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    Revolutionizing Clinical Microbiology Laboratory Organization in Hospitals with In Situ Point-of-Care

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    BACKGROUND: Clinical microbiology may direct decisions regarding hospitalization, isolation and anti-infective therapy, but it is not effective at the time of early care. Point-of-care (POC) tests have been developed for this purpose. METHODS AND FINDINGS: One pilot POC-lab was located close to the core laboratory and emergency ward to test the proof of concept. A second POC-lab was located inside the emergency ward of a distant hospital without a microbiology laboratory. Twenty-three molecular and immuno-detection tests, which were technically undemanding, were progressively implemented, with results obtained in less than four hours. From 2008 to 2010, 51,179 tests yielded 6,244 diagnoses. The second POC-lab detected contagious pathogens in 982 patients who benefited from targeted isolation measures, including those undertaken during the influenza outbreak. POC tests prevented unnecessary treatment of patients with non-streptococcal tonsillitis (n = 1,844) and pregnant women negative for Streptococcus agalactiae carriage (n = 763). The cerebrospinal fluid culture remained sterile in 50% of the 49 patients with bacterial meningitis, therefore antibiotic treatment was guided by the molecular tests performed in the POC-labs. With regard to enterovirus meningitis, the mean length-of-stay of infected patients over 15 years old significantly decreased from 2008 to 2010 compared with 2005 when the POC was not in place (1.43±1.09 versus 2.91±2.31 days; p = 0.0009). Altogether, patients who received POC tests were immediately discharged nearly thrice as often as patients who underwent a conventional diagnostic procedure. CONCLUSIONS: The on-site POC-lab met physicians' needs and influenced the management of 8% of the patients that presented to emergency wards. This strategy might represent a major evolution of decision-making regarding the management of infectious diseases and patient care

    Crowding in emergency department : quantification, impact and models to improve output

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    La tension dans les SU est un défi de santé publique associée à une dégradation de la qualité des soins. Obj. 1: Valider un score de tension déductible des Résumés de Passages aux Urgences (RPU) pour une généralisation nationale. Identification (Delphi) de 15 indicateurs de tension consensuels. 2 Etudes prospectives validant des scores de tension dans les SU pédiatriques et adultes. Méthode visant à sélectionner les heures durant lesquelles le niveau de tension évalué par les soignants était consensuel. Le SOTU-RPU avait une AUC = 0,833 [0,814 - 0,851]. Le SOTU-RPU était associé à une altération de la qualité des soins Obj. 2: Prédire les d’hospitalisations et le besoin en lits des SU. Dans 1 étude prospective multicentrique nous avons développé un modèle automatisable (MA) prédictif de l’hospitalisation d’un patient en utilisant des variables disponibles dès le tri. Développé et validé sur 1 mois (11.653 patients) l’AUC du MA était de 0,815 [0,805–0,826] Développement d'un outil d’estimation du besoin minimum journalier en lits (BJML) à partir de l’historique des RPU. Appliqué à 15 SU pour l’année N+1, l’erreur était de 18 %. Obj. 3: impact de la tension sur la qualité des soins. Lors des épidémies hivernales pédiatriques la qualité des soins était dégradée avec une augmentation de 50 % des PSA . En utilisant le taux d’occupation du SU, dans une étude dans 2 SU pédiatriques sur 6 ans, la tension était associée à une diminution de l’adhésion aux recommandations concernant l’anaphylaxie; OR = 5,88 [1,88-18,0] et à une moindre compréhension parentale des consignes; OR = 3,972 [1,252-12,603].Crowding in ED is a public health challenge associated with a deterioration in the quality of care. Obj. 1: Identification (Delphi) of 15 consensual crowding indicators. 2 Prospective studies validating crowding scores (SOTU) in pediatric and adult EDs. A method was proposed to select the hours during which the level of crowding assessed by caregivers was consensual. The AUC of SOTU was 0.833 [0.814-0.851]. SOTU was associated with an alteration in the quality of care. Obj 2: Predict hospitalizations and need for inpatient beds. In 1 prospective multicentre study we developed an automated model (MA) predictive of the hospitalization of a patient using variables available from triage. Developed and validated for 1 month (11,653 patients) the AUC of the MA was 0,815 [0,805-0,826]. Development of a tool for estimating the daily minimum bed requirement (BJML) based on the RPU history. Applied at 15 SU for the year N + 1, the error was 18%. Obj. 3: impact of tension on the quality of care. In winter pediatric epidemics, the quality of care was degraded with a 50% increase in patients LWBS. Using the SU occupancy rate, in a 2-year pediatric study, tension was associated with decreased adherence to anaphylaxis recommendations; OR = 5.88 [1.88-18.0] and less parental understanding of instructions; OR = 3.972 [1.252-12.603]

