8 research outputs found

    Inland valley rice production systems and malaria infection and disease in the forest region of western Côte d'Ivoire

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    Background: This study aimed to determine the epidemiological impact of rice cultivation in inland valleys on malaria in the forest region of western Côte d'Ivoire. The importance of malaria was compared in terms of prevalence and parasite density of infections and also in terms of clinical malaria incidence between three agro-ecosystems: (i) uncultivated inland valleys, (R0), (ii) inland valleys with one annual rice cultivation in the rainy season, (R1) and (iii) developed inland valleys with two annual rice cultivation cycles, (R2). Methods: Between May 1998 and March 1999, seven villages of each agro-ecosystem (R0, R1 and R2) were randomly selected among villages pooled by farming system. In these 21 villages, a total of 1,900 people of all age groups were randomly selected and clinically monitored during one year. Clinical and parasitological information was obtained by active case detection of malaria episodes carried out during eight periods of five consecutive days scheduled at six weekly intervals and by cross-sectional surveys. Results: Plasmodium falciparum was the principal parasite observed in the three agro-ecosystems. A level of holoendemicity of malaria was observed in the three agro-ecosystems with more than 75% of children less than 12 months old infected. Geometric mean parasite density in asymptomatic persons varied between 180 and 206 P. falciparum asexual forms per μL of blood and was associated with season and with age, but not with farming system. The mean annual malaria incidence rate reached 0.7 (95% IC 0.5-0.9) malaria episodes per person in R0, 0.7 (95% IC 0.6-0.9) in R1 and 0.6 (95% IC 0.5-0.7) in R2. The burden of malaria was the highest among children under two years of age, with at least four attacks by person-year. Then malaria incidence decreased by half in the two to four-year age group. From the age of five years, the incidence was lower than one attack by person-year. Malaria incidence varied with season with more cases in the rainy season than in the dry season but not with farming system. Conclusion: In the forest area of western Côte d'Ivoire, inland valley rice cultivation was not significantly associated with malaria burden

    Contribution à l'épidémiologie de la malaria et à son contrôle en Côte d'Ivoire

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    En Côte-d'Ivoire, le développement de la culture de riz dans les bas-fonds n'a pas d'effet ni sur l'infection ni sur la maladie palustre, en zone de savane comme en zone de forêt. Le parasite Plasmodium falciparum a été trouvé très résistant au traitement par la chloroquine en zone forestière alors qu'il y était sensible en zone de savane. Inversement, le vecteur Anopheles gambiae s.l. a été trouvé résistant aux insecticides pyréthrinoïdes en zone de savane alors qu'il y était sensible en zone forestière. Cette résistance est liée à une mutation du gène kdr. La mise en place au niveau national des combinaisons thérapeutiques à base d'artémisinine a permis de résoudre le problème de la résistance des parasites à la chloroquine. Par ailleurs, il a été démontré que les moustiquaires imprégnées de pyréthrinoïdes utilisées dans la lutte antivectorielle ont conservé leur efficacité contre la morbidité de la malaria dans les zones où An. gambiae s.l. a été trouvé résistant à ces insecticides

    Evaluation globale du Stabex. Vol. 1 : Rapport intermédiaire (1ère phase). Vol. 2 : Rapport provisoire de phase II : suggestions pour le futur du Stabex. Vol. 3 : Document annexe : simulation des chutes de recettes d'exportations pour chacun des pays ACP de 1988 à 1996 pour différents types de flux et selon différentes méthodes

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    Le Stabex est un instrument de coopération destiné à compenser les pays ACP ayant à faire face aux chutes de recettes d'exportation des produits agricoles, qu'elles soient dues aux aléas de climat ou à ceux des marchés internationaux, et visant en particulier à aider les producteurs de ces biens. Après plus de vingt ans de succès, le Stabex est l'objet de critiques diverses touchant à ses modalités et ses objectifs mêmes. Une évaluation globale était donc nécessaire pour guider la réflexion quant à son avenir. Au delà des problèmes spécifiques du renouvellement de la Convention de Lomé, une question plus générale est posée à travers l'évolution du Stabex, celle de la capacité des institutions internationales (ou d'organismes extérieurs) à promouvoir dans des pays en développement une gestion efficace des risques encourus par les parties les plus pauvres de leurs populations, que sont généralement les agriculteur
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