25 research outputs found

    Alpes-Maritimes, Nice, 74, boulevard de l'Arbre inférieur: Rapport de diagnostic archéologique

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    Alpes-Maritimes, Nice, 74, boulevard de l'Arbre inférieu

    Villevieille (30), Chemin de la Truque – Les Pradels: rapport de diagnostic

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    Le diagnostic motivé par un projet de construction du lotissement « Les Pradels » au Chemin de la Truque à Villevieille (30) s’inscrit dans un secteur géographique qui a livré plusieurs indices d’occupations depuis la période du Néolithique jusqu’à l’époque moderne. La période gallo-romaine est grandement présente puisque l’éperon rocheux où se situe actuellement le centre-ville de Villevieille correspond à une riche agglomération secondaire de l’aire nîmoise, déjà bien documentée par des opérations de diagnostic et de fouilles mais aussi par des découvertes fortuites anciennes. L’exploration d’un ensemble de parcelles en partie orientale semble montrer l’une des limites extra muros de la cité villevieilloise antique, au-delà de son enceinte. Seuls de rares vestiges ont été mis au jour dans les douze tranchées ouvertes dans l’emprise de prescription de cet ensemble parcellaire couvrant 6 560 m². Si des canalisations vraisemblablement modernes sont datées par des élé- ments céramiques retrouvées dans leur comblement, deux fosses ainsi qu’une structure bâtie pourraient être plus anciennes. Quelques tessons de poterie suggèrent même une fréquentation durant le Néolithique ou la Protohistoire. Très ténues, ces artefacts peuvent également avoir été déplacés jusque-là par un effet de ruissellement des eaux puisque ce secteur bénéficie d’un fort pendage depuis le sommet rocheux. L’opération archéologique mené sur ces parcelles du Chemin de la Truque a permis de mettre en évidence une limite orientale à l’occupation gallo-romaine, et plus particulièrement à l’extension urbanistique de l’agglomération antique dont les dernières preuves ont été identifiées à une cinquantaine de mètres à l’ouest (Lotissement Les Olivettes, toujours sur le Chemin de la Truque)

    Alès (30), 17 Rue Taisson : rapport de diagnostic.: Des sépultures contemporaines de l’Évêché dans l’extension du collège Taisson à Alès

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    Le diagnostic motivé par l’extension du collège Taisson à Alès s’inscrit dans un secteur géographique qui a livré plusieurs indices d’occupations anciennes (Néolithique, Antiquité et Moyen Âge) dont le plus connu est sans doute l’oppidum de l’Hermitage. Le susbtratum a été atteint à des profondeurs très variables, variant de 1,10 à 2,20 m sous le niveau de circulation actuel, ce qui suggère de probables zones d’extraction de la pierre locale à des périodes indéterminées. Cette couche originelle se caractérise par un limon argileux orangé à rougeâtre, compact et homogène. Vierge de tout artefact, il contient quelques galets et graviers de taille centimétrique à décimétrique. L’opération archéologique du collège Taisson a permis de mettre en évidence une occupation sépulcrale de ce qui deviendra a posteriori une zone de jardin appartenant vraisemblablement à l’évêché, même s’il pourrait être en dehors de l’espace ceint par les remparts, pour une occupation comprise entre le milieu du XVIIe s. et le tout début du XIXe s. L’emprise du secteur funéraire exhumé a pu être cernée sur trois de ses côtés, la portion ouest n’ayant pu être testée en raison de sa poursuite sous la cour actuelle du collège. Elle couvre une surface d’au moins 6 m d’est/ouest pour 16 m sur l’axe nord / sud. Elle comprend 5 entités non funéraires ainsi que 14 structures funéraires dont la plupart sont des sépultures à inhumations. Seules deux ont été entièrement traitées et ont fait l’objet d’une étude anthropologique, la majorité de ces tombes concerne des immatures (7 sujets juvéniles potentiels parmi lesquels un seul dont la tombe a été complètement fouillée : SP1007). Par ailleurs, la présence d’adultes est confirmée par le défunt de la sépulture SP1004, partiellement fouillée. Du point de vue chronologique, l’unique analyse radiocarbone réalisée sur le jeune défunt de la sépulture SP1007, présente en partie centrale, suggère à près de 50% une datation entre le deuxième quart du XVIIIe s. et le premier quart du XIXe s. (et plus précisément entre 1722 et 1814)

