10 research outputs found

    Advanced age, altered level of consciousness and a new diagnosis of diabetes are independently associated with hypernatreamia in hyperglycaemic crisis

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    <p>Abstract</p> <p>Background</p> <p>There is limited literature on hypernatreamia in the setting of hyperglycaemic crisis. This is despite the fact that the presence of hypernatreamia may impact on the classification of hyperglycaemic crisis and its management particularly with regards to the nature of fluid therapy. We determined the prevalence of hypernatreamia and its associated factors at presentation for hyperglycaemic crisis.</p> <p>Methods</p> <p>This was a retrospective review of data for hyperglycaemic crisis admissions in Nelson Mandela Academic Hospital, Mthatha, South Africa. The prevalence of hypernatreamia (uncorrected Serum Sodium at presentation >145 mmol/L) was determined. Hyperosmolality was defined by calculated effective osmolality >320 mosmols/Kg. Multivariate logistic regression was undertaken using variables that were statistically significant in univariate analysis to ascertain those that were independently associated (Odds Ratio (OR) with 95% Confidence Interval (CI)) with hypernatreamia.</p> <p>Results</p> <p>The prevalence of hypernatreamia in our admissions for hyperglycaemic crisis was 11.7% (n = 32/273 including 171 females and 102 males). All admissions with hypernatreamia met the criteria for hyperosmolality. Age ≥ 60 years (OR = 3.9 95% CI 1.3-12.3; P = 0.018), Altered level of consciousness (OR = 8.8 95% CI 2.3-32.8; P < 0.001) and a new diagnosis of diabetes (OR = 3.7 95%CI 1.2-11.5; P = 0.025) were independently associated with hypernatreamia.</p> <p>Conclusion</p> <p>The prevalence rate of hypernatreamia in hyperglycaemic admissions was high with all hypernatreamic admissions meeting the criteria for hyperosmolality. Advanced age, altered conscious level and a new diagnosis of diabetes were independently associated with hypernatreamia.</p

    Perception des Exploitants Familiaux Producteurs de Maïs sur les Perturbations Climatiques dans l’Hinterland de Lubumbashi : Région du Haut-Katanga, RDC

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    Cette étude explore la manière dont les perturbations climatiques sont perçues par les agriculteurs familiaux qui produisent du maïs, notamment dans l’Hinterland de Lubumbashi. L’objectif de ce travail est de comprendre comment les exploitants familiaux de la région du Haut-Katanga en République Démocratique du Congo perçoivent les dérèglements climatiques et leurs impacts. Lors de discussions avec des agriculteurs familiaux de cinq villages, une approche d'enquête directe guidée par un questionnaire a évalué les niveaux de connaissances et les perceptions des parties prenantes sur le dérèglement climatique, ses causes potentielles et ses impacts apparents. Les données collectées ont été traitées et analysées statistiquement à l'aide du programme SPSS V25.0. Les résultats montrent que 95 % des agriculteurs percevaient les perturbations climatiques caractérisées par une reprise tardive des précipitations, des périodes de sécheresse plus longues qu'il y a plus de dix ans, une hausse des températures diurnes moyennes, des jours de plus en plus ensoleillés et une baisse du niveau d'eau des puits et des rivières. Les agriculteurs conviennent que ces perturbations ont un impact sur la productivité des cultures de maïs et que les pratiques actuelles telles que les feux de brousse, l'agriculture sur brûlis, la jachère, etc. sont non seulement peu durables mais peuvent également conduire à un dérèglement climatique. En conséquence, les agriculteurs de l’Hinterland de Lubumbashi sont témoins des perceptions climatiques et des effets qu’elles peuvent infliger au secteur. Cette étude montre que la perception des acteurs du dérèglement climatique n’entraîne pas de changements dans leurs pratiques agricoles actuelles en proportion des effets perçus et subits. &nbsp; This study examines how climate disruptions are perceived by family farmers who produce maize, particularly in the Hinterland of Lubumbashi. This work aims to understand how family farmers in the Haut-Katanga region of the Democratic Republic of Congo perceive climate disruptions and their impacts. Through direct interviews with family farmers in five villages using a guided questionnaire, the study evaluated their knowledge and perception of climate disruptions, potential causes, and visible impacts. The collected data was statistically processed and analyzed using SPSS V25.0. The results show that 95% of farmers perceived climate disruptions characterized by delayed rainfall, longer drought periods compared to over a decade ago, increased average daytime temperatures, increasingly sunny days, and decreased water levels in wells and rivers. Farmers agree that these disruptions impact maize crop productivity and that current practices such as bushfires, slash-and-burn agriculture, fallow fields, etc. are unsustainable and could exacerbate climate disruptions. Therefore, family farmers in the Hinterland of Lubumbashi witness the climate perceptions and the effects they can inflict on their sector. This study reveals that the actors' perception of climate disruption does not result in changes in their current agricultural practices proportional to the perceived and experienced effects

    Analyse du Marché des Plantes Médicinales dans la Région de Lubumbashi : Acteurs et Enjeux Socio-Economiques

