109 research outputs found
Capoeira for beginners: self-benefit for, and community action by, new Capoeiristas
Capoeira could be defined as a Brazilian martial art and game to be played. This research explored how capoeira play might be considered to facilitate connectedness amongst newly-recruited persons, plus any other ramifications of capoeira involvement. A beginners’ course of capoeira was provided to participants, free of charge, in an English city in the West Midlands—new capoeiristas in a new venue for capoeira. Researchers attended classes to collect/construct overt non-participant observation data. In addition, semi-structured interviews were undertaken with the new capoeiristas post-course. This article explores researchers’ observation fieldnotes and interviewees’ narratives. These qualitative data-driven debates include the concepts: self, identity, escapism, multiparty endeavour, community, temporality, enjoyment, and transcending boundaries. Capoeira is theorised in a fresh manner that highlights social benefits of capoeira—for example as an enjoyable and supportive group endeavour which includes elements of social play and community-building—plus benefits for self that can transcend the boundaries of the class. Findings highlight how capoeira can be considered an inherently multiparty endeavour whereby social actors form, and experience, a community in order to embrace capoeira play. Data suggest capoeira can facilitate group playfulness, joviality, and laughter. Further, capoeiristas can enact and experience—some mode of—escapism via capoeira, whereby new place and pursuit can facilitate hedonistic diversion from the mundane. Capoeira appears to provide adventure and liberation into a relatively unburdened part of, or place in, social life. Corporeal and discursive boundary-empowerment can also be experienced by capoeiristas, fostering positive identity work in the wider world. Capoeira can be argued to facilitate mutuality (e.g. community experience and group work) and egoism (e.g. an individual's identity work) concurrently. This research suggests that modified capoeira for beginners can be beneficial for both the new capoeiristas themselves and for positive community action during and beyond class
Sur la formation d'ions polyatomiques secondaires
A discussion of experimental results on the secondary émission of polyatomic ions shows the important role played by the charge in their formation. One knows that the charge favorizes the nucleation of aggregates in supersaturated vapors. Here, we analyze the role of the charge of a secondary monoatomic ion as a centre of nucleation for the group of secondary atoms emitted after the same primary impact (all these particles start from a zone some tens of Å in diameter and during a time of about 10-13 s). We present a calculation where this mechanism is applied to Al+ 2 ions formed by nucleation on Al+ ions of various energies. The order of magnitude of the dimer yield is in agreement with experiment. The dependence of the yield on the binding energy of the « ionatom » system allows one to verify the correspondance rule « intensity stability » given in other works. Moreover, the results show that, as observed, the energy spectrum of dimers is displaced towards low values. A discussion allows one to predict that the mechanism gives an angular distribution of dimers more peaked about the maximum than the distribution for monoatomic species. We also obtain the proportion of dimers due to large-distance catching of the atom by the ion (> 6 Å). This proportion is important and explains recent experimental results on the clustering distance. This part of the emission is due to the long-range attractive potential which does not appear in the atom-atom system. The ratio of the yields I(Al 2)/I(Al) is not expected to be significantly different from I(Al+2 )/I(Al+) because large-distance catching is not preponderant in dimer formation. This is no longer the case for large-size molecular particles. Their formation demands one or several large-distance catchings and thus the yields should be larger for ionic than for neutral species : I(Al+n)/I(Al+) > I(Aln)/I(Al). Some experimental results confirm this point.Une discussion des résultats expérimentaux sur l'émission secondaire d'ions polyatomiques permet de dégager le rôle prépondérant de la charge dans leur formation. On sait que la présence d'une charge favorise aussi la formation d'agrégats dans les phénomènes de nucléation en atmosphère sursaturée. Nous analysons ici le rôle de la charge d'un ion secondaire comme centre de nucléation pour la « bouffée » d'atomes neutres émis à la suite du même impact primaire (toutes ces particules secondaires émergent de la surface d'une zone de quelques dizaines d'Å de diamètre et dans un intervalle de temps de l'ordre de 10 -13 s). Nous présentons un calcul où le mécanisme est appliqué à l'émission secondaire d'ions Al+2 formés à partir d'ions Al + de diverses énergies. Les ordres de grandeur des rendements en dimères sont en accord avec l'expérience. La dépendance des rendements avec l'énergie de cohésion du système ion-atome est obtenue ; elle permet de vérifier la règle de correspondance « intensité stabilité » que d'autres études avaient permis de dégager. Les résultats montrent de plus que, conformément à l'expérience, les spectres énergétiques des dimères sont plus concentrés sur l'origine que ceux des ions simples. Une discussion permet de prévoir que ce mécanisme donnerait une distribution angulaire des dimères plus étroite autour du maximum que celle des ions simples. Nous obtenons aussi la proportion de dimères formés au cours d'un accrochage atome-ion à grande distance ( > 6 Å). Cette proportion est notable, elle permet de comprendre des résultats expérimentaux récents sur la « distance maximale d'agrégation ». Cette part de l'émission est due au potentiel attractif à grande distance du système ion-atome qui n'existe pas pour le système neutre-neutre. On comprendrait ainsi que les particules moléculaires à grand nombre d'atomes dont la formation passe forcément par un ou plusieurs accrochages à grande distance soient plutôt de type ionique
