A summary of new findings on the biological effects of selenium in selected animal species: a critical review.

Selenium is an essential trace element important for many physiological processes, especially for the functions of immune and reproductive systems, metabolism of thyroid hormones, as well as antioxidant defense. Selenium deficiency is usually manifested by an increased incidence of retention of placenta, metritis, mastitis, aborts, lowering fertility and increased susceptibility to infections. In calves, lambs and kids, the selenium deficiency demonstrates by WMD (white muscle disease), in foals and donkey foals, it is associated with incidence of WMD and yellow fat disease, and in pigs it causes VESD (vitamin E/selenium deficiency) syndrome. The prevention of these health disorders can be achieved by an adequate selenium supplementation to the diet. The review summarizes the survey of knowledge on selenium, its biological significance in the organism, the impact of its deficiency in mammalian livestock (comparison of ruminants vs. non-ruminants, herbivore vs. omnivore) and possibilities of its peroral administration. The databases employed were as follows: Web of Science, PubMed, MEDLINE and Google Scholar

La colline et le marais. La gestion des bassins versants au Burundi et au Rwanda

Hills and Lowlands. Managing Catchment Basins in Burundi and Rwanda In Burundi and Rwanda, the layout of fields in the lowlands suggests a collective management of land and water resources in each valley. But this is not so. Land is used on an individual, sometimes precarious, basis with no regard for neighbors and as a function of biotopes, the lowlands being complementary to the hills. In the lowlands, the interventions of local and then colonial authorities disturbed the peasant system and eventually made it diversify and improve. Knowledge of the history of land use makes us cautious about adopting the theory linking population size to agricultural progress ; it also helps disprove the reputedly foreign origin of certain techniques. The first travelers mentioned farms in the lowlands and, more importantly, an astute (no longer existent) system of irrigation on the slopes. Has this heritage been taken into account during recent transfers of "efficient" techniques ?Au Burundi et au Rwanda, le dessin des champs dans les bas-fonds suggère un aménagement hydro-agricole collectif ou dirigé et une maîtrise de l'eau à l'échelle de la vallée. Or, il n'en est rien. On y exploite la terre à titre individuel, parfois précaire, selon le principe des niches écologiques et sans égard pour ses voisins. Le bas-fond fait partie des terroirs en tant qu'espace complémentaire des collines. L'histoire de son aménagement montre comment l'intervention du pouvoir (local, puis colonial) a perturbé le système paysan pour finalement contribuer à le diversifier et le perfectionner. La connaissance du passé nuance l'approche théorique du rapport entre le facteur démographique et le progrès agricole et, par ailleurs, réfute la prétendue origine étrangère des techniques décrites. Les premiers récits de voyage témoignent de la mise en culture des bas-fonds et, qui plus est, d'un système astucieux d'irrigation des pentes aujourd'hui abandonné.Meschy Lidia. La colline et le marais. La gestion des bassins versants au Burundi et au Rwanda. In: Études rurales, n°115-116, 1989. Hydraulique. pp. 129-151

Jan Czekanowski et l'expédition « Mecklembourg ». Afrique centrale 1907-1909

Meschy Lidia. Jan Czekanowski et l'expédition « Mecklembourg ». Afrique centrale 1907-1909. In: Revue française d'histoire d'outre-mer, tome 81, n°305, 4e trimestre 1994. pp. 477-491

