32 research outputs found

    Lope de Vegas mystische Dichtung oder das GroĂźe Dichtungstheater

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    Corrientes primarias y secundarias en la prehistoria de la Gramática de la lengua castellana de Nebrija

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    El "español" Marco Fabio Quintiliano mencionado aquí nació en Calagurris (Calahorra) hacia el año 35. En Roma enseñó retórica y ganó así una cátedra pública, bajo Vespasiano. Ha entrada en la historia de la lingüística por haber definido la gramática como "recte loquendi sci entia et poetarum enarratio", estableciendo asi un vinculo estrecho entre las reglas que hay que seguir para hablar y escribir correctamente y el estudio de los "auctores", o sea, la literatura (NORDEN, Die antike Kunstprosa; CURTIUS, Europiiische Literatur, p. 52)

    Corrientes primarias y secundarias en la prehistoria de la "Gramática de la lengua castellana" de Nebrija

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    Langue et identité ethno-culturelle des francophones au Canada

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    Selon une formule un peu simpliste, le Canada actuel se divise en trois régions, la région des francophones de l’est, des anglophones de l’ouest et des ressources du nord. Dès les débuts, le contact entre les deux premières n’a pas été sans problèmes, surtout des problèmes d’ordre religieux et politique. Au cours des ans, un autre problème s’y est ajouté, la différence des langues. Or, dans ce domaine, la coexistence paisible ne semble pas être la solution à laquelle tout le monde aspire. Au contraire, les « majorités » ont toujours manifesté une tendance à soumettre les « minorités ». Pour ce faire, elle a usé de divers stratagèmes. Par exemple, on reproche à la minorité d’utiliser un patois — dans le cas du Canada, un « patois québécois ». D’autres facteurs hiérarchisants ont le même résultat. Les variations régionales du français canadien, expliquables en grande partie par le conservatisme linguistique habituel des émigrants, semble donner une raison aux Français métropolitains de répéter, à leur tour, la formule du « patois québécois » et de dénoncer ce qu’ils considèrent comme un emploi fautif et barbare du français standard. Et même les Québécois la reprennent, mais en la dirigeant, mutatis mutandis, contre les francophones « hors Québec ». On assiste ainsi à la mise en cause de l’identité ethno-culturelle des francophones par les francophones mêmes. Heureusement, on peut parler aussi de forces égalisatrices, telles les mesures législatives adoptées par « le fédéral » et le Gouvernement du Québec, ou bien les efforts remarquables de maint francophone pour une « défense et illustration » adéquate de la langue française au Canada. Ces efforts ont une chance de réussir là où les francophones vivent dans des frontières politiquement reconnues, telle la province du Québec et, peut-être, le Nouveau-Brunswick. En dehors des frontières sûres, une communauté ethnoculturelle a la survie difficile.According to a rather simplistic formula, present day Canada is divided into three regions, the francophone East, the anglophone West, and the resource rich North. From the beginning the relationship between the first two has not been without problems, especially on the religious and political level, and over the course of time linguistic problems have been an added bone of contention. In this instance, not everyone seems to have peaceful coexistence as a goal. Quite the contrary, “majorities” have always shown a tendency to suppress “minorities” by various means. For example, the minority has been accused of using a patois — in the Canadian context the patois québécois. Other hierarchizing factors have produced similar results. Given the regional variants of the French language in Canada, the French have also taken up the patois argument in order to denounce what they consider to be a faulty and barbaric use of standard French. Even the Quebecois themselves repeat the argument, but directed mutatis mutandis against the francophones ouside Quebec. Thus we are witness to the spectacle of francophones undermining their own ethnocultural identity. Fortunately we can also speak of equalizing factors such as the legislation adopted by the Federal and Quebec governments, or the individual efforts of many francophones for a “defence and illustration” of the French language in Canada. These efforts are most likely to succeed within politically recognized boundaries such as the provinces of Quebec and, perhaps, New-Brunswick. Ouside such clear boundaries ethnocultural groups have difficulty surviving

    Les dictionnaires franco-espagnols jusqu'Ă  1800

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    ABSTRACT : French-Spanish dictionaries have their original roots in the language teaching handbooks of the Renaissance, in which latin sometimes served as a metalanguage. For almost 200 years after Liano/Ledel's work (1565), there will appear no more Spanish works on the language of the country's immediate neighbours. The flemisch Hornkens must be credited with the inaugural work in the series of Franco-Spanish dictionaries (1599), but the classical work is Oudin's (1607). With Maunory's manuel (1701), and then with the Sobrino series (starting in 1705) the initiative is in Spain again - During the Enlightenment in France were published the works by Séjournant (1749) and later by Gattel (1789) ; both were composed on the basis of the two Academies' unilingual dictionaries, while in Spain in the same period there appeared a trend towards dictionaries « de ciencias y artes » (Capmany, 1776). This trend was given later developments : not, however, in the framework of bilingual lexicography, but in that of multilingual lexicography, which is still unsufficiently studied.RÉSUMÉ : Les dictionnaires franco-espagnols s'inscrivent à l'origine dans la tradition des manuels de langue de la Renaissance, le latin y jouant parfois le rôle de métalangue. Après l'œuvre de Liano/Ledel (1565) l'Espagne ne produira plus d'ouvrage sur la langue de ses voisins immédiats pendant près de deux cents ans. C'est au flamand Hornkens que revient le mérite d'inaugurer la série des dictionnaires franco- espagnols (1599), mais l'ouvrage classique sera le Oudin (1607). Avec le manuel de Maunory (1701), puis la série des Sobrino (à partir de 1705), l'Espagne reprend l'initiative. En France le siècle des Lumières verra paraître l'ouvrage de Séjournant (1749), puis celui de Gattel (1789), composés à partir des travaux unilingues des deux Académies, tandis qu'en Espagne apparaît une tendance aux dictionnaires « de ciencias y artes » (Capmany, 1776). Cette tendance se développera ultérieurement, non dans le cadre de la lexicographie bilingue, mais dans celui, encore mal étudié, de la lexicographie plurilingue.Niederehe Hans-Josef. Les dictionnaires franco-espagnols jusqu'à 1800. In: Histoire Épistémologie Langage, tome 9, fascicule 2, 1987. La tradition espagnole d'analyse linguistique, sous la direction de Ramon Sarmiento . pp. 13-26

    La "Gramática de la lengua castellana" (1492) de Antonio de Nebrija

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    El español en contacto con el francés

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