19 research outputs found

    La validité des extrapolations aux faibles doses

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    Biologie et toxicité du plutonium

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    L'auteur définit les propriétés physicochimiques d'importance biologique du plutonium. Il présente ensuite les deux voies d'atteinte de l'homme par le plutonium : par contamination de l'environnement ou par contamination directe. Après avoir rapporté les observations effectuées sur des groupes de personnes ayant fixé accidentellement certaines quantités de cet élément (aucun effet pathologique n'a été mis en évidence à ce jour) et analysé les résultats des expérimentations animales, il évoque les divers traitements possibles des contamination

    Bilan des accidents d'exposition interne

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    La définition d'accident d'exposition interne est beaucoup plus difficile à établir clairement que celle qui concerne les surexpositions externes. Pour ces dernières, la notion d'accident est implicitement liée à un dommage sanitaire résultant alors que, te plus souvent, toute contamination interne, quel qu'en soit le niveau, qu'elle se traduise à terme par un détriment ou non, est qualifiée d'accidentelle. Ce bilan se borne donc à rapporter (1) les accidents d'exposition interne de grande ampleur, parce qu'ils ont concerné un grand nombre de personnes, gravement atteintes ou non ; (2) les contaminations professionnelles qui parfois se sont traduites par des effets à long terme ; et enfin (3) les résultats du suivi de groupes de malades explorés ou traités entre les années 30 et 50 par des produits radioactifs émetteurs alpha. Parmi les accidents de grande ampleur figurent l'essai nucléaire américain incorrectement programmé de 1954 dans le Pacifique, et responsable de pathologies thyroïdiennes, l'accident de 1957 du complexe militaire Mayak dans l'Oural, l'accident de la centrale nucléaire de Tchernobyl en 1986, et celui de Golania au Brésil en 1987 dû au démantèlement sauvage d'une source de radiothérapie. Parmi les contaminations professionnelles, sont particulièrement intéressants les suivis médicaux et épidémiologiques des peintres de cadrans lumineux qui utilisèrent le radium dans les années 1910 et des mineurs d'uranium, bien qu'il soif difficile de qualifier ces deux pratiques d'accidentelles, même si les doses reçues à l'époque étaient largement en excès des limites en usage actuellement. Compte tenu des mêmes réserves, les groupes de malades qui ont reçu des quantités relativement importantes de thorotrast (utilisé comme produit de contraste) et ceux traités par du radium (considéré comme agent thérapeutique à large spectre) sont tout aussi intéressants ; ces deux pratiques médicales se sont traduites à long terme par des pathologies diverses, et ont permis, dans une certaine mesure, de quantifier le risque chez l'homme des émetteurs alpha

    Le risque des faibles doses d'irradiation

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    Après avoir défini la notion de faibles doses, les auteurs présentent les éléments de ce problème sur lesquels existe un consensus général. Ils analysent ensuite les principales raisons pour lesquelles cancers et malformations génétiques n'ont pas pu être mis clairement en évidence au-dessous d'un certain seuil d'irradiation. Puis ils abordent le problème de la relation dose-effet, évoquent quelques-unes des enquêtes — dont certaines ont été fort critiquées — portant sur le suivi des travailleurs exposés aux rayonnements, et s'interrogent en conclusion sur la question du « seuil »

    Le californium : son métabolisme compare avec celui d'autres transuraniens

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    Le métabolisme du californium 252 est comparable à celui des transplutoniens de valence III, malgré une plus grande vitesse de diffusion à partir de la porte d’entrée dans l’organisme, et malgré une épuration plus rapide de la charge osseuse
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