162 research outputs found

    Du parloir hollandais Ă  la scĂšne pragoise, en passant par la Bartholomew Fair: le merveilleux destin de 'la plus mauvaise marchandise' du siĂšcle de Louis XIV

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    This article analyses the origins and the future development of the French fairy tale in Europe and abroad

    Les Mille et Une Nuits, Contes arabes

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    La cĂ©lĂ©bration du tricentenaire de la publication des premiers volumes des Mille et Une Nuits d’Antoine Galland aura Ă©galement vu une autre rĂ©alisation de ce qu’annonçait le recueil critique sous la direction d’Aboubakr ChraĂŻbi, Les Mille et Une Nuits en partage. Il existait bien une Ă©dition, antĂ©rieure et datant de 1965, en trois volumes aux Ă©ditions Garnier Flammarion et avec une Introduction par Jean Gaulmier. La nouvelle Ă©dition reprend le texte de Galland. Mais l’introduction de l’éditio..

    The Classic Fairy Tales/The Great Fairy Tale Tradition, from Straparola and Basile to the Brothers Grimm

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    Le conte merveilleux en langue française a, de tout temps, eu une grande influence sur le domaine anglo-saxon. Le premier conte de fĂ©es littĂ©raire en langue française attestĂ©, un conte encadrĂ© dans le roman Histoire d’Hypolite, comte de Duglas de Marie-Catherine d’Aulnoy paru en 1690 sera par exemple traduit dĂšs l’annĂ©e suivante. Il paraĂźtra Ă  Londres en 1691 sous le titre de The History of Adolphus, Prince of Russia ; and the Princess of Happiness alors que le « conte de fĂ©es littĂ©raire » ne..

    Mmede Murat, Contes, édition critique établie par GeneviÚve Patard, Paris, Honoré Champion, «BibliothÚque des Génies et des Fées 3», 2006, 478 p.

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    On ne peut que se rĂ©jouir de la rĂ©Ă©dition des Contes de Henriette-Julie de Castelnau, plus connue sous son nom de femme mariĂ©e, la comtesse de Murat. Les lĂ©gendes qui courent sur la contemporaine de Perrault et de Mme d’Aulnoy sont aussi nombreuses que les informations sĂ»res et attestĂ©es Ă  son sujet sont rares. Quand et oĂč est-elle nĂ©e? En 1668 ou en 1670? En Bretagne ou Ă  Paris? La lĂ©gende veut qu’elle ait Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©e Ă  son futur mari dans un splendide costume breton, Ă  la Cour et devant l..

    Martine Hennard Dutheil de la RochÚre, Gillian Lathey et Monika Wozniak (éds), Cinderella Across Cultures. New Directions and Interdisciplinary Perspectives

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    Ce recueil d’articles Ă©ditĂ© par Martine Hennard Dutheil de la RochĂšre, Gillian Lathey et Monika Wozniak est le tĂ©moignage de l’intĂ©rĂȘt acadĂ©mique et interdisciplinaire que suscitent non seulement le conte de « Cendrillon » mais le conte de fĂ©es en gĂ©nĂ©ral, dans toutes les cultures, sur tous les continents, dans toutes les langues et dans toutes les disciplines. Il tĂ©moigne de l’extraordinaire plasticitĂ© du genre Ă  s’adapter aux nouveaux mĂ©dias, mais Ă©galement Ă  intĂ©resser toutes les nouvelles..

    Jean-Paul Sermain, Le Conte de fées du classicisme aux LumiÚres

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    Le Conte de fĂ©es du classicisme aux LumiĂšres constitue une suite Ă  MĂ©tafictions (1670-1730). La rĂ©flexivitĂ© dans la littĂ©rature d’imagination (H. Champion, 2002) dont la derniĂšre partie traitait du conte de fĂ©es et des rĂ©cits-cadres ou romans-cadres dans lesquels ils sont enchĂąssĂ©s. Jean-Paul Sermain analysait les contes comme exemples privilĂ©giĂ©s de l’univers mĂ©tafictionnel de l’Âge Classique dans la mesure oĂč « [l] e conte de fĂ©es correspond exactement Ă  l’idĂ©e de ‘mĂ©tafiction’puisqu’il pre..