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    Malgré le risque d’usage, la croissance du marché incontrôlé des plantes médicinales reste moins renseignée dans la région de Lubumbashi.&nbsp; Pour comprendre son fonctionnement, une enquête a été initiée sur 118 tradipraticiens et herboristes, choisis de manière raisonnée.&nbsp; Les informations recueillies renseignent 85% des praticiens, exercent ce commerce comme principale activité pour leur survie, en facilitant les soins à la population. Près de 166 espèces de plantes, récoltées à l’état sauvage qui circulent sur le marché en circuit court ne sont pas soumises à des autorisations de mise en marché. Elles proviennent surtout des zones rurales des provinces du Haut- Lomami (46 %) et Haut- Katanga (35%). En moyenne, un marchand vendait 52,4 ± 4,1 kg de produit brut et 32,5 ± 3,1 kg en poudre par trimestre. Les prix étaient fixés en fonction de l’apparence des clients et de la perception de la maladie. L’investissement de 6 dollars dans un kilogramme de produits à base des plantes médicinales rapporte un taux de marge d’environ 35%, déterminé par les dépenses et les recettes (0,000 &lt; 0,05). Ce taux de marge démontre que la vente de petites quantités est moins profitable en absence de qualité. De ce fait, Il faut accroitre la valeur ajoutée des produits pour une meilleure rentabilité. Il y a aussi nécessité de réglementer le marché pour un accès sécurisé aux plantes par les consommateurs. &nbsp; Although there are risks involved, the unregulated market for medicinal plants in the Lubumbashi region is not well understood. To gain insight into this market, a survey of 118 traditional practitioners and herbalists, selected at random, was conducted. The results indicate that 85% of these practitioners rely on this trade as their primary source of income, which allows them to provide essential care to the population. Nearly 166 wild-harvested plant species are sold in informal markets without the required marketing authorizations. These products originate mainly from rural areas in Haut – Lomami (46%) and Haut-Katanga (35%) provinces. On average, each dealer sells 52.4 ± 4.1 kg of raw product and 32.5 ± 3.1 kg of powder per quarter. Prices vary according to customers' perception of illness and appearance. Investing $6 in one kilogram of herbal products generates a margin rate of approximately 35%, calculated from expenses and revenues (0,000 &lt; 0.05). This rate implies that selling small quantities of the products is less profitable without quality assurance. Therefore, enhancing the added value of the products is necessary for profitability improvement. Additionally, market regulation is crucial to assure safe and secure access to plants for the consumers

    Contribution à l’Analyse du Marché des Plantes Médicinales dans la Région de Lubumbashi, RD Congo : Acteurs et Enjeux Socio-Économiques

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    Malgré le risque d’usage, la croissance du marché incontrôlé des plantes médicinales reste moins renseignée dans la région de Lubumbashi. Pour comprendre son fonctionnement, une enquête a été initiée auprès de 118 tradipraticiens et herboristes, choisis de manière raisonnée. Les données recueillies renseignent que 85 % des praticiens exerçaient ce commerce comme activité principale pour assurer leur survie, en facilitant les soins à la population. Près de 166 espèces de plantes, collectées à l'état sauvage, étaient vendues en circuit court sans autorisation de mise en marché. La majorité d'entre elles proviennent des zones rurales des provinces du Haut-Lomami et du Haut-Katanga (respectivement 46 % et 35 %). En moyenne, un commerçant vendait 52,4 ± 4,1 kg de produit brut et 32,5 ± 3,1 kg en poudre par trimestre. Les prix étaient fixés en fonction de l’apparence des clients et de la perception de la maladie. L’investissement de 6 dollars dans un kilogramme de produits à base des plantes médicinales rapportait un taux de marge d’environ 35 %, déterminé par les dépenses et les recettes (p : 0,000 &lt; 0,05). Cependant, ce marché incontrôlé interpelle sur la qualification des tradipraticiens et la qualité de leurs services. Il nécessiterait de le réglementer pour un accès sécurisé aux plantes par les consommateurs. Although there is a risk associated with their use, the uncontrolled market for medicinal plants in the Lubumbashi region has not been well documented. To gain insight into this market, a survey was conducted with 118 traditional practitioners and herbalists, who were selected in a thoughtful manner. The collected data indicates that 85% of practitioners rely on this business as their primary source of income, as it facilitates healthcare for the population. A total of 166 plant species were sold in the short circuit without marketing authorization, most of which were collected from rural areas of the Haut-Lomami and Haut-Katanga provinces (46% and 35%, respectively). On average, each trader sold 52.4 ± 4.1 kg of raw product and 32.5 ± 3.1 kg of powder per quarter. Prices were determined based on the appearance of the customers and their perceived illnesses. Investing $6 in a kilogram of herbal products yielded a margin rate of approximately 35%, as determined by expenses and revenues (p: 0.000 &lt; 0.05). However, the unregulated nature of this market raises concerns about the qualifications of traditional practitioners and the quality of their services. Regulation is necessary to ensure secure access to plants for consumers

    Relationship between Younger Age, Autoimmunity, Cardiometabolic Risk, Oxidative Stress, HAART, and Ischemic Stroke in Africans with HIV/AIDS

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    Background and Purpose. It now appears clear that both HIV/AIDS and antiretroviral therapy (HAART) use are associated with higher risk of cardiovascular disease such as stroke. In this study, we evaluated the prevalence, the risk factors, and the cardiometabolic comorbidities of stroke in HIV/AIDS Central African patients. Methods. This hospital-based cross-sectional study collected clinical, laboratory, and imaging data of black Central African heterosexual, intravenous drug nonuser, and HIV/AIDS patients. Results. There were 54 men and 62 women, with a female to male ratio of 1.2 : 1. All were defined by hypercoagulability and oxidative stress. Hemorrhagic stroke was reported in 1 patient, ischemic stroke in 17 patients, and all stroke subtypes in 18 patients (15%). Younger age <45 years (P = .003), autoimmunity (P < .0001), and metabolic syndrome defined by IDF criteria (P < .0001) were associated with ischemic stroke. Conclusions. Clustering of several cardiometabolic factors, autoimmunity, oxidative stress, and lifestyle changes may explain accelerated atherosclerosis and high risk of stroke in these young black Africans with HIV/AIDS. Prevention and intervention programs are needed
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