    Marseille (Bouches-du-Rhône). Lycée du Rempart [notice archéologique]

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    International audienceLa reconstruction de bâtiments au sein du lycée du Rempart à Marseille a motivé la prescription d’une fouille préventive qui s’est déroulée du 15 mai au 31 juillet 2018 sur une surface de 630 m2 présentant un fort dénivelé de 3,50 m d’est en ouest. L’Antiquité grecque n’est représentée que par quelques niveaux de colluvions ayant piégé des fragments de céramique et aucune occupation sur l’emprise même du site ne peut être attestée. Ces contextes sont directement scellés par des séquences rattachées aux Ve et VIe s. En partie centrale de la fouille, des tranchées d’épierrement comblées à la fin du VIe s ou au VIIe s., témoignent d’un bâtiment disparu dont peu d’éléments sont connus. Une occupation funéraire de l’Antiquité tardive et du Moyen Âge a été mise au jour, confirmant les résultats du diagnostic préalable réalisé sur la parcelle

    Les tombes à incinération de Villers-les-Roye «Les Longs Champs» et de Marcelcave «Le Chemin d'Ignaucourt» (Somme)

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    Buchez Nathalie, Dumont Christine, Ginoux Nathalie, Montaru Diana. Les tombes à incinération de Villers-les-Roye «Les Longs Champs» et de Marcelcave «Le Chemin d'Ignaucourt» (Somme). In: Revue archéologique de Picardie, n°1-2, 1998. Table ronde de Ribemont-sur-Ancre (Somme) les 4 et 5 décembre 1997: les rites de la mort chez les Celtes du Nord / Les sépultures à l'incinération laténiennes d'Allonne (Oise) sous la direction de Jean-Louis Brunaux, Germaine Leman-Delerive et Claudine Pommepuy. pp. 191-210

    Marseille (Bouches-du-Rhône). Lycée du Rempart

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    La reconstruction de bâtiments au sein du lycée du Rempart à Marseille a motivé la prescription d’une fouille préventive qui s’est déroulée du 15 mai au 31 juillet 2018 sur une surface de 630 m2 présentant un fort dénivelé de 3,50 m d’est en ouest. L’Antiquité grecque n’est représentée que par quelques niveaux de colluvions ayant piégé des fragments de céramique et aucune occupation sur l’emprise même du site ne peut être attestée. Ces contextes sont directement scellés par des séquences ratt..

    Une nécropole des Ve - VIIe siècles de notre ère à Val Claret à Antibes.: Provence-Alpes-Côte d'Azur, Alpes-Maritimes - Antibes

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    Un projet de construction d'immeuble a motive la prescription d'une fouille sur une superficie de 1200 m2 dans la périphérie nord de la ville d'Antibes. Une soixantaine de tombes de la fin de l'Antiquité et du haut Moyen-Âge ont été mises au jour, ainsi qu'un tronçon de l'aqueduc souterrain antique de la Font Vieille. Le secteur est marqué par la présence d'une dune fossile datée du Néolithique recouvrant des terrasses marines anciennes, témoignant de l'évolution de la ligne de rivage.Les sépultures appartiennent à une zone funéraire qui se développe au-delà des limites imparties à la fouille. Les aménagements font appel à divers matériaux : tuiles, amphores, matériaux périssables. Les amphores sélectionnées en fonction de la taille des individus inhumés proviennent de Tunisie, de Lybie, de Palestine et de Cilicie

    Le projet collectif de recherche : histoire et archéologie de la colline de Cimiez à Nice

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    Le projet collectif de recherche : histoire et archéologie de la colline de Cimiez à Nic
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