    Epidémiologie aux urgences pédiatriques (Evaluation et apport d'un système informatisé des passages)

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    AIX-MARSEILLE2-BU MĂ©d/Odontol. (130552103) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Anémies occultes aux urgences pédiatriques (prévalence et qualité du dépistage)

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    Les urgences pédiatriques sont un lieu privilégié pour la réalisation des bilans sanguins (incluant NFS) chez les enfants. Le dépistage des anémies est possible de manière opportuniste sur ces prélèvements. Nous avons réalisé une étude rétrospective descriptive sur la totalité des enfants ayant eu un bilan biologique comprenant une NFS et ayant consultés aux urgences pédiatriques entre le 1er janvier 2012 et le 30 mai 2013. Les objectifs étaient d'évaluer la prévalence et la qualité du dépistage des anémies occultes dans un service d'urgences pédiatriques. Il ressort une prévalence d'anémie de 13% (d'anémies occultes de 11,8%) et un dépistage dans seulement 26% des cas. Ces résultats témoignent d'un mauvais dépistage des anémies occultes(comme les autres études internationales sur le sujet) s'expliquent d'une part par une population cible très précaire et une certaine prévalence de trait thalassémique, d'autre part par l'absence de protocole établie de prise en charge pour ce dépistage opportunisteAIX-MARSEILLE2-BU Méd/Odontol. (130552103) / SudocSudocFranceF

    Fièvre au retour d'une zone impaludée chez l'enfant (épidémiologie et facteurs prédicatifs de paludisme)

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    AIX-MARSEILLE2-BU MĂ©d/Odontol. (130552103) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Epidémie de rougeole aux urgences de l'AP-HM (2010 - 2011)

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    AIX-MARSEILLE2-BU MĂ©d/Odontol. (130552103) / SudocSudocFranceF

    Validation prospective et multicentrique du score de Samuel prédictif d'appendicite chez l'enfant aux urgences

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    La douleur abdominale est, chez l'enfant, le motif de consultation le plus fréquent en médecine d'urgences et l'appendicite aiguë, la première urgence chirurgicale digestive. Son diagnostic aux urgences est difficile et n'est facilité par aucun consensus.Nous avons réalisé dans le cadre de notre étude une validation externe prospective et multicentrique du Pediatric Appendicitis Score (PAS) chez l'enfant de 2 à 16 ans. Les études de validation antérieures retrouvaient des résultats disparates et des performances insuffisantes pour une utilisation comme règle de décision clinique en pratique courante. Contrairement aux études, précédentes, nous avons inclus l'ensemble des douleurs abdominales et non seulement celles suspectes d'appendicite. D'autre part l'étude a inclus des services d'urgence polyvalents et non uniquement des services d'urgences pédiatriques.Notre critère de jugement principal était la réalisation d'une appendicectomie pour suspicion d'appendicite aiguë dans les dis jours suivant le passage de l'enfant aux urgences. Nous avons étudié le PAS sur une population de 240 enfants. En utilisant un seuil < 3 pour le PAS nous retrouvons une sensibilité de 92% et un rapport de vraisemblance négatif de 0,13 pour exclure une appendicite avec une spécificité de 61%. Ces résultats sont comparables aux autres études qui cependant utilisaient un seuil du PAS <6. Ces performances sont inférieures à celles attendues pour une utilisation comme règle de décision clinique en pratique courante. Nous suggérons l'utilisation de ce score pour stratifier les enfants selon le risque d'appendicite. Il peut alors aider le médecin urgentiste dans sa démarche diagnostique, en précisant, selon le risque, la nécessite d'un recours à l'imagerie et à un avis chirurgical spécialiséAIX-MARSEILLE2-BU Méd/Odontol. (130552103) / SudocSudocFranceF
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