Eléments minéraux majeurs : données récentes chez les caprins

28 ref.National audienceThe P maintenance requirement must be considered as the irreducible part of endogenous losses which is highly related to the no re-absorbed salivary P. The P maintenance requirement is related to dry matter intake. The requirements for growth are slightly lower than for calves but markedly higher than for lambs, this must be taken into account for a re-assessment of growing requirement in kids. Calcium and phosphorus requirements for pregnancy mainly result from the number of foetuses and must be take into account during the six last weeks of pregnancy. Calcium and phosphorus content of goat milk (1.3 g Ca/L, and 0.95 g P/L, respectively) are very close to those of cow milk. True absorption coefficient (TAC) of P is higher for goats than for other ruminant species; the value of 70 % is adopted for calculations. In the goat, the TAC of Ca is markedly depressed by high level of dietary Ca, the retained value of 30 % is only suitable when dietary Ca is not in excess. Using specific data for mineral nutrition of goats lead to higher dietary recommendations for P and Ca especially for growing animals.Des données acquises depuis une dizaine d’années sur l’alimentation de la chèvre permettent de proposer des recommandations d’apport minéral plus spécifiques, au moins pour les éléments minéraux majeurs. Le besoin d’entretien en phosphore correspond à la perte fécale endogène incompressible (P salivaire non réabsorbé) ; il est donc logique de le rapporter à la matière sèche ingérée. Le besoin de croissance en P et Ca est légèrement inférieur à celui des bovins, mais sensiblement plus élevé que celui des ovins, ce qui conduit à une réévaluation notable de ce besoin, jusqu’ici extrapolé des résultats sur ovins. Le besoin de gestation (six dernières semaines) concerne principalement P et Ca, il dépend surtout de la taille de la portée. La composition minérale moyenne du lait de chèvre (1,30 g/l de Ca et 0,95 g/l de P) est très proche de celle du lait de vache. L’absorption réelle de P est plus élevée chez la chèvre que chez les autres ruminants, la valeur de 70 % est adoptée pour le calcul des apports alimentaires recommandés. Chez la chèvre, le coefficient d’absorption réelle de Ca diminue sensiblement lorsque l’apport alimentaire devient excédentaire et la valeur retenue de 30 % n’est valable que pour des apports alimentaires non excessifs. L’utilisation de ces données spécifiques aux caprins conduit à augmenter les apports recommandés de P et Ca, notamment pour les animaux en croissance

Perception et modélisation des espaces densément peuplés.

Meschy Lidia. Perception et modélisation des espaces densément peuplés.. In: Cahiers d'études africaines, vol. 25, n°97, 1985. pp. 111-117

Vers une révision des recommandations d'apports en phosphore chez le ruminant

National audienceTo take into account the environmental challenge, recommended phosphorus allowances have to satisfy refined animal requirement assessments as well as the control of pollutant loading in the environment. In the factorial approach, the most sensitive parameters which are maintenance requirement (MR) and true absorption coefficient (TAC), were re-considered trough a quantitative treatment of a bibliographic database and some recent experimental results. MR is strongly related to phosphorus salivary flow and its variations ; consequently, dry matter intake appeared to better estimate MR than body weight. In the future, the quantification of rumen micro-organisms in phosphorus faecal excretion may allow to assess MR more accurately. Up to now, the TAC values currently used for the calculation of recommendations are way below the experimental data ; important variations were also observed between feedstuffs. Future nutritional standards may adopt specific TAC values for feedstuffs or at least for feedstuff groups. Phosphorus release kinetics in the rumen were highly variable among feedstuffs, this suggests that there are differences in phosphorus availability for the rumen ecosystem. With the hypothesis of a significant decrease of phosphorus supply to ruminants, the effect of these discrepancies upon micro-organism efficiency must be investigated.Pour répondre aux impératifs environnementaux émergents, il est devenu nécessaire de considérer les recommandations d’apport en phosphore à la fois sous l’angle d’une connaissance plus fine des besoins des animaux et de la maîtrise des rejets polluants. Les paramètres les plus sensibles de l’approche factorielle, besoin d’entretien et efficacité de l’utilisation digestive du phosphore ou coefficient d’absorption réelle (CAR), ont été réexaminés par l’analyse quantitative d’une base de données bibliographiques et par de nouvelles données expérimentales. Le besoin d’entretien apparaît fortement dépendant du flux salivaire de phosphore et de ses facteurs de variation ; il est donc logique de l’estimer à partir de la matière sèche ingérée et non du poids vif des animaux. La prise en compte de l’excrétion fécale du phosphore d’origine microbienne devrait contribuer à l’avenir à mieux préciser le besoin d’entretien. Les CAR retenus jusqu’à présent pour le calcul des recommandations sont notablement inférieurs aux données expérimentales publiées ; des différences substantielles sont observées entre les CAR des différents aliments et certains facteurs d’explication ont pu être mis en évidence. Les systèmes futurs devront adopter des valeurs de CAR différentes selon les aliments ou au moins selon les familles d’aliments. La vitesse de libération du phosphore dans le rumen est très variable selon les matières premières, ce qui suggère des différences importantes de disponibilité du phosphore pour l’écosystème du rumen. Dans la perspective d’une réduction sensible de l’apport de phosphore aux ruminants, il deviendra nécessaire de vérifier l’impact de cette disponibilité sur l’efficacité des microorganismes du rumen

