de recherche clinique (PHCR CytoCogMa). Nous avons inclus des patients atteints de MA, selon les critères NINCDS-ADRDA avec un score MMSE compris entre 16 et 26. Les patients à l'inclusion étaient naïfs de traitement symptomatique de la MA. Un taux de Protéine C Réactivz > 10 mg/l, une pathologie inflammatoire ou la prise de traitement anti-inflammatoire étaient des critères d'exclusion. L'évaluation cognitive était réalisée à partir des tests MMSE et ADAScog. Au total 125 patients (95 femmes et 30 hommes) dont 42 dans l'étude ancillaire de Poitiers ont été inclus sur une période de deux ans. L'âge moyen était de 79.6 +- 6.7 ans, les scores MMSE moyen et ADAScog moyen au diagnostic, étaient respectivement de 21.3 +- 2.7 et 16 +- 5.8. Les taux plasmatiques des marqueurs étaient parfois indétectables (IL-1), ou avec une grande variabilité. Aucune corrélation entre les valeurs plasmatiques des médiateurs inflammatoires et le score MMSE au moment du diagnostic n'a été retrouvée. De même, aucune corrélation n'a été retrouvée avec le score ADAScog. Aucune corrélation entre les valeurs dans le milieu extracellulaire ou les lysats des cellules mononuclées et les scores cognitifs n'a été retrouvée. L'activation de PKR dans les cellules mononucléées était très faible, aucune corrélation entre les différentes formes de PKR et les scores cognitifs n'a été retrouvée. A notre connaissance, il s'agit de la première étude de cohorte prospective multicentrique ciblant le rôle de l'inflammation périphérique dès le diagnostic de la maladie d'Alzheimer. Le PHRC se poursuit avec un suivi évolutif de deux ans et permettra de préciser d'une part l'évolution des marqueurs périphériques de l'inflammation avec l'évolution de la maladie, d'autre part le caractère prédictif de ces marqueurs sur la cinétique d'évolution de la maladie.POITIERS-BU Médecine pharmacie (861942103) / SudocSudocFranceF
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