8 research outputs found

    The interplay of style, information structure and definiteness: Double indirect objects in Figuig Berber narratives

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    In Figuig Berber, like in many other Berber languages, it is possible to express the indirect object by a lexical expression and by a pronominal clitic in the same sentence. This construction, called “dative doubling” in the literature, is in variation with constructions that do not have a pronominal clitic. In this article, dative doubling is studied in two corpora, one written corpus (Benamara 2011), and one spoken corpus, collected by the author. It is shown that dative doubling is all but absent in the written corpus, while it is quite frequent in the spoken corpus. In the spoken corpus, there is a clear correlation with information structure. Dative doubling is only rarely found with indirect objects that express new information, while it appears more than half of the times when indirect objects express old information. In addition, it is obligatory when expressing old information with the verb ini ‘to say’.L’interaction du style, de la structure informationnelle et de la dĂ©finitude : les objets indirects doubles dans les rĂ©cits en berbĂšre de Figuig En berbĂšre de Figuig, Ă  l’instar d’autres langues berbĂšres, il est possible d’exprimer l’objet indirect dans le mĂȘme Ă©noncĂ©, et par une expression lexicale, et par un Ă©lĂ©ment pronominal. Cette construction, connue par le terme “redoublement datif”, entre en variation avec des constructions oĂč l’expression pronominale fait dĂ©faut. Dans cet article, nous Ă©tudierons le redoublement datif dans un corpus Ă©crit (Benamara 2011) et dans un corpus oral, recueilli par nous-mĂȘmes. Nous dĂ©montrons que le redoublement datif est quasiment absent dans le corpus Ă©crit, tandis qu’il est bien attestĂ© dans le corpus oral. Dans le corpus oral, son emploi montre une corrĂ©lation assez claire avec la structure informative de la phrase. Tandis qu’il est trĂšs rare d’avoir le redoublement datif avec des objets indirects qui donnent des informations nouvelles, il se trouve dans plus de la moitiĂ© des objets indirects exprimant des informations anciennes. En outre, il s’avĂšre obligatoire quand des informations anciennes sont exprimĂ©es avec le verbe ini ‘dire’

    Rwina

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    Les Premiers Emprunts Arabes en BerbĂšre

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    On genitive linking in Songhay

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    Die Songhaysprachen verwenden unterschiedliche Konstruktionen, um Genitivbeziehungen auszudrĂŒcken. In den hier 'Mainstream' genannten Songhaysprachen findet sich vornehmlich eine Konstruktion ohne weitere Verbindungselemente mit dem Possessor an erster Stellung. In den so genannten nördlichen Songhaysprachen findet sich die gleiche Reihenfolge von Possessor und Possessum, dort werden sie jedoch durch eine Adposition n getrennt. Die Forschung hat bisher meistens die Ansicht vertreten, dieses n sei aus dem Tuareg entlehnt worden, wo man ja eine GenitivprĂ€position n hat. Diese Ableitung ist jedoch problematisch, da im Tuareg der Possessor dem Possessum folgt, also eine umgekehrte Reihenfolge wie im Songhay vorliegt. In diesem Artikel werde ich versuchen, fĂŒr eine songhay-interne Ableitung von n zu argumentieren. Zwei verschiedene Lösungen werden vorgeschlagen. Der erste AnÂŹsatz geht davon aus, dass es sich um das Relikt einer alten Genitivpartikel, ĂĄnĂš, handelt, die sich noch im Pronomen wane 'der von' finden lĂ€sst. Im zweiten Ansatz wird angenommen, dass n ursprĂŒnglich die Trennung von zwei NPs markierte. Im Mainstream Songhay hĂ€tte sich dieses Element zum Transitivmarkierer im Perfektiv entwickelt, im nördlichen Songhay dagegen zum Markierer von Genetivkonstruktionen haben.Dans les langues songhay, plusieurs constructions sont employĂ©s pour exprimer une relation gĂ©nitive. Dans les langues appelĂ©es ici « mainstream », comme les langues parlĂ©es aux bords du fleuve Niger, la construction la plus employĂ©e est la simple prĂ©position du possesseur au possĂ©dĂ©. Dans les langues dites septentrionales, parlĂ©es au Sahara, la construction non-marquĂ©e a un Ă©lĂ©ment n qui se met entre le possesseur et le possĂ©dĂ©. Dans la littĂ©rature, il a Ă©tĂ© proposĂ© que cet Ă©lĂ©ment n soit un emprunt au touareg, qui a une prĂ©position gĂ©nitivale n. Cette dĂ©rivation n’est pas sans problĂšmes, surtout parce qu’en touareg l’on emploie l’ordre « possĂ©dĂ© n possesseur », c'est-Ă -dire, l’ordre invers du songhay septentrional. Dans cet article, nous Ă©tudierons les possibilitĂ©s d’une dĂ©rivation interne au songhay. Deux pistes seront empruntĂ©s. Selon une premiĂšre explication, n serait une abbrĂ©viation d’un ancien Ă©lĂ©ment gĂ©nitival *ĂĄnĂš qui serait encore prĂ©servĂ© dans le pronom wane « celui de ». Selon une deuxiĂšme explication, n serait un ancien Ă©lĂ©ment syntaxique pour disjoindre les NPs. En songhay mainstream, cet Ă©lĂ©ment se serait dĂ©veloppĂ© en Ă©lĂ©ment « transitivant » du perfectif, tandis qu’en songhay septentrional, il se serait spĂ©cialisĂ© en marqueur de la relation gĂ©nitivale

    A Tasawaq (Northern Songhay, Niger) Text with Grammatical Notes

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    This paper provides a grammatical sketch and text of Tasawaq, a Northern Songhay language spoken in Nige

    Les inaccomplis du Tarifit

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    International audienc
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