26 research outputs found

    Evidence and consensus on technical aspects of embryo transfer

    Get PDF
    BACKGROUND Ultrasound-guided embryo transfer (US-GET) is a widely performed procedure, but standards for the best practice are not available. OBJECTIVE AND RATIONALE This document aims to provide an overview of technical aspects of US-GET after considering the published data and including the preparation for the embryo transfer (ET) procedure, the actual procedure, the post-procedure care, associated pathologies, complications and risks, quality assurance and practitioners' performance. SEARCH METHODS A literature search for evidence on key aspects of the ET procedure was carried out from database inception to November 2021. Selected papers (n = 359) relevant to the topic were analysed by the authors. The following key points were considered in the papers: whether ultrasound (US) practice standards were explained, to what extent the ET technique was described and whether complications or incidents and how to prevent such events were reported. In the end, 89 papers could be used to support the recommendations in this document, which focused on transabdominal US-GET. OUTCOMES The relevant papers found in the literature search were included in the current document and described according to the topic in three main sections: requirements and preparations prior to ET, the ET procedure and training and competence for ET. Recommendations are provided on preparations prior to ET, equipment and materials, ET technique, possible risks and complications, training and competence. Specific aspects of the laboratory procedures are covered, in particular the different loading techniques and their potential impact on the final outcomes. Potential future developments and research priorities regarding the ET technique are also outlined. LIMITATIONS, REASONS FOR CAUTION Many topics were not covered in the literature review and some recommendations were based on expert opinions and are not necessarily evidence based. WIDER IMPLICATIONS ET is the last procedural step in an ART treatment and is a crucial step towards achieving a pregnancy and live birth. The current paper set out to bring together the recent developments considering all aspects of ET, especially emphasizing US quality imaging. There are still many questions needing answers, and these can be subject of future research. STUDY FUNDING/COMPETING INTEREST(S) No funding. A.D.A. has received royalties from CRC Press and personal honorarium from Cook, Ferring and Cooper Surgical. The other co-authors have no conflicts of interest to declare that are relevant to the content of this article.Peer reviewe

    Outcomes of SARS-CoV-2 infected pregnancies after medically assisted reproduction

    Get PDF
    The role of certain viruses in the etiology of some tumors is today indisputable, but there is a lack, however, of an overview of the relationship between viruses and cancer with a multidisciplinary approach. For this reason, the Health Sciences Foundation has convened a group of professionals from different areas of knowledge to discuss the relationship between viruses and cancer, and the present document is the result of these deliberations. Although viruses cause only 10-15% of cancers, advances in oncology research are largely due to the work done during the last century on tumor viruses. The clearest cancer-inducing viruses are: HPV, HBV, HCV, EBV and, depending on the geographical area, HHV-8, HTLV-1 and HIV. HPVs, for example, are considered to be the causative agents of cervical carcinomas and, more recently, of a proportion of other cancers. Among the Herpes viruses, the association with the development of neoplasms is well established for EBV and HHV-8. Viruses can also be therapeutic agents in certain neoplasms and, thus, some oncolytic viruses with selective tropism for tumor cells have been approved for clinical use in humans. It is estimated that the prophylaxis or treatment of viral infections could prevent at least 1.5 million cancer deaths per year

    Conséquences fonctionnelles de l'hétéromérisation des récepteurs aux chimiokines: étude du couple des récepteurs CXCR4/CCR7

