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    Le calcul différentiel et intégral dans l’Analyse démontrée de Charles René Reyneau 

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    D’Alembert a appris le calcul différentiel et intégral dans L’Analyse démontrée de Charles René Reyneau. Une grande partie de ce traité est consacrée à l’algèbre et à ses applications géométriques. Les éléments du calcul différentiel sont introduits progressivement, avec une volonté pédagogique évidente. Les méthodes de calcul intégral ne sont encore présentes qu’en nombre limité, mais elles sont illustrées par de très nombreux exemples géométriques et physico-mathématiques, y compris des problèmes concernant les courbes transcendantes. Le traité rend manifeste l’extension du champ des mathématiques qui s’est réalisée avec Leibniz. On peut y repérer quelques-uns des problèmes fondateurs des méthodes de l’analyse du xviiie siècle.Differential and integral calculus in Charles René Reyneau’s  L’Analyse démontrée D’Alembert learned the calculus from Charles René Reyneau’s L’Analyse démontrée. A great part of this textbook is devoted to algebra and its geometric applications. Elements of differential calculus are introduced gradually, with an obvious pedagogical intent. Only a small number of integration methods are included, but they are illustrated with many geometrical and physico-mathematical examples, including problems concerning transcendent curves. This work shows how the field of mathematics was widened by Leibniz, and indicates some of the problems which were to concern the foundations and methods of analysis during the 18th century

    Fertilisation du maĂŻs : juste ce qu'il faut

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    National audienc

    Quelques aspects de l'analyse Ă  l'Ă©poque de Lagrange (le rĂ´le des analogies)

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    L'analyse à l'époque de Lagrange est étudiée à travers quatre thèmes. Trois d'entre eux concernent l'analogie des puissances et des différentielles. Dans un quatrième, se pose la question des relations entre le calcul différentiel et le calcul aux différences finies. Lagrange donne à la méthode de variation de la constante une portée générale qui intéresse les équations différentielles, les équations aux différences finies linéaires et les problèmes de Mécanique céleste. Dès les années 1760, se mettent en place des éléments qui, au XIXème siècle, permettront de constater les analogies entre les équations différentielles linéaires et les équations algébriques. Un traitement spécifique des constantes d'intégration se manifeste aussi dans la théorie des solutions singulières due à Lagrange. Cette théorie ne s'adapte pas de façon immédiate au cas des équations aux différences finies. Lagrange en tire argument pour disqualifier les conceptions de l'Analyse qui reposent sur un passage du fini à l'infiniment petit. La résolution de certaines équations aux dérivées partielles fait apparaître des séries formées à l'aide des dérivées successives d'une fonction arbitraire, celles-ci se prêtent à l'utilisation de méthodes symboliques. Ce domaine est exploré par Brisson, Laplace et Poisson. En utilisant les termes mêmes par lesquels Lagrange démontre la formule de Taylor, Brisson établit, pour les opérateurs différentiels, une formule analogue. L'analogie des puissances et des différences a un statut très particulier dans l'oeuvre de Lagrange : elle est étroitement liée à une conception fondamentale de l'Analyse reposant sur la série de Taylor, mais elle conserve un caractère inductif.LILLE1-BU (590092102) / SudocSudocFranceF

    Fisheries, biology and aquaculture of pectinids. 8th International Pectinid Workshop, Cherbourg (France), 22-29 mai 1991

