23 research outputs found

    Ronald Dworkin’s Criticism of Pragmatism

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    This is an article about ROnald Dworkin.

    Facteurs prédictifs de la dépression chez les gens souffrant d'anxiété sociale

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    La phobie sociale et la dĂ©pression sont deux troubles souvent retrouvĂ©s en comorbiditĂ©. Plusieurs Ă©tudes ont dĂ©montrĂ© que la phobie sociale se manifestait en premier et constituerait ainsi un facteur de risque pour le dĂ©veloppement de la dĂ©pression. Toutefois, aucune Ă©tude Ă  ce jour n'a identifiĂ© les facteurs plus prĂ©cis associĂ©s Ă  l'anxiĂ©tĂ© sociale qui pouvaient mener Ă  la dĂ©pression. La prĂ©sente thĂšse se propose de rĂ©pondre Ă  cette question par le biais de deux Ă©tudes. La premiĂšre vise Ă  identifier un ensemble de facteurs permettant de prĂ©dire la prĂ©sence d'un Ă©pisode dĂ©pressif majeur au cours des douze derniers mois dans un large Ă©chantillon reprĂ©sentatif de gens souffrant de phobie sociale, en vĂ©rifiant plus spĂ©cifiquement le rĂŽle de la qualitĂ© de vie et du soutien social. L'Ă©tude est rĂ©alisĂ©e auprĂšs de 1189 personnes ayant reçu un diagnostic de phobie sociale, Ă  l'aide des donnĂ©es de / 'EnquĂȘte sur la SantĂ© dans les collectivitĂ©s canadiennes (ESCC): SantĂ© mentale et bien-ĂȘtre (cycle 1.2), menĂ©e par Statistique Canada en 2002. Une deuxiĂšme Ă©tude vise Ă  identifier les mĂ©diateurs de la relation entre l'anxiĂ©tĂ© sociale et les symptĂŽmes dĂ©pressifs et Ă  confirmer la sĂ©quence temporelle des relations proposĂ©es. Un modĂšle est Ă©laborĂ© et testĂ© auprĂšs de 321 personnes de la population gĂ©nĂ©rale, en majoritĂ© des Ă©tudiants, qui ont rempli des questionnaires sur diffĂ©rentes variables psychologiques. Une Ă©tude longitudinale est par la suite rĂ©alisĂ©e afin d'identifier des facteurs associĂ©s au dĂ©veloppement, Ă  la rĂ©mission et Ă  la chronicitĂ© des symptĂŽmes dĂ©pressifs chez les personnes socialement anxieuses. De façon gĂ©nĂ©rale, les Ă©tudes confirment le rĂŽle des cognitions, de l'Ă©vitement des expĂ©riences internes, des habiletĂ©s sociales, de l'Ă©vitement des situations sociales, de la qualitĂ© de vie et du soutien social dans l'augmentation du risque de prĂ©senter des symptĂŽmes dĂ©pressifs. Dans l'ensemble, les rĂ©sultats pourraient permettre de cibler les personnes les plus Ă  risque de dĂ©velopper une dĂ©pression parmi les personnes souffrant de phobie sociale, en plus de proposer des cibles d'intervention pouvant prĂ©venir le dĂ©veloppement de la dĂ©pression ou en favoriser la rĂ©mission, ou encore pouvant ĂȘtre priorisĂ©es chez les gens souffrant des deux troubles en comorbiditĂ©

    A discharge summary adapted to the frail elderly to ensure transfer of relevant information from the hospital to community settings: a model

