63 research outputs found

    Test d'un cCapteur de mesure du temps de pâturage et de rumination sur des vaches laitières au pâturage

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    peer reviewedUse of automated tools on farms is increasing worldwide and there are diverse applications available including optimization of grazing through monitoring rumination and ingestion times. The objective of this study was to evaluate the accuracy of the sensor developed by Medria to estimate grazing (G) and rumination (Ru) on pasture. This sensor includes a tri-axial accelerometer and provides data every 5 minutes. The trial lasted 12 days on 12 grazing cows in the CTA (Belgium), representing 380 h of observations. The data registered by the Medria device (M) were compared with visual observation (VO). The datasets were compared using Fleiss-Îş estimating the concordance of 5-min observations and linear regression analysis was used to estimate the Pearson correlation coefficients (rp) and relative prediction error (RPE). Moderate for G (Îş=0.502) and poor agreement for Ru (Îş=0.175) were observed. Linear relationship between VO and M was highlighted with rp: 0.793; P<0.001 for G and rp=0.32; P<0.05 for Ru. The relative error prediction was 0.16 and 0.44 for G and Ru respectively. With regards to these results, reliable data about grazing are provided on a daily basis. The reliability of rumination data was poor

    Effet de la permission de traite sur la circulation et la production laitère de vaches traites par un robot de traite au pâturage

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    peer reviewedIn dairy farms automatic milking systems and grazing, traffic to the robot is the cornerstone of profitability as higher milking frequency enhances milk yield. In this study, we investigated whether shortening the minimum milking interval (MMI), i.e., the required time between two milkings for an animal to get access to the milking unit, coupled with high concentrate allocation, could increase the daily milking frequency (MF, milking/cow/day) and consequently the milk yield of grazing cows. Two groups of cows (n = 19 and n = 20) belonging to the same herd were discriminated based on concentrate supply (high vs. low: 4 vs. 2 kg/cow/day) and then further divided on the basis of MMI (4 h vs. 6 h) so that four groups were formed (HC4 h–HC6 h–LC4 h and finally LC6 h). Higher concentrate allocation induced a rise in milk yield (MY, kg/cow/day) and allowed to stabilize it in periods of grass shortage but did not influence milking frequency, while shorter MMI (4 h) was correlated with higher MF without effect on MY. A combination of both strategies (4 h and high concentrate) improved the traffic globally to the robot. This result was linked to a reduction of refused milking and, therefore, the decrease in returns to the robot. This strategy could be advised to maximize the system’s efficiency during periods of high milk sales. When the economic conditions do not favour the increase in concentrate supply, short MMI could facilitate the traffic and increase the efficiency of returns.Autograssmilk - Innovative and sustainable systems combining automatic milking and precision grazin

    Relationship between parathion and paraoxon toxicokinetics, lung metabolic activity and cholinesterase inhibition

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    Worldwide intensification of agriculture practices is linked to extended use of pesticides. Despite the development of more recent molecules, organophosphates remain widely used. Environmental problems related to their use are numerous (e.g contamination of water tables, impact on biodiversity). Moreover, these substances are toxic for human beings and large and small animals with acute and chronic intoxication symptoms. Numerous uncertainties remain about their mechanism of action and metabolism pathways. Indeed, these substances can be transformed in molecules with lowered or increased toxicity and these transformations can occur in several tissues (e.g liver, lung, blood, brain). The aim of this study was then to evaluate the role of lung tissue in parathion and paraoxon toxicity for a better understanding of the determinism of observed symptoms.L'intensification des pratiques agricoles a conduit à un recours accru aux pesticides. Malgré l'apparition de nouvelles molécules, les organophosphorés sont encore largement utilisés. Les problèmes environnementaux liés à leur utilisation sont nombreux (contamination des nappes phréatiques, impact sur la biodiversité). Par ailleurs, ces substances sont toxiques pour l'homme et pour les animaux de rente /de compagnie de façon aiguë et chronique. De nombreuses incertitudes restent toujours quant à leur mécanisme d'action et à leur métabolisme. En effet, non seulement, ces substances peuvent être transformées en molécules inactivées ou dont le potentiel toxique est augmenté mais aussi ces transformations peuvent avoir lieu dans des organes variés tels que le foie, les poumons, le sang, le cerveau. le but de ce travail était d'évaluer le rôle du tissu pulmonaire dans la toxicité du parathion et du paraoxon afin de mieux comprendre le déterminisme des symptômes observés