    No full text
    Les chimiokines sont des petites protéines qui régulent la migration et le "homing" des cellules leucocytaires. Elles jouent également un rôle clef dans le développement de certains cancers en régulant les phénomènes de prolifération, d'angiogenèse ou encore de migration des cellules métastatiques. À ce jour, environs 40 chimiokines et plus de 19 récepteurs appartenant à la famille des récepteurs couplés aux protéines G (RCPGs) ont été répertoriés. De nombreuses études ont montré que les récepteurs liant les chimiokines pouvaient s'associer sous forme de complexes homo et hétéromériques. Les conséquences fonctionnelles associées à l'hétéromérisation sont diverses et fonction de la nature des récepteurs étudiés, du type de cellules sur lesquelles ces récepteurs sont exprimés et de l'expression relative des récepteurs. Cependant, le rôle physiologique exact de l’hétéromérisation des récepteurs aux chimiokines, et des RCPGs de manière générale, resteencore peu connu. Nous avons tenté de répondre à cette question dans ce travail de doctorat en étudiant plus particulièrement l’hétéromérisation de CXCR4 et CCR7 au cours du développement des lymphocytes B. Nous avons montré que le récepteur CXCR4 est exprimé à la surface des lymphocytes B à tous les stades de leur développement et qu’une diminution de l’expression de CXCR4s’opère lors de la transition du stade Pré-B vers les stades B immatures et matures. Cette transition s’accompagne d’une «uprégulation » du récepteur CCR7 qui est le plus fortement exprimé à la surface des lymphocytes B matures. Nous avons par ailleurs montré que la transition du stade Pré-B vers les stades B immatures et matures s’accompagne d’une forte inhibition de CXCR4, les cellules B matures étant totalement réfractaires à la migration dans un gradient de CXCL12. Cette perte totale de fonctionnalité ne pouvant pas s’expliquer par la diminution partielle de l’expression de CXCR4, nous avons testé si l’expression du récepteur CCR7 pouvait contribuer à la perte de fonction de CXCR4 observée. Dans un premier temps, nous avons comparé la capacité de CXCR4 à induire la chimiotaxie des lymphocytes B matures provenant de souris sauvages ou de souris CCR7KO déficientes pour l’expression de CCR7. Nous avons montré que l’absence de CCR7 permet de récupérer une migration significative des lymphocytes B matures dans un gradient de CXCL12. De manière intéressante, l’absence de CCR7 affecte spécifiquement la fonction de CXCR4 mais pas celle des récepteurs CXCR5 et CCR6 également exprimés à la surface des lymphocytes B matures. De plus, l’inhibition de CCR7 des lymphocytes B matures sauvages par des anticorps bloquant ne permet pas de reproduire l’effet de l’absence de CCR7. Ce résultat suggère que la signalisation du récepteur CCR7 ne serait pas impliquée. Nous avons également montré que l’absence de CCR7 s’accompagne d’un nombre plus important de lymphocytes B matures dans la moelle osseuse des souris CCR7KO, en parfait accord avec le rôle connu de CXCR4 dans la rétention des progéniteurs hématopoïétiques au sein de la moelle osseuse. Nous avonségalement montré que l’expression du récepteur humain CCR7 dans la lignée lymphocytaire Pré-B humaine Nalm-6 ou dans des cellules CHO-K1 exprimant le récepteur CXCR4 suffit à induire une perte de fonctionnalité de CXCR4. Tout comme pour les lymphocytes B maturesmurins, cette inhibition s’exerce en absence de toute stimulation de CCR7. Nous avons aussi montré que l’expression de récepteurs CCR7 mutants incapables de lier les chimiokines CCL19 et CCL21 (mutant CCR7NT) ou d’induire une signalisation (mutants CCR7D(R/A)Y et CCR7(N/A)PXXY) sont toujours capables d’induire l’inhibition de CXCR4, ce qui confirme qu’une signalisation CCR7 n’est pas nécessaire pour induire le phénomène de la régulation de CXCR4. Ce résultat montre aussi que les fonctions de signalisation et de régulation de CCR7peuvent être découplées.Nous avons également tenté d’identifier le mécanisme moléculaire associé à l’inhibition de CXCR4 par CCR7. Grâce à l’utilisation de biosenseurs BRET mesurant l’activation des protéines G, nous avons montré que l’expression de CCR7 inhibe fortement l’activation de la protéine Gαi2 connue pour jouer un rôle important dans la migration des lymphocytes. Ce résultat permet donc d’expliquer la perte de migration détectée dans les lymphocytes B coexprimant CXCR4 et CCR7. Cependant, nous avons aussi montré que l’expression de CCR7 n’empêche pas l’interaction physique de la protéine Gαi2 avec le récepteur CXCR4. Nous avons alors émis l’hypothèse que CCR7 exercerait son effetinhibiteur sur CXCR4 en interagissant physiquement avec lui et en altérant sa capacité à activer la protéine Gαi2. Nous avons montré par différentes techniques que le récepteur CCR7 interagit avec CXCR4 et que la conformation du complexe formé par CXCR4 et la protéineGαi2 est différente suivant que cette interaction a lieu au sein d’un homomère CXCR4/CXCR4 ou d’un hétéromère CXCR4/CCR7. L’ensemble de ces données suggère donc que l’hétéromérisation de CXCR4 avec CCR7 change la conformation du complexe CXCR4/Gαi2 et la capacité de CXCR4 à activer la protéine Gαi2. De manière intéressante, l’hétéromérisation de CXCR4 avec CCR7 inhibe également l’activation de la protéine Gαi1 mais pas celle de la protéine Gαi3. Ce résultat très intéressant suggère que l’hétéromérisation CXCR4/CCR7 ne serait pas simplement associée à une inhibition de la fonction de CXCR4 mais plutôt à une modulation de son profil d’activation. Cette hypothèse suggère donc que le récepteur CCR7 jouerait le rôle de modulateur allostérique endogène de CXCR4 capable de moduler l’activation de certaines voies de signalisation tout en en laissant d'autres fonctionnelles. Cependant, le manque de temps ne nous a pas permis de confirmer le maintiend’un signal dépendant de Gαi3 dans les cellules coexprimant CXCR4 et CCR7.L’ensemble de ces résultats suggèrent que le récepteur aux chimiokines CCR7 exercerait le rôle de modulateur allostérique de CXCR4 au cours du développement des lymphocytes B et que cette fonction nécessiterait l’interaction physique de CXCR4 et CCR7.À notre connaissance, ces résultats constituent la première indication que l’hétéromérisation de récepteurs aux chimiokines peut jouer un rôle dans un processus physiologique.Doctorat en Sciences biomédicales et pharmaceutiques (Médecine)info:eu-repo/semantics/nonPublishe

