78 research outputs found

    Traitements des dépressions unipolaires hospitalisées au Centre Hospitalier du Rouvray en 2012

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    OBJECTIF : La dépression est une maladie fréquente, grave et invalidante pour laquelle des traitements ont montré leur efficacité. Nous avons souhaité connaître les prescriptions médicamenteuses de sortie des patients hospitalisés pour dépression unipolaire au Centre Hospitalier du Rouvray en 2012 et évaluer leur adéquation aux recommandations. METHODE : Les prescriptions médicamenteuses et les codes diagnostics des patients hospitalisés en 2012 ont été extraits et traités informatiquement pour ne conserver que les patients hospitalisés pour dépression unipolaire avec ou sans comorbidités psychiatriques. Ils ont ensuite été analysés et fait l objet de comparaison en fonction de la sévérité de l accès. RESULTATS : 424 patients répondaient aux critères d inclusion. La majorité des patients étaient hospitalisés pour dépression sévère et la moitié présentait une comorbidité d abusdépendance de substance, anxieuse ou de personnalité. Quatre-vingt-six pourcent des patients prenaient un antidépresseur. Une stratégie d augmentation était présente chez 40% des patients et de manière significativement plus fréquente chez les patients sévères (51% versus 28%). En dehors des traitements sédatifs, les traitements les plus souvent associés aux antidépresseurs étaient les antipsychotiques de seconde génération (30%), les anticonvulsivants (10%) et le LITHIUM (7%). Les posologies des antidépresseurs et des antipsychotiques de seconde génération étaient conformes aux recommandations. CONCLUSION : Le traitement de la dépression au Centre Hospitalier du Rouvray en 2012 était conforme aux recommandations.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocSudocFranceF

    Adaptive Importance Sampling in General Mixture Classes

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    In this paper, we propose an adaptive algorithm that iteratively updates both the weights and component parameters of a mixture importance sampling density so as to optimise the importance sampling performances, as measured by an entropy criterion. The method is shown to be applicable to a wide class of importance sampling densities, which includes in particular mixtures of multivariate Student t distributions. The performances of the proposed scheme are studied on both artificial and real examples, highlighting in particular the benefit of a novel Rao-Blackwellisation device which can be easily incorporated in the updating scheme.Comment: Removed misleading comment in Section

    Developmental trajectories of neuroanatomical alterations associated with the 16p11.2 Copy Number Variations

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    Mapping genomic loci implicates genes and synaptic biology in schizophrenia

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    Schizophrenia has a heritability of 60-80%1, much of which is attributable to common risk alleles. Here, in a two-stage genome-wide association study of up to 76,755 individuals with schizophrenia and 243,649 control individuals, we report common variant associations at 287 distinct genomic loci. Associations were concentrated in genes that are expressed in excitatory and inhibitory neurons of the central nervous system, but not in other tissues or cell types. Using fine-mapping and functional genomic data, we identify 120 genes (106 protein-coding) that are likely to underpin associations at some of these loci, including 16 genes with credible causal non-synonymous or untranslated region variation. We also implicate fundamental processes related to neuronal function, including synaptic organization, differentiation and transmission. Fine-mapped candidates were enriched for genes associated with rare disruptive coding variants in people with schizophrenia, including the glutamate receptor subunit GRIN2A and transcription factor SP4, and were also enriched for genes implicated by such variants in neurodevelopmental disorders. We identify biological processes relevant to schizophrenia pathophysiology; show convergence of common and rare variant associations in schizophrenia and neurodevelopmental disorders; and provide a resource of prioritized genes and variants to advance mechanistic studies

