30 research outputs found

    Caesarea Mauretaniae

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    Le petit port de Cherchel en AlgĂ©rie occupe l’emplacement de Caesarea de MaurĂ©tanie qui fut dans l’antiquitĂ© romaine une des plus importantes villes d’Afrique du Nord. HĂ©ritiĂšre de Iol, qui fut peut-ĂȘtre une des capitales du roi numide massyle, Micipsa, puis du maure Bocchus, elle fut rebaptisĂ©e Caesarea par le roi Juba II, le fils de Juba Ier, l’alliĂ© de PompĂ©e, qu’Auguste plaça en 25 av. J.-C. Ă  la tĂȘte du royaume maurĂ©tanien restaurĂ©. PtolĂ©mĂ©e succĂ©da Ă  son pĂšre Juba en 23 ap. J.-C. ; mais..

    Caesarea Mauretaniae

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    Le petit port de Cherchel en AlgĂ©rie occupe l’emplacement de Caesarea de MaurĂ©tanie qui fut dans l’antiquitĂ© romaine une des plus importantes villes d’Afrique du Nord. HĂ©ritiĂšre de Iol, qui fut peut-ĂȘtre une des capitales du roi numide massyle, Micipsa, puis du maure Bocchus, elle fut rebaptisĂ©e Caesarea par le roi Juba II, le fils de Juba Ier, l’alliĂ© de PompĂ©e, qu’Auguste plaça en 25 av. J.-C. Ă  la tĂȘte du royaume maurĂ©tanien restaurĂ©. PtolĂ©mĂ©e succĂ©da Ă  son pĂšre Juba en 23 ap. J.-C. ; mais..

    Chinalaph

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    PtolĂ©mĂ©e mentionne le Chinalaph (χÎčvαλαφ) dont l’embouchure se situait entre Caesarea (Cherchel) et Gunugu (Sidi Brahim, Ă  l’ouest de Gouraya) (PtolĂ©mĂ©e, IV, 2, 2 et 5). MĂŒller (Ă©d. de PtolĂ©mĂ©e, p. 596) proposait d’y voir l’Oued Messelmoun (St. Gsell, Atlas ArchĂ©ologique de l’AlgĂ©rie, Paris 1911, f. 4, 9) et suggĂ©rait de corriger Chinalaph en Chinalath pour l’accorder avec la terminaison d’autres hydronymes mentionnĂ©s par PtolĂ©mĂ©e. Cette identification semble la plus vraisemblable, bien qu’el..

    Ancorarius ou Anchorarius mons

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    Nom d’une montagne de MaurĂ©tanie CĂ©sarienne qui apparaĂźt dans deux textes : Pline l’Ancien, XIII, 95 Ă  propos du citrus et Ammien Marcellin XXIX, 5, 17, dans le rĂ©cit de la guerre contre Firmus. Ce nom semble dĂ©rivĂ© du latin ancora et ne prĂ©senter aucun caractĂšre indigĂšne. Mais on ne peut dire s’il s’agit de la traduction latine d’un toponyme indigĂšne ou d’un toponyme forgĂ© pour une raison qui nous Ă©chappe. Pourtant F. Khadra (Les Djeddars, monuments funĂ©raires de la rĂ©gion de Frenda, Alger, ..

    AĆĄir

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    L. Golvin CitĂ© mĂ©diĂ©vale ruinĂ©e dans la rĂ©gion du Titteri (AlgĂ©rie centrale), Ă  cent cinquante kilomĂštres Ă  vol d’oiseau au sud d’Alger, sur le flanc mĂ©ridional du Kef al-Aáș–dār al-Ć arqÄ« (1464 m d’altitude). Le site, un petit plateau, domine une immense plaine vers le sud. Sa valeur stratĂ©gique indĂ©niable en faisait un lieu de prĂ©dilection pour l’édification d’une citĂ© forteresse ; vĂ©ritable sentinelle avancĂ©e gardant la montagne contre les entreprises des nomades de la plaine. Au xe siĂšcle, d..

    Chenoua

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    Le massif et sa population (Ph. Leveau) A l’est de la Mitidja, le ChĂ©noua est un petit massif de forme grossiĂšrement ovale mesurant 13 km d’est en ouest, 8 km du nord au sud et baignĂ© au nord par la mer. Un couloir de plateaux et la plaine alluviale de l’oued el-Hachem le sĂ©parent des montagnes telliennes du sud. C’est un massif original qui, comme le cap TenĂšs Ă  l’ouest, appartient Ă  la zone primaire kabyle (zone I de Glangeaud). Une chaĂźne calcaire formĂ©e de lias massif et culminant Ă  904 m..

    AurĂšs

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    PrĂ©histoire (E.B.) Les recherches prĂ©historiques demeurent encore au stade de la prospection dans l’ensemble de l’AurĂšs. Un seul gisement connu depuis le dĂ©but du siĂšcle, a fait l’objet d’une fouille moderne : la grotte du Khanguet Si Mohamed Tahar (connue aussi sous le nom de grotte Cappeletti), encore est-elle situĂ©e sur le versant nord du massif, surplombant le bassin de Timgad. Ce gisement a servi Ă  dĂ©finir un faciĂšs du NĂ©olithique de tradition capsienne (C. Roubet, 1979). Cependant l’occ..

    Finding the Needles in the Metagenome Haystack

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    In the collective genomes (the metagenome) of the microorganisms inhabiting the Earth’s diverse environments is written the history of life on this planet. New molecular tools developed and used for the past 15 years by microbial ecologists are facilitating the extraction, cloning, screening, and sequencing of these genomes. This approach allows microbial ecologists to access and study the full range of microbial diversity, regardless of our ability to culture organisms, and provides an unprecedented access to the breadth of natural products that these genomes encode. However, there is no way that the mere collection of sequences, no matter how expansive, can provide full coverage of the complex world of microbial metagenomes within the foreseeable future. Furthermore, although it is possible to fish out highly informative and useful genes from the sea of gene diversity in the environment, this can be a highly tedious and inefficient procedure. Microbial ecologists must be clever in their pursuit of ecologically relevant, valuable, and niche-defining genomic information within the vast haystack of microbial diversity. In this report, we seek to describe advances and prospects that will help microbial ecologists glean more knowledge from investigations into metagenomes. These include technological advances in sequencing and cloning methodologies, as well as improvements in annotation and comparative sequence analysis. More significant, however, will be ways to focus in on various subsets of the metagenome that may be of particular relevance, either by limiting the target community under study or improving the focus or speed of screening procedures. Lastly, given the cost and infrastructure necessary for large metagenome projects, and the almost inexhaustible amount of data they can produce, trends toward broader use of metagenome data across the research community coupled with the needed investment in bioinformatics infrastructure devoted to metagenomics will no doubt further increase the value of metagenomic studies in various environments
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