MÉCANISME DE FORMATION D'IONS POLYATOMIQUES SECONDAIRES. APPLICATIONS AUX IONS Cu+2 ET Cu+3
La formation d'ions secondaires polyatomiques est décrite comme due à la capture par un ion secondaire monoatomique d'atomes émis à la suite du même impact primaire.The formation of secondary polyatomic ions is described as resulting from the nucleation on a monoatomic secondary ion of atoms emitted after same primary impact
Edge singularity in tight binding approximation
The energy spectra of electronic transitions in metals show a strong divergency from « one electron » spectra in the edge vicinity which is due to the reaction of conduction electrons (with energies ∼ Fermi energy) to the transient potential. We extend here the treatment of Nozières and De Dominicis to metals whose energy bands can be described by tight binding methods. We consider transitions between the conduction band and a bound level and between two bound levels. This calculation should allow a better understanding of some experimental data.Les spectres d'énergie caractéristiques des transitions électroniques dans les métaux présentent un fort écart par rapport aux spectres à « un electron » au voisinage du seuil, écart qui est dû à la réaction des électrons de conduction (d'énergies ∼ l'énergie de Fermi) au potentiel transitoire. Nous étendons le traitement de Nozières et De Dominicis aux métaux dont les bandes d'énergies peuvent être décrites en « liaisons fortes ». Nous considérons le cas de la transition entre une niveau lié et le continuum et celui de la transition entre deux niveaux liés. Ce calcul devrait permettre une meilleure compréhension des spectres expérimentaux
Mise en évidence de la stabilité d'ions polyatomiques par émission ionique secondaire : cas de l'ion Al-2
The relative secondary emission intensity of the molecular ion Al-2 sputtered from aluminium by ionic bombardment is larger than that of Al-, whereas this is not the case for positive ions. We give an interpretation of this particularity with an ab initio calculation of Al-2, Al2 and Al+2 using an enlarged basis, which shows that Al-2 is more stable than Al+2 and Al2.L'intensité relative d'émission secondaire de l'ion moléculaire Al-2 arraché par bombardement ionique à une cible d'aluminium est supérieure à celle de l'ion Al-, ce qui n'est pas le cas pour les ions positifs. Nous interprétons cette particularité par un calcul ab initio de Al-2, Al2 et Al+2 dans une base étendue qui montre une stabilité plus grande de Al-2 par rapport à Al+2 et Al2
STRUCTURE ÉLECTRONIQUE DE PETITS AGRÉGATS OBTENUS PAR ÉMISSION IONIQUE SECONDAIRE
Les intensités I(X+n) ou I(X-n) en ions moléculaires X+n ou X-n émis à partir d'une cible solide X soumise à un bombardement ionique primaire présentent des caractéristiques intéressantes. Ainsi dans le cas d'éléments du Groupe I, les ions positifs et négatifs à nombre impair d'atomes X+ou-2N±1 sont plus abondants que les ions X+ou-2N à nombre pair d'atomes. Pour les éléments du Groupe II, on constate au contraire une décroissance continue. Pour le Groupe III (aluminium) réapparition d'alternances moins marquées que celles du Groupe I mais du même type. Enfin dans le cas du Groupe IV, le carbone d'une part et le silicium et le germanium d'autre part ont un comportement différent ; on a en effet : I(C+2N+1) 1> I(C+2N), I(C-2N+1) D(X+2N) et AE(X2N±1) > AE(X2N)[1]. Le même modèle permet aussi d'interpréter les observations faites pour les Groupes II et III et même pour des amas hétéronucléaires constitués de mélanges d'atomes des Groupes I, II et III, groupements observés lors du bombardement d'alliages[2]. Les calculs entrepris pour le Groupe IV sont plus complexes à cause de la tendance qu'ont ces éléments à constituer des orbitales hybridées. Cependant, après fixation des constantes de notre méthode par comparaison à des paramètres introduits dans des calculs de structure de bande du carbone et du silicium solides, on a pu appliquer à nouveau une théorie de type Hückel qui explique bien les alternances observées. Nos résultats donnent de plus les géométries les plus stables, elles sont en accord avec les structures solides : hybridation linéaire sp pour Cn n ≤ 5 puis sp2 pour n > 5 et hybridation sp2 pour Sin et Gen pour n ≤ 3 puis sp3 pour n > 3.The intensities I(X+n) or I(X-n) of ions X+n or X-n emitted from a solid target X submitted to an ionic bombardment show some interesting features. In the case of Group I elements, the positive and negative ions X+or-2N±1 with an odd number of atoms 2N ±1 are more abundant than the ions X+or-2N. To the contrary, the Group II element clusters present a continuous decreasing when n increases. For the