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    <p>Abstract</p> <p>Background</p> <p>Elderly patients admitted to Geriatric Assessment Units (GAU) typically have complex health problems that require multi-professional care. Considering the scope of human and technological resources solicited during hospitalization, as well as the many risks and discomforts incurred by the patient, it is important to ensure the communication of pertinent information for quality follow-up care in the community setting. Conventional discharge summaries do not adequately incorporate the elements specific to an aging clientele.</p> <p>Objective</p> <p>To develop a discharge summary adapted to the frail elderly patient (D-SAFE) in order to communicate relevant information from hospital to community services.</p> <p>Methods</p> <p>The items to be included in the D-SAFE have been determined by means of a modified Delphi method through consultation with clinical experts from GAUs (11 physicians and 5 pharmacists) and the community (10 physicians and 5 pharmacists). The consensus analysis and the level of agreement among the experts were reached using a modified version of the RAND<sup>Ÿ</sup>/University of California at Los Angeles appropriateness method.</p> <p>Results</p> <p>A consensus was reached after two rounds of consultation for all the items evaluated, where none was judged «inappropriate». Among the items proposed, four were judged to be « uncertain » and were eliminated from the final D-SAFE, which was divided into two sections: the medical discharge summary (22 main items) and the discharge prescription (14 main items).</p> <p>Conclusions</p> <p>The D-SAFE was developed as a more comprehensive tool specifically designed for GAU inpatients. Additional research to validate its acceptability and practical impact on the continuity of care is needed before it can be recommended for use on a broader scale.</p

    L’animal de la famille : un sujet sensible

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    L’animal de la famille se trouve dans l’angle mort de deux rĂ©formes rĂ©centes, soit celles du droit animalier et du droit familial. Ce dĂ©sintĂ©rĂȘt signifie-t-il que l’animal doit ĂȘtre considĂ©rĂ©, au sens de la loi, comme un bien de la famille parmi tant d’autres? N’est-il pas – du moins aux yeux des justiciables – quelque chose de plus? Cet article propose d’y voir plus clair en examinant les rĂšgles actuelles du droit des familles et l’ensemble de la jurisprudence publiĂ©e depuis 1980 qui aborde la situation d’un animal en contexte de sĂ©paration – observant que les juges se concentrent sur le titre de propriĂ©tĂ© de l’animal pour en attribuer la garde, une approche fondĂ©e sur la propriĂ©tĂ©. Or, cette approche semble maintenant en dĂ©calage avec la rĂ©cente reconnaissance juridique des animaux comme ĂȘtres vivants douĂ©s de sensibilitĂ© et ayant des impĂ©ratifs biologiques prĂ©vue Ă  l’article 898.1 du Code civil du QuĂ©bec. Cet article soutient alors que, en contexte de sĂ©paration, l’animal de la famille doit voir sa garde attribuĂ©e aux personnes le mieux Ă  mĂȘme de respecter sa sensibilitĂ© et de satisfaire ses impĂ©ratifs biologiques. Ceci peut impliquer une garde partagĂ©e. Sous cette approche fondĂ©e sur la sensibilitĂ©, le paradigme du droit de la propriĂ©tĂ© et des droits subjectifs doit ĂȘtre dĂ©laissĂ© en faveur du paradigme de l’administration du bien d’autrui et des pouvoirs juridiques afin de penser la relation entre l’animal et l’ĂȘtre humain en ayant la garde.Family companion animals find themselves in a legislative dead angle after the adoption of two recent reforms, namely the reforms of Animal Law and Family Law. Does this lack of interest mean that animals must be considered, in the eyes of the law, simply as a family asset among others? Are they not – at least in the eyes of litigants – something more? This article seeks to shed some light on this issue by examining the current rules under Family Law and the body of case law published since 1980 that deals with the situation of a companion animal in the context of separation – observing that judges focus on the title to the animal in order to award custody, a property-based approach. However, this approach now seems out of step with the recent legal recognition of animals as sentient beings with biological needs, as provided for in Article 898.1 of the Civil Code of QuĂ©bec. It is argued here that, in the context of separation, the custody of family companion animals should be granted to the person best able to respect their sentience and satisfy their biological needs. This may involve shared custody. Under this sentience-based approach, the paradigm of property and subjective rights must be abandoned in favour of the paradigm of the administration of the property of others and legal powers to re-think the relationship between animals and their custodian.El animal de compañía permanece en el punto ciego de dos reformas recientes, la del derecho animal y el derecho de familia. ÂżSignifica esta falta de interĂ©s que el animal debe ser considerado, a la luz del derecho, como un bien de familia entre otros? ÂżNo es –al menos a los ojos de los justiciables– algo mĂĄs? Este artĂ­culo propone una visiĂłn mĂĄs clara examinando las normas actuales del derecho de familia y toda la jurisprudencia publicada desde 1980 que aborda la situaciĂłn de un animal en el contexto de una separaciĂłn, considerando que los jueces se centran en el tĂ­tulo de propiedad del animal para conceder la custodia, un enfoque basado en la propiedad. Sin embargo, este enfoque parece ahora desfasado con el reciente reconocimiento legal de los animales como seres vivos dotados de sensibilidad y con imperativos biolĂłgicos en virtud del artĂ­culo 898.1 del CĂłdigo Civil de Quebec. En efecto, este artĂ­culo establece que, en caso de separaciĂłn, la custodia del animal de compañía debe otorgarse a las personas mĂĄs capaces de respetar su sensibilidad y satisfacer sus imperativos biolĂłgicos. Esto puede implicar la custodia compartida. SegĂșn este enfoque basado en la sensibilidad, debe abandonarse el paradigma del derecho de propiedad y los derechos subjetivos en favor del paradigma de la administraciĂłn de los bienes ajenos y las facultades legales para pensar en la relaciĂłn entre el animal y el ser humano que tiene su custodia

