10 research outputs found

    Quatre livres de prix toulousains de la période révolutionnaire

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    L’été a longtemps été le temps de la distribution des livres de prix, destinée à récompenser les meilleurs élèves. Cet usage se développe à partir du XVIIe siècle, d'abord dans les collèges jésuites, et se généralise au siècle suivant. La plupart du temps, le nom ou l’emblème de l’institution d’enseignement qui attribuait le prix était alors doré sur les reliures des volumes offerts et un ex-praemio manuscrit ou imprimé précisait le nom du lauréat, le type de prix obtenu et la date. Lorsque c..

    La marque typographique toulousaine au Palladium Tolosanum (1612-1726 ?)

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    "Palladium Tolosanum" a figuré en bonne place parmi la liste des noms à donner à ce carnet de recherche... C'est en effet la légende de la marque typographique qui a été pendant plus d'un siècle la plus utilisée à Toulouse, sous diverses formes, principalement par la dynastie des Colomiez. Les marques d’imprimeurs, ou marques typographiques, sont les signes distinctifs gravés (l'équivalent des logos) que les imprimeurs-libraires font figurer sur la page de titre ou sur la dernière page de..

    Et Toulouse pour apprendre : Sept siècles d’histoire de l’université de Toulouse 1229-1969

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    « Paris pour voir; Lyon pour avoir, Bordeaux pour dispendre /dépenser/ et Toulouse pour apprendre ! ». Ce proverbe du xvie siècle illustre à merveille la renommée de l'université de Toulouse, l'une des plus anciennes d'Europe. Créée par le traité de Paris en 1229, supprimée en 1793, éclatée en facultés distinctes au xixe siècle, elle retrouve son identité juridique en 1896 jusqu'à la constitution d'universités distinctes en 1969. Cet ouvrage - qui a accompagné une exposition présentée à Toulouse de novembre 2010 à janvier 2011 - se propose de retracer la longue et riche histoire de cette institution. La vie universitaire, marquée par l'enseignement et la recherche, mais aussi par les rites et cérémonies propres à toute communauté, y occupe une place de choix. Il s'agit de mettre en lumière la place particulière de l'université au sein de la ville, dynamisée - mais parfois aussi perturbée - par la présence des enseignants et des étudiants. Le parcours s'achève avec un rappel de la longue tradition d'accueil et d'ouverture sur le monde de l'université de Toulouse, et par la présentation de trente grandes figures, connues ou méconnues, qui ont marqué son histoire. Adossé au travail d'une dizaine de chercheurs d'horizons disciplinaires variés, cet ouvrage donne à voir près de deux cents documents originaux conservés dans des collections publiques ou privées

    Deux bibliothèques méconnues à l'usage des étudiants toulousains aux XVIIe et XVIIIe siècles

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    Après le déclin des anciennes bibliothèques de collège au XVIe siècle , il faut attendre la fin du XVIIe siècle pour voir s'ouvrir à Toulouse la première bibliothèque destinée spécialement aux étudiants, au sein du couvent des Cordeliers, et la fin du XVIIIe siècle la première bibliothèque proprement universitaire, gérée par la faculté de médecine. Copie du testament de Jean Georges Garaud Duranti de Donneville (1631-1684), à l'origine de la bibliothèque du couvent des Cordeliers destinée ..

    Quelques pistes pour une histoire de la bibliothèque universitaire de droit à Toulouse au xixe siècle

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    L’histoire de la bibliothèque universitaire de Toulouse est relativement bien connue. Mais les études qui y ont été consacrées sont anciennes (début du XIXe siècle), très générales, et leurs auteurs ont tous travaillé dans l’établissement, comme il est fréquent pour l’histoire des bibliothèques. Il serait utile d’entreprendre de nouvelles recherches et d’écrire une histoire moins institutionnelle, plus tournée vers les usagers, l’analyse des collections et de la politique d’acquisition discip..

    Les Facultés de droit de province au xixe siècle. Tome 1

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    L’occasion d’un colloque sur l’histoire des Facultés de droit de province au xixe siècle a été founie par le bicentenaire du décret du 17 mars 1808 qui a redonné aux Ecoles de droit le titre de Facultés qu’elles ont conservé de manière discontinue jusqu’à nos jours. Afin de délimiter le sujet, il a été décidé de se consacrer d’abord au xixe siècle (lato sensu) et aux Facultés de droit de province (même s’il ne faut pas ignorer les interactions avec celle de Paris). Ainsi se trouvaient directement concernées les Facultés de droit napoléoniennes : Aix - Caen - Dijon - Grenoble - Poitiers - Rennes -Strasbourg et Toulouse et celles créées ultérieurement à partir de la fin du Second Empire (Nancy - Douai) et du début de la IIIe République : Bordeaux - Lyon - Montpellier - Lille sans oublier le cas particulier d’Alger. Il est vrai que l’historiographie des Facultés de droit est restée trop longtemps le parent pauvre de la recherche sur l’enseignement supérieur français. Fort heureusement, l’on assiste depuis quelques années à un regain d’intérêt pour ces sujets. Le temps est venu, semble-t-il, de coordonner et de fédérer la recherche menée sur l’histoire des Facultés de droit et ce livre issu du colloque de 2008 y contribue. Les historiens du droit ne revendiquent aucun monopole en ce domaine et tous les talents sont les bienvenus comme on a essayé de le montrer dans l’élaboration même de cet ouvrage mais ils doivent résolument et collectivement se situer en première ligne sur ce chantier de recherche. Pour cela, ils doivent mieux se connaître, confronter leurs points de vue, se retrouver régulièrement, se soutenir davantage, intégrer aussi les jeunes chercheurs à cette recherche au long cours qui permettra, en connaissant mieux notre passé de mieux aborder les grands défis que connaît aujourd’hui l’Université française
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