    Is the condensed distillers soluble ProtiWanze a valuable alternative in beef catte feeding?

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    La flambée du prix des aliments pour bétail pénalise de plus en plus le revenu par exploitation, vu la part importante des coûts alimentaires dans l’économie de l’exploitation. Pour diminuer ce coût, diverses pistes peuvent être suivies : favoriser l’autonomie, en diminuant l’achat d’aliments en-dehors de l’exploitation et valoriser au mieux les fourrages - ou incorporer des co-produits issus de l’industrie qui sont moins coûteux. Dans cette optique, en partenariat avec la Région Wallonne et BioWanze, le département Clinique des Animaux de Production de l’Université de Liège a étudié les possibilités de valorisation du ProtiWanze®, co-produit de la fabrication de bio-éthanol, dans l’alimentation de bovins viandeux pendant 2 années consécutives. Afin d’étudier l’impact de son utilisation en spéculation viandeuse, 3 exploitations de vaches allaitantes (2 BB et 1 Blonde d’Aquitaine en 2011, 3 exploitations BB en 2012) et 2 exploitations de taureaux à l’engrais (1 BB et 1 Blonde d’Aquitaine en 2011, 2 BB en 2012) ont été suivies 1 fois par mois pendant la période hivernale, 2 années consécutives. La production des animaux a été évaluée par différents indicateurs. Ainsi, les scores de santé, à savoir le score d’état corporel (SC), le remplissage du rumen (RR), le score de consistance fécale (CF), la fraction fécale non digérée (FF) et le score de locomotion (SL), ont été relevés lors de chaque visite, durant 4 mois. A cette occasion, du jus de rumen a été prélevé et analysé afin de vérifier l’impact de l’utilisation du ProtiWanze® sur la santé du rumen. L’influence sur la reproduction a été évaluée par la récolte des données suivantes: intervalle vêlage - vêlage, nombre de veau/vache/an, nombre d’inséminations nécessaires pour obtenir une gestation, âge au premier vêlage. Chez les taureaux, l’indice de consommation, le gain quotidien moyen et le rendement à l’abattage ont été calculés. L’effet de l’incorporation du ProtiWanze® dans l’alimentation des vaches allaitantes et des taureaux à l’engrais n’a eu aucun effet négatif. Au contraire, le ProtiWanze® a permis de bien valoriser la ration à base de fourrages sans induire d’inrumination ou d’encombrement du rumen. L’avantage moyen lié au ProtiWanze® par rapport à un apport de protéines par un mélange 1/3 tourteau de soya+2/3 tourteau de colza est de 8 à 10 cents en 2011 respectivement pour les vaches allaitantes et les taureaux et de 3 à 4 cents en 2012. Cette faible différence calculée en 2012 entre les rations (ProtiWanze® vs TS+TC) est liée à la diminution de la teneur en protéines du ProtiWanze® (262 g MAT/kg MS en 2012 vs 282 g MAT/kg MS en 2011) alors que son prix a augmenté (de 170 €/kg de MS en 2011 à 200 €/kg de MS en 2012). Néanmoins il ne faut pas oublier que la comparaison de prix ne tient compte que de l’apport en protéines du ProtiWanze® sans prendre en compte sa richesse en énergie. Il reste néanmoins que le ProtiWanze® semble améliorer la digestion de la ration et promouvoir la production laitière chez les vaches allaitantes.Valorisation des solubles de blé liquides co-produits lors de la fabrication de bio-éthanol (ProtiWanze®)dans l’alimentation des bovins en Walloni

    L'augmentation du niveau de supplémentation en solubles de blé (PROTIWANZE®) a-t-elle une influence sur la production des vaches laitières?

