121 research outputs found

    Aizier – Berges de la Seine

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    Identifiant de l'opĂ©ration archĂ©ologique : 27006002 Date de l'opĂ©ration : 1987 (FP) L’opĂ©ration archĂ©ologique rĂ©alisĂ©e en 2005 sur le « site portuaire », dans l’actuelle propriĂ©tĂ© de Monsieur Yves Laurent, intervient aprĂšs une premiĂšre campagne de sondages (1987), un relevĂ© topographique des vestiges apparents (2003) et une campagne de prospection Ă©lectrique (2004). Commune estuarienne implantĂ©e sur la rive gauche de la Seine, Aizier se situe Ă  la limite de la forĂȘt de Brotonne, Ă  l’ouest de ..

    Aizier – Le Port

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    Code INSEE commune : 27006Lien Atlas (MCC) :http://atlas.patrimoines.culture.fr/atlas/trunk/index.php?ap_theme=DOM_2.01.02&ap_bbox=0.607;49.420;0.649;49.444 Cette derniĂšre campagne de fouille d’un programme pluriannuel initiĂ© en 2009, s’est dĂ©roulĂ©e du 12 aoĂ»t au 06 septembre 2013, avec un effectif moyen d’une quinzaine de stagiaires bĂ©nĂ©voles. Cette annĂ©e complĂ©mentaire avait pour objectifs principaux de mettre un terme aux points de fouilles engagĂ©s depuis l’an passĂ©. Il ressort de cet amon..

    Aizier – Le Port

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    Cette derniĂšre campagne de fouille d’un programme pluriannuel initiĂ© en 2009, s’est dĂ©roulĂ©e du 12 aoĂ»t au 6 septembre 2013, avec un effectif moyen d’une quinzaine de stagiaires bĂ©nĂ©voles. Cette annĂ©e complĂ©mentaire avait pour objectifs principaux de mettre un terme aux points de fouilles engagĂ©s depuis l’an passĂ©. Il ressort de cet amoncellement d’ouvrages maçonnĂ©s en calcaire un ensemble de terrasses romaines s’étalant sur environ 335 m2. Ces multiples amĂ©nagements et restructurations d’une..

    Aizier – Le Port

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    Cette troisiĂšme campagne de fouille d’un programme Ă©tabli sur trois ans (2010-2012), s’est dĂ©roulĂ©e du 6 aoĂ»t au 7 septembre 2012, avec un effectif moyen d’une vingtaine de stagiaires bĂ©nĂ©voles. La fenĂȘtre de fouille est actuellement localisĂ©e au sein de la propriĂ©tĂ© de M. Yves Laurent (parcelle actuelle no 3). Les coordonnĂ©es centrales Lambert II en sont : x = 475,760 ; y = 193,725. Au terme d’une campagne ayant bĂ©nĂ©ficiĂ© d’un dĂ©capage supplĂ©mentaire de 424 m2 au sein de la zone 3, se rĂ©vĂšle..

    Jumiùges – Place de la Mairie

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    Date de l'opĂ©ration : 2006 (DF) En janvier 2006, les tranchĂ©es de rĂ©seau des trottoirs du bourg de JumiĂšges, sans mettre au jour de structures anciennes, ont rĂ©vĂ©lĂ© quelques Ă©lĂ©ments remarquables. Face Ă  la place de la Mairie, le mur d’enceinte de l’abbaye, reconstruit au XIXe s., conserve dans ses fondations des pierres calcaires sculptĂ©es issues des ruines voisines. Plusieurs fragments de tuiles glaçurĂ©es sont sortis du trottoir longeant la mĂȘme place. Cette dĂ©couverte ponctuelle complĂšte d..

    Jumiùges – Cimetiùre paroisial

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    Date de l'opĂ©ration : 2006 (DF) En fĂ©vrier 2006, les terrassements d’un verger en contrebas du cimetiĂšre paroissial ont permis de localiser les fins solins arasĂ©s de l’angle d’un petit bĂątiment rural (sans doute Ă  pan de bois), du bas Moyen Âge ou de l’époque moderne. Les remblais qui le recouvraient ont livrĂ© un abondant mobilier cĂ©ramique du bas Moyen Âge et une cuiller en alliage cuivreux de la mĂȘme Ă©poque. Cet ensemble archĂ©ologique, en position secondaire, complĂšte d’autres dĂ©couvertes c..