    Repenser les paradigmes : approches transsystémiques du droit

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    Quand l’imprescriptibilitĂ© prend corps — la notion de prĂ©judice corporel au regard des violences sexuelles, conjugales et infantiles

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    L’article 2926.1 CcQ rend imprescriptibles les actions civiles liĂ©es aux violences sexuelles, conjugales et infantiles, dans la mesure oĂč elles constituent un prĂ©judice corporel. Or, le critĂšre du prĂ©judice corporel qu’impose cet article soulĂšve plusieurs enjeux lorsqu’il s’agit de dĂ©terminer quelles victimes de violences sexuelles, conjugales et infantiles peuvent bĂ©nĂ©ficier de l’imprescriptibilitĂ© de leur action en rĂ©paration. Ces enjeux dĂ©coulent d’une incertitude entourant le concept de prĂ©judice corporel, dont la dĂ©finition exige qu’un certain seuil soit dĂ©passĂ© pour qu’un acte sur le corps soit considĂ©rĂ© comme une atteinte Ă  l’intĂ©gritĂ© physique.Dans cet article, l’auteur et l’autrice cherchent Ă  comprendre ce qui constitue un prĂ©judice corporel aux fins de l’article 2926.1 CcQ. Il et elle proposent une interprĂ©tation de la notion de prĂ©judice corporel qui comprend tout prĂ©judice rĂ©sultant d’une agression Ă  caractĂšre sexuel. Il et elle soutiennent Ă©galement que le critĂšre du prĂ©judice corporel devrait ĂȘtre retirĂ© en ce qui concerne la violence sexuelle, la violence conjugale et la violence subie pendant l’enfance afin que toutes les victimes visĂ©es par les parlementaires lors de l’établissement de l’imprescriptibilitĂ© puissent bĂ©nĂ©ficier de cette disposition.Article 2926.1 CCQ makes imprescriptible civil actions related to sexual, spousal or childhood violence, insofar as they constitute bodily injury. However, the criterion of bodily injury imposed by this article raises several issues when it comes to determining which victims of sexual, spousal and childhood violence can benefit from the imprescriptibility of their action for damages. These issues stem from uncertainty surrounding the concept of bodily injury, the definition of which requires that a certain threshold be met for an act on the body to be considered an infringement on physical integrity.In this article, the authors seek to understand what constitutes bodily injury for the purposes of article 2926.1 CCQ. They propose an interpretation of the notion of bodily injury that includes any injury resulting from sexual assault. They also argue that the criterion of bodily injury should be removed with respect to sexual violence, spousal violence and violence suffered during childhood so that this provision can benefit all victims targeted by parliamentarians during of the establishment of imprescriptibility
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