In vitro phytase activity of rumen goats bacterial fed with different types of diets

Se midió la actividad fitásica in vitro de las bacterias del rumen de cabras alimentadas con diferentes tipos de dietas. Se utilizaron seis cabras de la raza Alpino, con peso promedio de 70 kg, distribuidas aleatoreamente, tres por tratamiento, a dos tipos de dietas, alta (F, 80% de MS) o baja (C, 40% de MS) en forrajes. Se tomó líquido ruminal, de cada animal, para separar las bacterias por centrifugación. El inóculo bacteriano fue incubado con el sustrato, fitato de sodio, durante 2 y 4 horas y, durante 4, 10, 16 y 22 horas para la dieta alta en forrajes. El material incubado fue centrifugado y el sobrenadante fue utilizado para medir el fósforo inorgánico liberado. Los valores fueron ajustados por la cantidad de fósforo inorgánico presente en el inóculo bacteriano. La cantidad de fósforo liberado por las fitasas microbianas del rumen, expresada como g P mL-¹, fue de 128, 7 y 126,8 para F y C, respectivamente, sin diferencias entre dietas, durante 2 horas de incubación. A 4 horas de incubación la actividad fitasica incrementó (P<0,008) con valores de 156,1 y 158,1 para F y C, respectivamente, sin diferencias significativas entre dietas. La actividad fitásica de las bacterias (nmol P min¹) fue similar entre dietas, con valores de 28,0 y 28,7 para F y C a las 2 horas de incubación. La actividad fitásica disminuyó (P<0,02) siendo los valores a las 4 horas de incubación de 18,0 y 19,5 para F y C, respectivamente. La proporción de fósforo liberado (g P mL-¹) del fitato de sodio incrementó (P<0,001) con el tiempo de incubación siendo los valores de 174,4; 208,6; 235,8 y 264,0 para 4, 10, 16 y 22 horas, respectivamente. El fósforo liberado (%) incrementó con el tiempo de incubación siendo los valores de 43,54; 52, 07; 58,87 y 65,91, respectivamente para 4, 10, 16 y 22 horas. La actividad fitásica (nmol Pi min-¹) disminuyó (P<0,001) con el tiempo de incubación siendo los valores de 23,4; 11,2; 7,9 y 6,5 para 4, 10, 16 y 22 horas, respectivamente.36 - 39BimestralTo evaluate the phytase activity of the rumen bacteria in vitro, six Alpine goats, averaging 70 kg body weight were distributed, three for treatment, to two types of diets, high (F, 80% DM) or low (C, 40% DM) forage level. From each goat, ruminal liquid were taken to separate bacteria by centrifugation. Approximately one gram of bacterial material was incubated with sodium phytate, during 2 and 4 hours, and, during 4, 10, 16 and 22 hours in the forrage diet. The incubated material was centrifuged and the supernatant was used to measure the released inorganic phosphorus. The values were adjusted according to the quantity of inorganic phosphorus present in the rumen inoculums. The quantity of released phosphorus by the microbial phytase of the rumen, expressed as g P mL-1, was 128,7 and 126,8 for F and C, respectively, with no differences between diets, during 2 hours of incubation. At 4 hours of incubation the phytase activity increased (P<0,008) with values of 156,1 and 158,1 for F and C, respectively, without significant differences between diets. The phytase activity of the bacteria (nmol P min-1) was similar between diets, with values of 28,0 and 28,7 for F and C at 2 hours of incubation. The phytase activity decreased (P<0.02) at 4 hours of incubation to 18,0 and 19,5 for F and C, respectively. The proportion of released phosphorus (g P ml-1) from sodium phytate increased (P<0.001) with the time of incubation, being the values of 174,4; 208,6; 235,8 and 264,0 for 4, 10, 16 and 22 hours, respectively. The released phosphorus increased with the time of incubation being the values of 43.54, 52. 07, 58.87 and 65.91%, respectively for 4, 10, 16 and 22 hours. The phytase activity (nmol Pi min-1) decreased (P<0.001) with the time of incubation being the values of 23,4, 11,2, 7,9 and 6,5 for 4, 10, 16 and 22 hours, respectively