    Pont-Audemer – Grande Rue, Le Ruisseau

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    Date de l'opĂ©ration : 2006 (DF) Inventeur(s) : Paco Jean-Pierre (Ville Pont-Audemer) ; Lecler Elisabeth (INRAP) La recherche de vestiges mĂ©diĂ©vaux dans le centre-ville de Pont-Audemer a rĂ©vĂ©lĂ© l’existence de deux caves sous un immeuble d’un Ăźlot d’habitation, entre la Grande Rue et le Ruisseau des PĂątissiers (parcelle 73 du cadastre) (Fig. n°1 : Plan du grand cellier de la parcelle 73). Ces deux espaces de stockage semi-enterrĂ©s (celliers) ont Ă©tĂ© implantĂ©s dans le parcellaire laniĂ©rĂ©, ortho..

    Le site portuaire romain de Ratiatum (Rezé, Loire-Atlantique) : politique d'échantillonnage et études paléoenvironnementales (2013-2016)

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    Issu d'une communication au VIe Colloque international du Groupe d’Histoire des Zones Humides : Zones humides et ArchĂ©ologieInternational audienceBetween 2005 and 2016, the ancient harbour of Ratiatum (RezĂ©, Loire-Atlantique) was the subject of planned archaeological excavations which focused on the study of riverbank developments and Roman warehouses in the Saint-Lupien district. This eastern part of the agglomeration urbanized from the years 20-50 of our era and reached its commercial apogee in the course of the second century. Reporting to the city of Pictons, this city spread over about ïŹ fty hectares along the edge of an arm of the Loire which turned progressively into a clogged waterway from the third century onwards.Since 2013, research has focused solely on harbour structures and their immediate environment. The levels exhumed have been the subject of paleoenvironmental studies, particularly important because of the excellent conservation of the remains preserved in a wet and anaerobic environment. Given the great extent of the excavation and the quantity of remains uncovered, the development of rarely applied approaches in ïŹ‚ uvial archaeology has been undertaken. Thus, in order to specify the harbour environment, a strategy for sampling preserved biological remains, both botanical and zoological, has been developed. This strategy, either systematic or punctual according to the excavation areas, consisted in intensifying and orienting the sediment samples to better answer the paleoenvironmental questions. The recommendations adopted for the collection of samples speciïŹ c to each specialist were then listed in order to better meet their demands: samples in sections or buckets, during stripping or excavation phases, sending samples with or without treatment, carried out in the ïŹ eld or in the laboratory (sieving, ïŹ‚ otation, washing), etc. A sample management and processing workshop was also set up on the site. The anaerobic environment characteristic of this plugged ïŹ‚ uvial context has thus constituted a formidable reserve favourable to numerous analyses: archaeozoological and ichthyological, entomological (in sediments and in woodstuff), palaeoparasitological, palynological, carpological, xylological, dendrological, den-hydrochronological, micropaleontological and geomorphological. These sedimentary archives scattered around banks offer unexpected keys to the operation and evolution of the harbour site during Antiquity.Entre 2005 et 2016, le port antique de Ratiatum (RezĂ©, Loire-Atlantique) a fait l’objet de fouilles archĂ©ologiques programmĂ©es. Elles portaient principalement sur l’étude des amĂ©nagements de berges et des entrepĂŽts romains conservĂ©s au sein du quartier Saint-Lupien. Cette partie orientale de l’agglomĂ©ration s’urbanise Ă  partir des annĂ©es 20-50 de notre Ăšre et connaĂźt son apogĂ©e dans le courant du IIe siĂšcle. Relevant de la citĂ© des Pictons, cette ville s’étendait sur une cinquantaine d’hectares au minimum, en bordure d’un bras de la Loire qui apparaĂźt progressivement en voie de colmatage Ă  partir du IIIe siĂšcle.À partir de 2013, les recherches se sont concentrĂ©es uniquement sur les structures portuaires et leur environnement immĂ©diat. Les niveaux exhumĂ©s ont fait l’objet d’études palĂ©oenvironnementales, particuliĂšrement importantes Ă©tant donnĂ© l’excellente conservation des vestiges prĂ©servĂ©s en milieu humide et anaĂ©robie. Devant l’ampleur de l’emprise de la fouille et la quantitĂ© de vestiges mis au jour, le dĂ©veloppement d’approches rarement appliquĂ©es en archĂ©ologie ïŹ‚ uviale, a Ă©tĂ© entrepris. Ainsi, aïŹ n de prĂ©ciser l’environnement portuaire, une stratĂ©gie d’échantillonnage des vestiges biologiques conservĂ©s, tant botaniques que zoologiques, a Ă©tĂ© Ă©laborĂ©e. SystĂ©matique ou ponctuelle suivant les secteurs de fouilles, elle consistait notamment Ă  intensiïŹ er et orienter les prĂ©lĂšvements de sĂ©diments pour mieux rĂ©pondre aux questions palĂ©oenvironnementales. Les prĂ©conisations retenues pour la rĂ©colte des Ă©chantillons propres Ă  chaque spĂ©cialiste ont alors Ă©tĂ© listĂ©es de maniĂšre Ă  rĂ©pondre au mieux aux demandes de chacun : prĂ©lĂšvements dans les coupes ou en seaux, lors des phases de dĂ©capage ou de fouille, envoi des Ă©chantillons avec ou sans traitement, effectuĂ© sur le terrain ou en laboratoire (tamisage, ïŹ‚ ottation, lavage), etc. Un atelier de gestion et de traitement des Ă©chantillons a Ă©galement Ă©tĂ© mis en place sur le chantier. Le milieu anaĂ©robie caractĂ©ristique de ce contexte ïŹ‚ uvial colmatĂ© a ainsi constituĂ© une formidable rĂ©serve propice Ă  de nombreuses analyses : archĂ©ozoologiques et ichthyologiques, entomologiques (dans les sĂ©diments et dans les bois), palĂ©oparasitologiques, palynologiques, carpologiques, xylologiques, dendrologiques, dendrochronologiques, micropalĂ©ontologiques et gĂ©omorphologiques. Se distribuant sur le pourtour des amĂ©nagements de berges, ces archives sĂ©dimentaires offrent des clĂ©s de lecture inespĂ©rĂ©es sur le fonctionnement et l’évolution du site portuaire durant l’AntiquitĂ©