Group III (aluminium) we observe alternations of the same kind as those of Group I, but less pronounced. Finally, in the Group IV the carbon on the one hand and the silicon and the germanium on the other hand have two different behaviours : I(C+2N±1) > I(C+2N), I(C-2N±1 D(X2N) and AE(X2N±1) > AE(X2N)[1]. The same model applies to Groups II and III and also to heteronuclear clusters made up of atoms of these Groups [2]. The calculations undertaken for Group IV are more complex because we have to take into account the formation of hybrids. However, after having fixed the parameters of a Hückel model by comparison with previous calculations on band structure of solid carbon and silicon, we have obtained the physical constants of the clusters. Generally speaking Our results still agree with experiments and the stablest shapes given by our calculation are in agreement with solid structures when n becomes of the order of 10 : sp2 hybridization for carbon, sp3 hybridization for Silicon and germanium
On the electronic structure of Hgn and Hg+ n aggregates
We study small mercury aggregates in which the nature of the chemical bonding changes with respect of the bulk. In a first part, we consider neutral aggregates for which we find that the transition from the metallic to the Van der Waals bonding occurs for nc ∼ 15 in close agreement with a previous theoretical work. In a second part we study the ionization energy I. For n ≳ 50, a simple metallic model gives the experimental order of magnitude. This model is no longer valid in the n ≲ 10 range for which we present another calculation. In this study we fix our parameters by using the experimental values for n ≤ 4. For 4 < n ≤ 7, our results are in agreement with experiment. We also examine the localization of the excess positive charge.Nous étudions les agrégats de mercure où un changement dans la nature de la liaison chimique apparaît aux faibles nombres d'atomes. Dans une première partie, nous considérons les agrégats neutres où la transition métal → Van der Waals apparaît pour nc ∼ 15, résultat en bon accord avec un autre travail théorique. Dans une deuxième partie, nous étudions l'énergie d'ionisation I. Pour n ≳ 50, un modèle de type métallique donne le bon ordre de grandeur. Pour n ≤ 10, ce modèle ne convient plus et nous présentons une autre méthode où les résultats expérimentaux, pour n ≤ 4, sont utilisés pour fixer les paramètres. Pour 4 < n ≤ 7, l'accord avec l'expérience est bon. Nous examinons aussi le problème de la localisation de la charge positive en excès dans Hg +n
Etude théorique des alternances pair-impair dans les propriétés des amas Cn, C+n et C- n linéaires
We study the linear carbon aggregates Cn, C+ n, C-n (n ≤ 7). We first analyse the stabilities and the ionization potentials of Cn. In the latter study it appears that it is necessary to go beyond the « one-electron » model of Pitzer and Clementi to reproduce experimental results (no alternation with the parity of n of the ionization potentials). We introduce the dielectronic correlations by using a Gutzwiller technique adapted to small aggregates. This method is developed in other works. It also appears that, in the case of C3, the ionized level is of σ type, not of π type as for the other Cn studied. By taking these new factors into account we calculate the stabilities of Cn, C+ n and C-n and find a satisfactory agreement with experimental results : in Cn, odd n's are more stable ; in C+n, odd n's are more abundant in spark source discharge ; in C-n, even n's are more abundant in SIMS. To show how in SIMS (but also in spark source discharge because the two techniques give, in general, the same spectra) the stability of a given aggregate is related to its intensity in the mass spectrum, we discuss the emission mechanism. In particular, we show that the positive charge located on the end-atom of the Cn chains when n is odd may be important in the production of C-n clusters with an even number of atoms.Nous étudions les amas de carbone linéaires Cn, C +n, C-n (n ≤ 7). Nous analysons d'abord la stabilité et l'énergie d'ionisation des C n. Dans cette dernière étude il apparaît qu'il faut aller au-delà du modèle « à un électron » de Pitzer et Clementi pour rendre compte des résultats expérimentaux (pas d'alternance des énergies d'ionisation avec n). L'introduction des corrélations diélectroniques est faite à l'aide de la méthode de Gutzviller étendue aux petits amas, technique décrite dans d'autres travaux. Nous montrons aussi que, dans le cas de C3, il faut envisager l'ionisation d'un niveau σ et non π comme pour les autres Cn. En tenant compte de ces nouveaux éléments le calcul des stabilités de Cn, C+n et C-n est effectué ; l'accord avec les résultats expérimentaux, obtenus par sublimation (Cn, n impairs plus stables) par source à étincelle (C+n, n impairs plus abondants) et par émission ionique secondaire (C -n , n pairs plus abondants), est satisfaisant. Pour montrer comment, en émission ionique (et aussi par source à étincelle car les deux techniques donnent en général les mêmes résultats), la stabilité d'une espèce donnée est reliée à son intensité d'émission nous discutons les mécanismes d'émission. Nous montrons en particulier que la charge positive de bout de chaîne qui apparaît sur les Cn avec n impair peut être importante pour favoriser la création d'ion C-n avec n pair
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