    « Mes amies les Fées »

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    « “Mes amies les FĂ©es” » traite d’un des premiers recueils de contes de fĂ©es littĂ©raires en langue française, Les ƒuvres meslĂ©es (1695) de Marie-Jeanne LhĂ©ritier qui paraĂźtront l’annĂ©e suivante sous un nouveau titre, Les Bigarrures ingĂ©nieuses. Plus prĂ©cisĂ©ment, cet essai analyse comment dans ces « bigarrures » LhĂ©ritier propose Ă  la fois une rĂ©ponse thĂ©orique Ă  la Querelle des Anciens et des Modernes et une nouvelle pratique narrative. Le style de LhĂ©ritier a souvent Ă©tĂ© qualifiĂ© de long et prĂ©cisĂ©ment « bigarré ». Cet essai montre comment LhĂ©ritier en fait propose une nouvelle pratique du conte Ă  la fois moderniste et en faveur des auteurs fĂ©minins et des lectrices tant dĂ©criĂ©es Ă  la suite des comĂ©dies de MoliĂšre et de la Satire X de Boileau. En comparant un conte prĂ©cis avec d’autres contes littĂ©raires du mĂȘme conte-type, et en situant ce conte dans le contexte thĂ©orique du recueil, cet article met en Ă©vidence l’originalitĂ© et la position moderniste d’une conteuse trop souvent rĂ©duite Ă  n’ĂȘtre qu’un auteur « prĂ©cieux », et donc mineur.« My friends the fairies: A vindication of the learned ladies and of he female reader in LhĂ©ritier’s Ingenious Medley » (1696). « “Mes amies les FĂ©es” » deals with one of the first literary fairy tale collections in French, Marie-Jeanne LhĂ©ritier’s ƒuvres meslĂ©es (1695) reprinted in 1696 under a new title, Bigarrures ingĂ©nieuses. In particular, this essay analyses how LhĂ©ritier’s self-proclaimed « ingenious medley » proposes at once a theoretical response to the Querelle des Anciens et des Modernes and a new narrative practice. LhĂ©ritier’s style has often been characterised as prĂ©cieux and her fairy tales considered as long and circumlocutory. This essay shows how LhĂ©ritier in fact proposes a new poetics which is at once modernist and in favour of female authors and female readers so much decried after MoliĂšre’s comedies and Boileau’s Satire X. By comparing one particular tale with other fairy tale productions based on the same type and by situating it within the theoretical context of the entire collection, this article underscores the originality and the gendered and modernist stance of a fairy tale writer so often unfairly considered as prĂ©cieuse, and therefore « minor »

    Mesdames Levesque, de Gomez, de Dreuillet, le Marchand, de Lintot, de Lassay, Fagnan, Mademoiselle Falques, Contes, édition critique établie par Raymonde Robert ; et Mademoiselle de Lussan, Les Veillées de Thessalie, édition critique établie par Nadine et Jean-Claude Decourt, « BibliothÚque des Génies et des Fées, vol. 13 », Paris, Honoré Champion, 2007, 820 p.

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    On ne peut que se rĂ©jouir de la rĂ©impression des contes contenus dans ce volume de la « BibliothĂšque des GĂ©nies et des FĂ©es ». Injustement oubliĂ©s depuis le xixe siĂšcle comme le rappelle Raymonde Robert dans son Introduction, ces contes furent cependant jadis aussi populaires que d’autres contes aujourd’hui bien connus tels que L’Oiseau Bleu ou Les Aventures de Finette. Raymonde Robert attribue cet oubli injuste Ă  plusieurs facteurs. Tout d’abord, la conjoncture littĂ©raire qui rĂšgne Ă  l’époqu..

    Préface

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    « La naĂŻvetĂ© bien entendue n’est pas connue de tout le monde. »Marie-Jeanne LhĂ©ritier, ƒuvres meslĂ©es (1695). « J’ai ouĂŻ parler d’une Dame qui a fait de ces contes de fĂ©es, et qui est la premiĂšre Ă  se moquer et des libraires et des lecteurs qui les ont achetĂ©s. Elle dit partout que c’est la plus mauvaise marchandise du monde, mais enfin on en veut, dit-elle, on me les paie bien, j’en donnerai tant qu’on voudra. »Pierre de Villiers, Entretiens sur les contes de fĂ©es(1699). Bien des Ă©poquesont ..

    Mademoiselle LhĂ©ritier, Mademoiselle Bernard, Mademoiselle de La Force, Madame Durand, Madame d’Auneuil, Contes

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    Une brĂšve « Introduction » qui situe de maniĂšre succincte la production du « Cercle des conteuses » (p. 7-11) est suivie d’une « Bibliographie gĂ©nĂ©rale » sur deux pages et en quatre parties, la premiĂšre, « Sur l’écriture fĂ©minine au xviie siĂšcle », une deuxiĂšme « Sur les contes de fĂ©es au xviie siĂšcle », une troisiĂšme, « Sur la littĂ©rature populaire » et une quatriĂšme, la liste des « Dictionnaires utilisĂ©s ». Cette bibliographie forcĂ©ment limitĂ©e vient en complĂ©ment de celle qui figure en fin..
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