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    The first pectinid workshop was initiated in 1976 by a team of scientists working on the sea scallop and its related species. This research group was then relatively small, composed mainly of European nationals. The fist meeting was held in Ireland for a period of one week. It resulted in a very positive interaction among the participants, discussing such topics as aquaculture, fisheries and the biology of these bivalves. Due to this initial success, it was decided that meetings were to be held every two years in a similar informal style. However, invitations for participation were extended to scientists of other countries such as Japan, U.S.A., Canada, South America, Australia and New Zealand. The 7th Workshop brought together over one hundred researchers in Portland, U.S.A. It ended, as tradition demands, with the election of the new president, responsible for the following meeting. At this time, Professeur Pierre Lubet was awarded the honour to organize the 1991 meeting in France. Professeur Lubet chose the city of Cherbourg due to the advantages offered by the region of Basse-Normandie, the Department of La Manche and Cherbourg itself. One hundred scientists, coming from approximately twenty countries including China and the USSR, met in Cherbourg May 22-29, 1991. The main themes of discussion were: - Fisheries status for various pectinid species - Aquaculture development and trials - Reproduction, growth, nutrition and genetics of pectinidsL’Atelier "Pectinidés" est né en 1976, sous l'impulsion de deux chercheurs travaillant sur la coquille Saint-Jacques, l'un en Ecosse et l'autre en Irlande. La première réunion s'est tenue en Irlande, dans une ambiance chaleureuse et passionnée, regroupant une quarantaine de participants, chercheurs, enseignants et étudiants. C'était l'époque du début de l'aquaculture en Europe, les perspectives semblaient sans limites. Mais les connaissances étaient encore embryonnaires et les démarches empiriques. La référence incontestable était représentée par le Japon qui démarrait alors depuis quelques années un spectaculaire développement d'une espèce voisine. Cette réunion s'est avérée être un forum particulièrement animé et positif sur l'ensemble des thèmes  abordés, non seulement l'aquaculture, mais aussi la pêche et la biologie des Pectinidés. Il a alors été décidé de reconduire ces rencontres, en maintenant le style informel, un rythme pas trop fréquent, et en ouvrant l'Atelier aux chercheurs d'autres pays, d'autres espèces, sur toutes les problématiques d'aménagement. Le président serait chargé de l'organisation de la réunion à venir. L’Atelier “Pectinidés” s'est ainsi successivement déplacé à Brest (1978), à l'île de Man (1981), à Aberdeen (1983), à La Corogne (1985), à Menai Bridge (1987). Il est sorti d'Europe pour les États-Unis, à Portland (1989). Chaque réunion a permis d'accueillir de nouveaux résultats, plus rigoureux, plus thématiques au fur et à mesure que se sont affinées les connaissances sur les  mollusques bivalves en général et les Pectinidés en particulier. Le rapport entre les communications sur les expériences zootechniques de captage de naissain et d’élevage, sur l'évolution des pêcheries et celles sur la physiologie, la nutrition, la pathologie et la génétique s'est inversé au profit des recherches thématiques. Mais l'ambiance enthousiaste de communication, d'échanges, s'est soigneusement maintenue et a fait la réputation internationale de cet Atelier, qui s'est choisi comme période le début du printemps boréal, cette intersaison permettant de satisfaire la majorité des calendriers d'expérimentation sur le terrain, hémisphère sud compris. C'est au Professeur Pierre Lubet, de l'Université de Caen qu'est revenu l'honneur d'organiser en France la réunion de 1991. Il a choisi la ville de Cherbourg en raison des avantages que lui offraient la région de Basse-Normandie, le département de la Manche et la ville de Cherbourg, très tournée vers les activités maritimes et pratiquant la pêche de la coquille Saint-Jacques. Plus de cent chercheurs, en provenance d'une vingtaine de pays des quatre coins du monde, se sont retrouvés pendant une semaine pour débattre des thèmes sur les pêches des différentes espèces, les essais et les développements aquacoles, les équilibres écologiques de ces ressources et les bases biologiques de la famille des Pectinidés. Le regroupement des communications ne permet qu'une appréciation imparfaite des échanges. On peut cependant mesurer la somme de travail sous-jacent, autant dans la progression des connaissances sur la biologie, l'écologie et les techniques de pêche et d'élevage, que dans le développement des productions : l'aquaculture s'est maintenant hissée à une place de premier plan, dépassant en volume celle des pêches

    Appréciation de l’alimentation en zinc du maïs par la détermination du rapport Fe/Zn dans les parties aériennes du végétal

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    National audienceFrom 1972 to 1981, Fe/Zn ratios were measured in the aerial parts of Zn-deficient or non-deficient maize plants. The plants were sampled at different stages of development in field experiments or in crops with signs of Zn deficiency. The tissue Fe/Zn ratio appeared to be a better criterion for predicting zinc deficiency in maize than the determination of zinc alone in plants originating from non-calcareous soils Fe/Zn ratios greater than 24 were related to a strong probability of Zn deficiency. Plants originating from calcareous soils, Fe/Zn ratios higher than 12, associated with critical Zn levels of 16 ppm, indicated a very probable response to applied Zn.On a mesuré de 1972 à 1981 le rapport Fe/Zn dans les parties aériennes de maïs atteints ou non de carence en zinc. Les échantillons ont été prélevés, à deux stades de végétation, soit dans des dispositifs expérimentaux de plein champ, soit dans des cultures où se manifestait la carence. Le rapport Fe/Zn apparaît comme beaucoup plus discriminant que la seule détermination de la teneur en zinc pour la prévision de la carence zincique chez les plantes qui se développent en sols non calcaires : la valeur critique de ce rapport, au-delà de laquelle la déficience est hautement probable pour ce type de sols, a pu être estimée à 24 pour la population étudiée. Dans le cas de plantes provenant de sols calcaires, la carence en zinc peut être fortement suspectée pour des rapports Fe/Zn supérieurs à 12, associés à des teneurs en zinc inférieures à 16 ppm

    Appréciation de l’alimentation en zinc du maïs par la détermination du rapport Fe/Zn dans les parties aériennes du végétal

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    National audienceFrom 1972 to 1981, Fe/Zn ratios were measured in the aerial parts of Zn-deficient or non-deficient maize plants. The plants were sampled at different stages of development in field experiments or in crops with signs of Zn deficiency. The tissue Fe/Zn ratio appeared to be a better criterion for predicting zinc deficiency in maize than the determination of zinc alone in plants originating from non-calcareous soils Fe/Zn ratios greater than 24 were related to a strong probability of Zn deficiency. Plants originating from calcareous soils, Fe/Zn ratios higher than 12, associated with critical Zn levels of 16 ppm, indicated a very probable response to applied Zn.On a mesuré de 1972 à 1981 le rapport Fe/Zn dans les parties aériennes de maïs atteints ou non de carence en zinc. Les échantillons ont été prélevés, à deux stades de végétation, soit dans des dispositifs expérimentaux de plein champ, soit dans des cultures où se manifestait la carence. Le rapport Fe/Zn apparaît comme beaucoup plus discriminant que la seule détermination de la teneur en zinc pour la prévision de la carence zincique chez les plantes qui se développent en sols non calcaires : la valeur critique de ce rapport, au-delà de laquelle la déficience est hautement probable pour ce type de sols, a pu être estimée à 24 pour la population étudiée. Dans le cas de plantes provenant de sols calcaires, la carence en zinc peut être fortement suspectée pour des rapports Fe/Zn supérieurs à 12, associés à des teneurs en zinc inférieures à 16 ppm
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