13 research outputs found

    Parties to crime in Switzerland

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    Joint Investigation Teams : Chancen und Grenzen von gemeinsamen Ermittlungsgruppen in der Schweiz, Europa und den USA

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    Nicht nur legale Wirtschaftsunternehmen, sondern auch Kriminelle agieren heute international. Für die Bekämpfung von grenzüberschreitender Kriminalität ist daher eine transnationale Zusammenarbeit in Strafsachen unabdingbar. Dafür muss wegen des Territorialitätsprinzips und der Staatensouveränität grundsätzlich der – zuweilen schwerfällige – Rechtshilfeweg beschritten werden. Um die Zusammenarbeit in Strafsachen zu vereinfachen, wurden neue Instrumente entwickelt, etwa kontrollierte Lieferungen, verdeckte Ermittlungen und gemeinsame Ermittlungsgruppen. Besonders Letztere erweisen sich hinsichtlich des Abbaus von Hürden der traditionellen Zusammenarbeit in Strafsachen und einer Steigerung der Effizienz als besonders innovativ. Folglich sehen mittlerweile zahlreiche völkerrechtliche Verträge den Einsatz von gemeinsamen Ermittlungsgruppen vor. Die zunehmende Effizienz lässt allerdings Spannungsverhältnisse entstehen – auf innerstaatlicher Ebene zwischen Staatsinteressen und Individualinteressen und auf interstaatlicher Ebene zwischen nationaler Sicherheit und internationaler Zusammenarbeit. Die vorliegende Arbeit untersucht – vor allem aus Schweizer Perspektive – einerseits den Mehrwert beim Einsatz gemeinsamer Ermittlungsgruppen und andererseits die weiterhin bestehenden Grenzen der Zusammenarbeit sowie den Rechtsschutz der betroffenen Individuen. Der Umfang dieser Arbeit lässt eine Berücksichtigung sämtlicher einschlägiger Rechtsgrundlagen nicht zu. Das Augenmerk richtet sich deswegen auf neuere europäische rechtliche Grundlagen – unter Berücksichtigung der Rollen von Europol, Eurojust und OLAF. Gegenstand der Untersuchung sind des Weiteren die Vereinbarung zwischen der Schweiz und den USA über den Einsatz von gemeinsamen Ermittlungsgruppen zur Bekämpfung des Terrorismus und dessen Finanzierung sowie der Schweizerisch-Deutsche Polizeivertrag

    Swiss Criminal Law in a Nutshell

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    La dématérialisation des marchés publics : les facteurs influençant son acceptation par les acheteurs publics et par les entreprises : le cas de la Belgique

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    Les marchés publics représentent une part significative de l’activité économique en Europe. Leur valeur en Belgique par exemple correspondait à environ 50 milliards d’euros en 2011, soit environ 14 % du son PIB et 26 de ses dépenses publiques totales, ce qui leur donne un poids politique, économique et social primordial. Bien que la dématérialisation (l’e-procurement) soit largement considérée par les académiques et les praticiens comme un moyen pratique pour améliorer l’efficacité et l’efficience des marchés publics, les statistiques européennes montrent que l’acceptation de cette nouvelle méthode de passation, tant par les acheteurs publics que par les entreprises, reste très limitée jusqu’à ce jour en Belgique. Notre travail a ainsi pour but d’identifier et d’analyser les déterminants de l’acceptation de l’e-procurement par les acheteurs publics d’une part et par les entreprises d’autre part (en faisant la distinction entre les PME et les grandes entreprises). Pour cela, une méthodologie mixte quantitative-qualitative a été suivie : D’abord, sur la base de la littérature dans les domaines de la diffusion de l’innovation et de l’acceptation de la technologie d’une part, et d’interviews d’experts d’autre part, nous avons retenu une série de variables explicatives que nous avons testées ensuite par le biais de deux grandes enquêtes. L’analyse des données quantitatives obtenues (220 acheteurs publics et 760 entreprises) nous a permis d’identifier cinq facteurs pouvant expliquer 59,2 % de l’acceptation de l’e-procurement par les acheteurs publics ; quatre facteurs pouvant expliquer 56 % de l’acceptation par les PME et trois facteurs pouvant expliquer 62,1 % de l’acceptation par les grandes entreprises. Ensuite, ces résultats quantitatifs ont été affinés par l’organisation de deux focus groups qui nous ont permis de mieux comprendre et expliquer notre phénomène de recherche. Les résultats finaux de notre travail peuvent être utilisés pour mettre en place un plan d’action plus efficace pour promouvoir l’acceptation de l’e-procurement en Belgique, tant par les acheteurs publics que par les entreprises.(POLS - Sciences politiques et sociales) -- UCL, 201
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