66 research outputs found

    L’Étang-Bertrand – FAB, interconnexion électrique France-Aurigny-Grande-Bretagne

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    Le projet d’extension du poste électrique de Menuel, mené par RTE dans le cadre de l’aménagement de l’interconnexion France-Aurigny-Grande-Bretagne (FAB), a motivé une fouille préventive réalisée du 4 au 22 juin 2018. L’Étang-Bertrand se trouve au centre du Nord-Cotentin, à 4 km à l’est de Bricquebec. Le paysage actuel est un bocage relativement dense aux hautes haies, largement exploité pour des activités agricoles diversifiées (cultures céréalières, pâturage). Le site est implanté au centre..

    La céramique Néolithique moyen II de l’enceinte de Lauwin-Planque (Nord) : approche technologique et morphologique

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    Das mittelneolithische Erdwerk von Lauwin-Planque (Departement Nord) hat eine große Menge an Keramik geliefert, deren technologische und morphologische Untersuchung eine bessere Definition der regionalen Kontextes und die Einordnung von Lauwin-Planque in die Spiere-Gruppe ermöglicht hat. Andererseits ergeben sich aus der Rekonstruktion der Arbeitsschritte anhand der technologischen Analyse neue Hypothesen zu den Töpfern von Lauwin-Planque. Die Keramik dieses Fundplatzes zeichnet sich durch ihre große technische Variabilität aus sowie durch fehlende Sorgfalt bei der Herstellung. Morphologisch sind die Gefäße nicht sehr einheitlich. Nach diesen ersten Ergebnissen ist es möglich, Überlegungen zur Übermittlung des technischen Könnens anstellen.The enclosure of Lauwin-Planque, located in Nord -Pas-de-Calais has been excavated in 2002 and 2003 by the service archélogique of Douai under the direction of Christian Séverin and with the help of Françoise Bostyn (INRAP). The site, important for regional surveys, offers sections of moats and trench of palisades’ groundworks, certainly part of an enclosure. In the north, digs show the map of a dwelling. In the east, a big pit has been interpreted from its ununsual lines, as a pit used for loam extraction. Ceramics come from 3 main structures : a section of moat , a trench of palisade groundwork and from the big pit. The series comprises 7250 sherds and weighs 54,235 kg. 47 poteries and 27 disks of terra cotta have been individualized. This technological and morphological study has led to a better definition of the regional context by the attachment of Lauwin-Planque to the group of Spiere, created in Belgium by Bart Vanmontfort in 2001. This group is different from other synchron cultures : Michelsberg and Chasséen Septentrional. It is defined by the absence of caracteristic shapes from Néolithique moyen II : Beecher from Michelsberg and carinated poteries from Chasséen Septentrional. It is also characterized by the use of combined temper : particles of burnt and pulverized flint in association with vegetal inclusions. Two approaches have been chosen to study this collection : technology and morphology. By the study of «macrotraces » , we can recreate «chaînes opératoires » of building . This series is characterized by an important technical variability andpoor workmanship. Morphologically, ceramics are not standardized. After obtaining these first results, we can now start thinking about the transmission of know-how.L’enceinte Néolithique moyen de Lauwin-Planque (Nord) a livré une importante série céramique. L’étude de la céramique, selon deux angles d’approche, la technologie et la morphologie, a permis une meilleure définition du contexte régional et l’attribution de Lauwin-Planque au groupe de Spiere. D’autre part, la reconstitution des chaînes opératoires grâce à l’analyse technologique, offre la possibilité de poser des hypothèses sur les potiers de Lauwin-Planque. Les céramiques de cet ensemble se caractérisent par une importante variabilité technique et par une facture peu soignée. Morphologiquement, les vases sont peu standardisés. Après ces premiers résultats, il est possible de réfléchir sur la transmission des savoir-faire.Manceau Lorraine. La céramique Néolithique moyen II de l’enceinte de Lauwin-Planque (Nord) : approche technologique et morphologique. In: Revue archéologique de Picardie. Numéro spécial 28, 2011. pp. 421-435

    Le bâtiment 6 NMII de Saint-André-sur-Orne : "La Delle du Poirier" (Calvados)

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    Détection et caractérisation des occupations des bords de Seine à la Protohistoire: l’exemple d’Alizayet Igoville (Eure) entre IIIe et Ier millénaire

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    National audienceLes sites d’Alizay et d’Igoville sont implantés en vallée de Seine, en zone de convergence du lit majeur actuel et de la basse terrasse du fleuve. Ils se trouvent sur la rive droite, au niveau de la confluence entre la Seine et l’Eure, avant que celles-ci soient aménagées, et à seulement cinq kilomètres de celle avec l’Andelle. Cette situation géographique, dans un secteur régulièrement inondé, a favorisé la fossilisation et la conservation des témoins de la présence humaine sous d’épaisses couches d’alluvions. Il s’est donc formé, au cours du temps, une stratigraphie de trois à quatre mètres de puissance, protégeant de l’érosion aussi bien les artéfacts (vestiges mobiliers et structures) que les écofacts (pollens, insectes, bois, etc.). Les travaux archéologiques conduits par une équipe associant des chercheurs de l’Inrap, du CNRS et de l’Université (université de Caen, Rouen, Rennes, Paris I, principalement) ont permis d’identifier et de caractériser les différents sites implantés dans le secteur, en les étudiant phase par phase (du Paléolithique à l’époque moderne)selon leur nature et leur chronologie interne

    Détection et caractérisation des occupations des bords de Seine à la Protohistoire: l’exemple d’Alizayet Igoville (Eure) entre IIIe et Ier millénaire

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    National audienceLes sites d’Alizay et d’Igoville sont implantés en vallée de Seine, en zone de convergence du lit majeur actuel et de la basse terrasse du fleuve. Ils se trouvent sur la rive droite, au niveau de la confluence entre la Seine et l’Eure, avant que celles-ci soient aménagées, et à seulement cinq kilomètres de celle avec l’Andelle. Cette situation géographique, dans un secteur régulièrement inondé, a favorisé la fossilisation et la conservation des témoins de la présence humaine sous d’épaisses couches d’alluvions. Il s’est donc formé, au cours du temps, une stratigraphie de trois à quatre mètres de puissance, protégeant de l’érosion aussi bien les artéfacts (vestiges mobiliers et structures) que les écofacts (pollens, insectes, bois, etc.). Les travaux archéologiques conduits par une équipe associant des chercheurs de l’Inrap, du CNRS et de l’Université (université de Caen, Rouen, Rennes, Paris I, principalement) ont permis d’identifier et de caractériser les différents sites implantés dans le secteur, en les étudiant phase par phase (du Paléolithique à l’époque moderne)selon leur nature et leur chronologie interne
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