    Effects of eight neuropsychiatric copy number variants on human brain structure

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    Many copy number variants (CNVs) confer risk for the same range of neurodevelopmental symptoms and psychiatric conditions including autism and schizophrenia. Yet, to date neuroimaging studies have typically been carried out one mutation at a time, showing that CNVs have large effects on brain anatomy. Here, we aimed to characterize and quantify the distinct brain morphometry effects and latent dimensions across 8 neuropsychiatric CNVs. We analyzed T1-weighted MRI data from clinically and non-clinically ascertained CNV carriers (deletion/duplication) at the 1q21.1 (n = 39/28), 16p11.2 (n = 87/78), 22q11.2 (n = 75/30), and 15q11.2 (n = 72/76) loci as well as 1296 non-carriers (controls). Case-control contrasts of all examined genomic loci demonstrated effects on brain anatomy, with deletions and duplications showing mirror effects at the global and regional levels. Although CNVs mainly showed distinct brain patterns, principal component analysis (PCA) loaded subsets of CNVs on two latent brain dimensions, which explained 32 and 29% of the variance of the 8 Cohen’s d maps. The cingulate gyrus, insula, supplementary motor cortex, and cerebellum were identified by PCA and multi-view pattern learning as top regions contributing to latent dimension shared across subsets of CNVs. The large proportion of distinct CNV effects on brain morphology may explain the small neuroimaging effect sizes reported in polygenic psychiatric conditions. Nevertheless, latent gene brain morphology dimensions will help subgroup the rapidly expanding landscape of neuropsychiatric variants and dissect the heterogeneity of idiopathic conditions

    Mapping genomic loci prioritises genes and implicates synaptic biology in schizophrenia

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    Schizophrenia has a heritability of 60–80%1, much of which is attributable to common risk alleles. Here, in a two-stage genome-wide association study of up to 76,755 individuals with schizophrenia and 243,649 control individuals, we report common variant associations at 287 distinct genomic loci. Associations were concentrated in genes that are expressed in excitatory and inhibitory neurons of the central nervous system, but not in other tissues or cell types. Using fine-mapping and functional genomic data, we identify 120 genes (106 protein-coding) that are likely to underpin associations at some of these loci, including 16 genes with credible causal non-synonymous or untranslated region variation. We also implicate fundamental processes related to neuronal function, including synaptic organization, differentiation and transmission. Fine-mapped candidates were enriched for genes associated with rare disruptive coding variants in people with schizophrenia, including the glutamate receptor subunit GRIN2A and transcription factor SP4, and were also enriched for genes implicated by such variants in neurodevelopmental disorders. We identify biological processes relevant to schizophrenia pathophysiology; show convergence of common and rare variant associations in schizophrenia and neurodevelopmental disorders; and provide a resource of prioritized genes and variants to advance mechanistic studies

    Trouble bipolaire et dépendance à la nicotine (Le craving dépend-t-il de l'état thymique?)

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    Les patients présentant un trouble bipolaire fument davantage que la population générale et arrêtent moins facilement leur dépendance au tabac. Le craving à la nicotine joue un rôle important dans le maintien de cette dépendance. L'objectif de notre étude était d'évaluer les variations du craving à la nicotine lors des épisodes aigus thymiques d'un trouble bipolaire. Nous avons inclus 22 sujets âgés de 39 + 8,26 ans dont 81,8% souffraient de trouble bipolaire 1, 9.1% de trouble bipolaire II et 9.1% de trouble bipolaire non spécifié. Tous étaient dépendants à la nicotine. Le craving a été mesuré à l'aide de l'échelle de l'urgence à fumer (QSU) en période aigüe et euthymique. Les scores du QSU étaient significativement augmentés lors de l'épisode aigu déprimé (122,89 + 45,28) par rapport à la phase euthymique (86,11 +- 35,36) et entre les épisodes aigu maniaque (122,62 +- 45,64) et euthymique (96,38 +- 34,80). Cette augmentation n'était pas différente entre les épisodes maniaques et dépressifs. Le QSU mesure deux dimensions différentes du désir de fumer : l'urgence et la recherche du plaisir. Dans l'épisode maniaque ; l'augmentation du QSU était majoritairement le fait du facteur urgence à fumer qui est un marqueur d'impulsivité et dans l'épisode dépressif de façon égale des facteurs impulsivité et recherche du plaisir. L'intensité du craving était corrélée à l'intensité de la symptomatologie maniaque mais ne l'était pas à celle de la symptomatologie dépressive. Nos résultats suggèrent que dans le trouble bipolaire le craving varie en fonction de l'état thymique du patient que ce soit dans la dépression ou dans la manie. Dans la manie, le craving pourrait être lié à l'impulsivité engendrée par cet état thymique et dans la dépression à une recherche de plaisir et de stimulation cognitive. Nous constatons donc que l'instabilité thymique augmente le craving. Dans le trouble bipolaire l'euthymie ne représente chez la majorité des patients qu'une proportion faible de leur existence. Le craving étant un facteur important de rechute dans le sevrage tabagique, nos résultats pourraient suggérer que l'obtention d'une euthymie la plus parfaite possible pourrait optimiser les chances de succès du sevrage tabagique dans le trouble bipolaire.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocSudocFranceF

