Rápido método de selección de plantas resistentes a herbicidas

Rápido método de selección de plantas resistentes a herbicidasFil: Larran, A. S. Universidad Nacional de Rosario. Facultad de Ciencias Agrarias; Argentin

A novel East African monopartite begomovirus-betasatellite complex that infects Vernonia amygdalina

The complete genomes of a monopartite begomovirus (genus Begomovirus, family Geminiviridae) and an associated betasatellite found infecting Vernonia amygdalina Delile (family Compositae) in Uganda were cloned and sequenced. Begomoviruses isolated from two samples showed the highest nucleotide sequence identity (73.1% and 73.2%) to an isolate of the monopartite begomovirus tomato leaf curl Vietnam virus, and betasatellites from the same samples exhibited the highest nucleotide sequence identity (67.1% and 68.2%) to vernonia yellow vein Fujian betasatellite. Following the current taxonomic criteria for begomovirus species demarcation, the isolates sequenced here represent a novel begomovirus species. Based on symptoms observed in the field, we propose the name vernonia crinkle virus (VeCrV) for this novel begomovirus and vernonia crinkle betasatellite (VeCrB) for the associated betasatellite. This is the first report of a monopartite begomovirus-betasatellite complex from Uganda

Oleic acid variation and marker-assisted detection of Pervenets mutation in high- and low-oleic sunflower cross

High-oleic sunflower oil is in high demand on the market due to its heart-healthy properties and richness in monounsaturated fatty acids that makes it more stable in processing than standard sunflower oil. Consequently, one of sunflower breeder's tasks is to develop stable high-oleic sunflower genotypes that will produce high quality oil. We analyzed variability and inheritance of oleic acid content (OAC) in sunflower, developed at the Institute of Field and Vegetable Crops, by analyzing F-1 and F-2 progeny obtained by crossing a standard linoleic and high-oleic inbred line. F-2 individuals were classified in two groups: low-oleic with OAC of 15.24-31.28% and high-oleic with OAC of 62.49-93.82%. Monogenic dominant inheritance was observed. Additionally, several molecular markers were tested for the use in marker-assisted selection in order to shorten the period of detecting high-oleic genotypes. Marker F4-R1 was proven to be the most efficient in detection of genotypes with Pervenets (high-oleic acid) mutation

Sur la nomenclature minéralogique. Décisions de la Commission des Nouveaux Minéraux et des Noms de Minéraux de l'Association Internationale de Minéralogie

