203 research outputs found
Early determinants of food liking among 5y-old children: a longitudinal study from the EDEN mother-child cohort
International audienceAbstractBackgroundIdentifying the determinants of childâs liking for different foods may help to prevent future choices of unhealthy food.ObjectiveTo study early-life food-related characteristics associated with childâs liking for different foods at 5y with a longitudinal study.Design1142 5y- old children completed a liking test for âfruit and vegetablesâ, âmeat, fish and eggsâ, desserts and cheese. Data related to maternal food intake before pregnancy, infant feeding during the first year of life, maternal feeding practices at 2y, childâs food intake at 3y, and childâs food neophobia from 1 to 4y were collected prospectively from the mother. The associations between these factors and childâs liking for each category of foods were analyzed using structural equation modelling.ResultsHigh food neophobia at 4 y was related to lower childâs liking for all food groups. Maternal feeding practices at 2y were associated with liking for dessert: negatively for the practices allowing child to control his/her own food intake, positively for restriction of childâs food intake for weight reasons. Moreover, childâs food intake at 3y was positively associated with childâs liking for âfruit and vegetablesâ as well as for cheese. Finally, adherence to the infant feeding pattern âlong breastfeeding, later introduction of main meal components and use of home-made productsâ was positively associated with childâs liking for meat/fish/eggs.ConclusionsFor all food groups, food neophobia was a common determinant of childâs liking for food at 5y, whereas other factors were associated with food liking for specific food groups
Lâaventure du goĂ»t ou le goĂ»t de lâaventure : Ăveil et structuration du goĂ»t chez le jeune enfant
RevueLâaventure du goĂ»t ou le goĂ»t de lâaventure : Ăveil et structuration du goĂ»t chez le jeune enfan
Contes et légendes des produits carnés: Communiqué de presse publié le 6 novembre 2019 sur le site inra.fr
Dossier de presse "Les racines dâune alimentation durable : quand les protĂ©ines vĂ©gĂ©tales sâinvitent Ă table" Ă tĂ©lĂ©charger sur le site INRA.Dans la plupart des mĂ©nages, la viande trĂŽne au centre des assiettes. Le geste naturel, lors de la prĂ©paration des aliments, est dâapprĂȘter un morceau de viande quel que soit son accompagnement. Pour comprendre les scripts sociaux derriĂšre ces comportements, les chercheurs de lâInra ont rĂ©alisĂ© des interviews approfondies avec 27 mĂšres ayant des enfants ĂągĂ©s de 6 Ă 11 ans. Un choix qui sâexplique par ce chiffre : dans 80 % des mĂ©nages, ce sont les mĂšres de famille qui sâoccupent des achats et de la prĂ©paration des repas. Cette Ă©tude nâest pas un sondage : elle nâest pas, bien entendu, reprĂ©sentative de la population française. Ceci Ă©tant, elle permet dâidentifier certaines visions communes sur les produits dâorigine animale qui sont autant de verrous Ă lever si lâon veut rĂ©Ă©quilibrer lâassiette au profit du vĂ©gĂ©tal. Les chercheurs ont ainsi montrĂ© que la viande reste un symbole de force, de bonne santĂ© et mĂȘme de virilitĂ©. On ne pourrait sâen passer sans perdre de la vitalitĂ©. La viande, câest ce qui rassasie, ce qui procure du plaisir Ă table. DâaprĂšs ces mĂšres de famille, les enfants se mettraient Ă rĂąler, si, soudain, un repas se prĂ©sentait sans viande ni charcuterie. Ces entretiens ont aussi dĂ©voilĂ© de fausses connaissances, comme par exemple, lâidĂ©e que câest la viande qui permet au cerveau de se reconstituer ou que la viande rouge contient plus de protĂ©ines que la blanche. Ces reprĂ©sentations et prĂ©jugĂ©s expliquent pourquoi, pour ces mĂšres de famille, lâidĂ©e mĂȘme de rĂ©duire la consommation de viande est saugrenue et dĂ©rangeante
Comment changer les comportements alimentaires ? RĂŽle des messages nutritionnels et du plaisir
International audienc
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