    Recherche de variations pathogéniques dans le trouble bipolaire par séquençage d exome

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    Des données importantes indiquent une vulnérabilité génétique au trouble bipolaire (TB). Les stratégies de localisation et d identification des facteurs génétiques se sont basées à partir des années 1990 sur des études de liaisons génétiques et d association à des gènes candidats. Suite au séquençage du génome humain, des études pan-génomiques ont vu le jour permettant de tester des milliers de variations nucléotidiques (SNP) et leur association au TB par des GWAS. Aujourd hui, la recherche d une implication des variations rares dans les maladies multifactorielles, qui auraient un effet sur le risque plus important que les variations fréquentes, est devenue possible par des études de séquençage d exomes. L objectif de cette recherche est l identification de variations nucléotidiques rares impliquées dans l étiologie du TB par une stratégie de séquençage d exomes dans des familles dont plusieurs membres sont atteints de la maladie. Cinq familles multiplex ont été recrutées et caractérisées cliniquement pour déterminer les sujets susceptibles d être porteurs d un gène pathogène. Le séquençage d une première famille a permis d identifier le gène AFTPH comme candidat principal à une forme monogénique de la maladie. Il est présent chez tous les individus atteints, hormis un sujet malade considéré comme une phénocopie. Son rôle dans le transport vésiculaire neuronal avec une possible implication dans la neurotransmission font de ce gène un candidat à poursuivre les investigations pour confirmer son rôle dans la physiopathologie du TB.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocSudocFranceF

    Evaluation neurocognitive et évolution démentielle dans le trouble bipolaire

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    Le trouble bipolaire est une pathologie qui évolue par accès récurrents. Nous avons réalisé une revue de la littérature sur les fonctions neurocognitives lors des phases d'euthymie et sur le risque d'évolution démentielle dans cette pathologie car le concept d'évolution démentielle dans le trouble bipolaire est évoqué depuis plus de 150 ans. Le but de notre étude a été de caractériser des sujets ayant souffert dans leur vie de trouble bipolaire, présentant une démence avant 65 ans et de rechercher des altérations génétiques susceptibles d'être à l'origine de cette démence. Nous avons recruté 76 patients âgés de 16 à 85 ans souffrant de trouble bipolaire selon les critères du DSM IV TR, dont 25 âgés de 50 à 65 ans chez qui nous avons réalisé des évaluations neurocognitives. Nous retrouvons des résultats perturbés pour le fonctionnement exécutif (principalement pour la fluence verbale catégorielle et la capacité d'inhibition à la BREF), pour la mémoire et à un moindre degré pour les fonctions visuospatiales. Parmi ces 25 sujets, 3 patients présentaient un syndrome démentiel : une démence de type Alzheimer, un syndrome de dégénérescence corticobasale et un patient qui présentait une démence non classifiable pouvant être l'expression d'un sous type propre au trouble bipolaire, encore mal caractérisé, dont l'existence est suggérée par la littérature. Aucun de ces patients ne présentait de variation du nombre de copie de gène causal, le séquençage des gènes de la protéine tau associée aux microtubules (MAPn et de la progranuline (PGN) chez ces patients est aussi resté négatif. La poursuite des inclusions dans cette étude et le suivi des patients ayant des altérations cognitives sévères ainsi que l'utilisation des biomarqueurs récemment développés devrait permettre de faire avancer nos connaissances dans l'évolution démentielle du trouble bipolaire.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocSudocFranceF
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