La nomenclature minéralogique devenant de plus en plus complexe (il existe 12 000 noms alors que moins de 5 000 suffiraient), la Commission des Nouveaux Minéraux et des Noms de Minéraux de l'Association Internationale de Minéralogie a pris d'importantes décisions concernant : — les modalités d'examen des mémoires qui doivent lui être soumis avant la publication (rapporteur J . P. de Roever) ; — les conditions dans lesquelles les mémoires doivent être rédigés pour être approuvés (rapporteur F. Permingeat) . Deux plans de description d'un minéral sont donnés : — un plan de description complète qui constitue un «idéal » ; — un plan de description «minimale » pour qu'une proposition d'introduction d'un nouveau nom soit acceptable ; Pour la description minimale il faut considérer plusieurs cas : Le cas le plus simple est celui d'un minéral, en grains macroscopiques, se différenciant nettement de tous les minéraux déjà décrits à la fois par son diagramme de poudre et par sa composition chimique. Divers cas particuliers provenant de difficultés d'observation des caractères du minéral ou de confusions possibles avec d'anciens minéraux sont envisagés en détail. De nouvelles conditions sont alors ajoutées ; d'une façon générale toute observation défectueuse sur un caractère essentiel doit être compensée par de multiples observations pour dissiper tous les doutes. Les descriptions sont classées en sept catégories se répartissant en deux groupes : celles qui laissent intacte la nomenclature et celles qui la modifient. Les diverses modifications envisagées comprennent : — l'introduction d'un nouveau nom pour un minéral supposé nouveau ou pour un minéral déjà décrit sans nom, — la nouvelle définition d'un ancien nom, — l'élimination d'un ancien nom. Les sept catégories sont les suivantes : 1° un nouveau nom est proposé, 2° aucun nom n'est proposé ; le minéral reste sans nom, 3° un nouveau nom est proposé pour un minéral déjà décrit mais sans nom, 4° un nouveau nom est proposé pour remplacer l'ancien, 5° de nouvelles données sont apportées et mettent en doute la validité de l'ancien nom, 6° une modification essentielle de la définition du nom est proposée, 7° un ancien minéral est discrédité. L'auteur propose de supprimer le nom, soit parce qu'il ne correspond pas à un véritable minéral (substance hétérogène notamment), soit parce que son nom est synonyme d'un autre nom. — La normalisation des noms (synonymes tombant en désuétude, nomenclature des solutions solides...) et l'emploi des signes diacritiques (rapporteur M. H. Hey). — La présentation des revues bibliographiques (rapporteur C. Guillemln) . Les publications seront classées en quatre groupes : a) celles dont les résultats ont été approuvés par la Commission internationale, b) celles dont les résultats ont été approuvés par un Comité National sans avoir été soumis à la Commission internationale, c) celles dont le texte n'a été soumis préalablement ni à la Commission internationale, ni à un Comité national, d) celles dont les résultats ont été désapprouvés. La Commission internationale présentera chaque année une telle revue ; toutefois les listes actuellement publiées par plusieurs périodiques continueront à paraître en adoptant de préférence cette présentation. Le Comité de nomenclature de la Société française de Minéralogie et de Cristallographie appliquera toutes ces décisions en France ; les modalités d'examen des mémoires sont définies.Hey H., Guillemin Claude, Permingeat François, Roever J.-P. de. Sur la nomenclature minéralogique. Décisions de la Commission des Nouveaux Minéraux et des Noms de Minéraux de l'Association Internationale de Minéralogie. In: Bulletin de la Société française de Minéralogie et de Cristallographie, volume 84, 1, 1961. pp. 96-105

A plant-specific TGS1 homolog influences gametophyte development in sexual tetraploid Paspalum notatum ovules

Aposporous apomictic plants form clonal maternal seeds by inducing the emergence of non-reduced (2n) embryo sacs in the ovule nucellus and the development of embryos by parthenogenesis. In previous work, we reported a plant-specific TRIMETHYLGUANOSINE SYNTHASE 1 (TGS1) gene (PN_TGS1-like) showing expression levels positively correlated with sexuality rates in facultative apomictic Paspalum notatum. PN_TGS1-like displayed contrasting in situ hybridization patterns in apomictic and sexual plant ovules from premeiosis to anthesis. Here we transformed sexual P. notatum with a TGS1-like antisense construction under a constitutive promoter, in order to produce lines with reduced transcript representation. Antisense plants developed prominent trichomes on the adaxial leaf surface, a trait absent from control genotypes. Reproductive development analysis revealed occasional formation of twin ovules. While control individuals typically displayed a single meiotic embryo sac per ovule, antisense lines showed 12.93-15.79% of ovules bearing extra nuclei, which can be assigned to aposporous-like embryo sacs (AES-like) or, alternatively, to gametophytes with a misguided cell fate development. Moreover, around 8.42-9.52% of ovules showed what looked like a combination of meiotic and aposporous-like sacs. Besides, 32.5% of ovules at early developmental stages displayed nucellar cells with prominent nuclei resembling apospory initials (AIs), which surrounded the megaspore mother cell (MMC) or the MMC-derived meiotic products. Two or more concurrent meiosis events were never detected, which suggest a non-reduced nature for the extra nuclei observed in the mature ovules, unless they were generated by proliferation and misguided differentiation of the legitimate meiotic products. The antisense lines produced a similar amount of viable even-sized pollen with respect to control genotypes, and formed an equivalent full seed set (similar to 9% of total seeds) after self-pollination. Flow cytometry analyses of caryopses derived from antisense lines revealed that all full seeds had originated from meiotic embryo sacs (i.e. by sexuality). A reduction of 25.55% in the germination percentage was detected when comparing antisense lines with controls. Our results indicate that PN_TGS1-like influences ovule, gametophyte and possibly embryo development