    Coexpression of CCR7 and CXCR4 During B Cell Development Controls CXCR4 Responsiveness and Bone Marrow Homing.

    No full text
    The CXCL12-CXCR4 axis plays a key role in the retention of stem cells and progenitors in dedicated bone marrow niches. It is well-known that CXCR4 responsiveness in B lymphocytes decreases dramatically during the final stages of their development in the bone marrow. However, the molecular mechanism underlying this regulation and whether it plays a role in B-cell homeostasis remain unknown. In the present study, we show that the differentiation of pre-B cells into immature and mature B cells is accompanied by modifications to the relative expression of chemokine receptors, with a two-fold downregulation of CXCR4 and upregulation of CCR7. We demonstrate that expression of CCR7 in B cells is involved in the selective inactivation of CXCR4, and that mature B cells from CCR7-/- mice display higher responsiveness to CXCL12 and improved retention in the bone marrow. We also provide molecular evidence supporting a model in which upregulation of CCR7 favors the formation of CXCR4-CCR7 heteromers, wherein CXCR4 is selectively impaired in its ability to activate certain G-protein complexes. Collectively, our results demonstrate that CCR7 behaves as a novel selective endogenous allosteric modulator of CXCR4.info:eu-repo/semantics/publishe

    Signaling Properties of Chemerin Receptors CMKLR1, GPR1 and CCRL2.

    No full text
    Chemerin is a small chemotactic protein originally identified as the natural ligand of CMKLR1. More recently, two other receptors, GPR1 and CCRL2, have been reported to bind chemerin but their functional relevance remains poorly understood. In this study, we compared the binding and signaling properties of the three human chemerin receptors and showed differences in mode of chemerin binding and receptor signaling. Chemerin binds to all three receptors with low nanomolar affinities. However, the contribution of the chemerin C-terminus to binding efficiency varies greatly amongst receptors. By using BRET-based biosensors monitoring the activation of various G proteins, we showed that binding of chemerin and the chemerin 9 nonapeptide (149YFPGQFAFS157) to CMKLR1 activates the three Gαi subtypes (Gαi1, Gαi2 and Gαi3) and the two Gαo isoforms (Gαoa and Gαob) with potencies correlated to binding affinities. In contrast, no significant activation of G proteins was detected upon binding of chemerin to GPR1 or CCRL2. Binding of chemerin and the chemerin 9 peptide also induced the recruitment of β-arrestin1 and 2 to CMKLR1 and GPR1, though to various degree, but not to CCRL2. However, the propensity of chemerin 9 to activate β-arrestins relative to chemerin is higher when bound to GPR1. Finally, we showed that binding of chemerin to CMKLR1 and GPR1 promotes also the internalization of the two receptors and the phosphorylation of ERK1/2 MAP kinases, although with a different efficiency, and that phosphorylation of ERK1/2 requires both Gαi/o and β-arrestin2 activation but not β-arrestin1. Collectively, these data support a model in which each chemerin receptor displays selective signaling properties.SCOPUS: ar.jinfo:eu-repo/semantics/publishe
    corecore