The Role of Occupational Science in Public health and Wellbeing Practice

In this paper I will explain the link between occupational science and public health and wellbeing. The explanation will include discussion of common areas of interest such as environmental sustainability. It will also determine the importance of establishing and understanding the meanings of human occupation in public health practice and consider why interventions that ignore peoples’ meanings of occupation are unlikely to succeed. The scope of contemporary public health is broad and it encompasses a range of issues from global environmental sustainability to individual health behaviours. Environmental sustainability issues are inextricably linked to human activities to the extent that Pratarelli (2012) has proposed that we should refer to ‘human activity issues’ rather than ‘environmental issues’. Occupational science commentators such as Whiteford and Hocking (2012) have also talked about the significance of human occupation in relation to environmental degradation. This is just one example of the link between occupational science and public health. Occupational science includes a quest to understand why people do as they do (Hocking and Wright-St Clair 2011). Next in this paper and using the public health issue of skin cancer prevention as an example, I explain why interventions that ignore peoples’ meanings of occupation are unlikely to succeed. I illustrate with findings from a grounded theory study designed to explore why young women do as they do in the sun

Comparison of two groups of adoptive parents in successful and unsuccessful legal adoptions

Thesis (M.S.)--Boston University, 195

A grounded theory of female adolescent behaviour in the sun: comfort matters.

The aim of the research was to generate a grounded theory to explain the behaviour of young women in the sun. The study sought to explore the sun-related experiences of young women in order to gain new insights into the influences upon them. The study was qualitative by design and utilised grounded theory method as developed by Glaser. Twenty female participants, aged 14 to 17 years old were included in the study. They formed six groups. Thirteen interviews were carried out with the groups and six one-to one interviews took place with individuals. All interviews were semi-structured and were based upon the participants' experiences of being in the sun. Data was analysed using the constant comparative method of data analysis, concordant with Glaserian grounded theory method. Five explanatory categories emerged from the data; Fitting In, Being Myself, Being Physically Comfortable, Slipping Up and a core category of Being Comfortable. One of the issues that emerged was that some young women believed their social acceptance depended on their appearance and they conformed to this end. The theory, derived from the categories, proposes that when in the sun, young women direct their activities toward meeting physical and psychosocial comfort needs. Comfort matters to them because it has implications for their wellbeing. This thesis contributes to the literature about the behaviours of young women in the sun. By increasing understanding of the factors that influence them, it also adds to the body of knowledge related to the primary prevention of skin cancer with teenage girls in the United Kingdom. The outcome of the research and its contribution to knowledge is a grounded theory, which explains the basis of the behaviours of young women in the sun. It appears that no other study has explored the experiences of UK adolescent females specifically, in a qualitative way and with the intention of producing a theory to explain them

Pour les enfants fréquentant la crèche une demi-journée à un jour et demi par semaine: comment l'EDE accompagne-t-elle leur intégration ?

Ma recherche concerne l’intégration des enfants à faible fréquentation dans les structures d’accueil. Il s’agit d’enfants venant en structure une demi-journée à un jour et demie par semaine. J’ai ciblé les enfants de 3 à 4 ans car l’enfant peut communiquer avec les autres et commencent aussi à jouer avec ses pairs. Je me suis intéressée à la manière dont l’EDE accompagne un enfant à faible fréquentation lors de son intégration. Est-ce différent ou pareil qu’une intégration à haute fréquentation ? Existe-t- il des différences dans la création de lien ou dans la relation que l’EDE peut avoir avec ces enfants ? J’ai donc recensé dans mon travail les différentes interventions pédagogiques afin de favoriser une bonne intégration à faible fréquentation. J’ai effectué une première partie théorique qui m’a semblé importante pour bien saisir les enjeux de ma recherche. J’ai ensuite effectué des entretiens auprès de quatre professionnelles de l’enfance. Toutes ces recherches m’ont permis de faire ressortir notamment le fait que l’intégration à faible fréquentation est plus longue et la séparation plus difficile. Cependant, les EDE ne mettent rien en place pour faciliter une intégration à faible fréquentation Au niveau de la création de lien, mes entretiens ont permis de faire ressortir le fait que les EDE créent le même lien avec tous les enfants indépendamment de son taux de fréquentation. Ce sont les moments qu’elles passent avec les enfants qui eux sont différents

Adaptation en crèche pour les enfants allophones: des stratégies sont-elles mises en place par les structures pour faciliter ce processus ?

L’accueil et l’adaptation dans une crèche sont une étape fondamentale pour un enfant. Elles vont le mettre en confiance dans un groupe d’enfants et de professionnels qu’il côtoiera plusieurs jours par semaine. Au départ, l’enfant arrive dans un lieu inconnu avec des personnes qu’il connaît peu ou pas du tout. Il tentera de créer des liens avec ces personnes. Mais lorsque la langue n’est pas la même, cela peut mettre des barrières entre l’enfant et le groupe d’enfants mais aussi entre l’enfant et les éducateurs. A travers ce travail de recherche, je souhaite trouver les différentes stratégies mises en place par les structures d’accueil afin de faciliter l’adaptation d’un enfant allophone. Mes axes de recherche se sont concentrés sur la ligne pédagogique des structures, les langues de l’équipe éducative, les pistes d’action professionnelle ainsi que la langue des signes. Pour cela, j’ai mis en place un entretien dont les différentes questions regroupent ces thèmes. Ce qui m’a permis, à l’aide de la collaboration de professionnels de l’enfance, de regrouper, comparer et analyser leurs différentes réponses afin de mieux me rendre compte de la réalité du terrain. Le résultat de ma recherche fut le suivant : l’adaptation d’un enfant allophone reste un sujet peu questionné et réfléchi en équipe. Il existe des méthodes mises en place mais peu exploitées pour le moment. C’est un sujet qui mérite un approfondissement au sein des structures car les enfants ne parlant pas le français est une réalité de plus en plus fréquente dans notre société