    Arthon-en-Retz – Aqueduc

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    IdentifiĂ© dĂšs les annĂ©es 1840, l’aqueduc antique d’Arthon-en-Retz fait l’objet, depuis 2009, d’une nouvelle prospection thĂ©matique coordonnĂ©e par Martial Monteil et Jimmy Mouchard (universitĂ© de Nantes), avec la collaboration de Yann Le Jeune (SRA des Pays de la Loire). Celle-ci visait Ă  Ă©tablir le relevĂ© prĂ©cis des portions encore visibles de l’aqueduc et Ă  mener une prospection pĂ©destre destinĂ©e Ă  mieux cerner l’emprise du site qu’il dessert. Les donnĂ©es acquises, mises en relation avec les..

    Arthon-en-Retz – Aqueduc

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    Une tradition fort ancienne attribue Ă  Barbe Bleue [Gilles de Rais] la construction de l’aqueduc de la Fontaine Bonnet. Une jolie fille du bourg d’Arton lui ayant dit qu’elle pourrait l’aimer, quand il aurait amenĂ© dans le bourg les eaux de la Fontaine Bonnet, Barbe Bleue fit faire l’aqueduc en une nuit. L’aqueduc gallo-romain d’Arthon-en-Retz est connu depuis les annĂ©es 1840 : Ă  partir de sa prise d’eau, longtemps situĂ©e Ă  la Fontaine Bonnet, au nord du village de La  oiteviniĂšre, il suit un..
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