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    INTRODUCTION The objective of this study was to evaluate whether introducing the condensed distillers solubles Protiwanze® (PW) at different concentrations in dairy cows diet induces changes in milk production. MATERIAL AND METHODS Three herds (72 Holstein and 25 Brown Swiss, DIM = 101 ± 57; daily milk production = 34.90 ± 8.40 L) received successively two RTM differing in PW content for 4 weeks, including a 7-day transition: 0% and 10% on a dry matter basis for Herd 1 and 10% and 15% for Herd 2 and 3. Both concentrations were distributed alternatively and repeated twice, each cow being its own control. Rations were formulated to meet energy and nitrogen requirements. During each testing period, animals were scored (Body Condition, Rumen Fill, Fecal Consistency, Undigested Fraction according to Zaaier (2001)) and their milk production and composition were measured by the Dairy Herd Improvement. RESULTS AND CONCLUSION Increasing the level of PW did not significantly change milk production in any Herd: Values were for Herd 1 at PW0%: 33.08 ± 0.76 L, at 10%: 31.66 ± 0.68 L, for Herd 2 at PW10%: 32.85 ± 0.93 L and at 15%: 32.37 ± 0.89, for Herd 3 at PW10%: 28.71 ± 1.21 L and at 15%: 31.80 ± 1.16. In Herd 1, milk urea decreased from 243.80 ± 4.55 mg/L for PW0% to 218.05 ± 4.03 mg/L for PW10%, (p<0.01), while fat percentage increased from 3.38% ± 0.09 (PW0%) to 3.77% ± 0.08 (PW10%) (p<0.01). Concerning scores, unconclusive changes were observed. Although increasing level of PW in dairy cows diet did not change milk production or composition, it is profitable since PW is 30-40% cheaper than other protein supplements like soya and canola meals. Moreover, it allowed to lower milk cost price by 1,5 eurocent per liter, when used at higher concentration.Valorisation des solubles de blé liquides co-produits lors de la fabrication de bio-éthanol (ProtiWanze®) dans l’alimentation des bovins en Walloni

    Effects of incorporating ProtiWanze in cattle diets.

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    In order to reduce production costs in beef and dairy cattle industry, the effect of introducing ProtiWanze, a condensed distillers soluble in their diets has been studied from 2010 to 2013. Results of this study are demonstrated with emphasy on their impact on feeding costs in beef and dairy cattle.Valorisation des solubles de blé liquides co-produits lors de la fabrication du bioéthanol (ProtiWanze) dans l'alimentation des bovins en Walloni

    Contribution to the highlighting of influencing factors for a successful combination of automatic milking system and grazing

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    Le développement de la traite robotisée a représenté un changement majeur dans le secteur laitier que ce soit au niveau du quotidien des éleveurs, pour les vétérinaires et conseillers en élevage ou l’industrie laitière. Ce changement touche un nombre croissant d’exploitations au point qu’en Belgique, 2017, une nouvelle installation de traite sur 2 était robotisée (Fedagrim, 2019). Dès les années 2000, s’est posée la question de la possibilité de poursuivre le pâturage dans les exploitations robotisées. La réponse à cette interrogation est difficile car liée à différents contextes, par exemple l’obligation de pâturer pour des questions de bien-être animal pendant une certaine période de l’année en Suède, alors que dans certains pays d’élevage plus extensif comme la Nouvelle Zélande ou l’Irlande, le pâturage est incontournable. Les publications relatives à ces questions sont donc conjoncturelles. La première publication intégrée dans cette thèse a recensé les différents systèmes développés dans 7 pays qui ont participé au projet Européen AUTOGRASSMILK. Rapidement, il a été établi que le robot de traite associé au pâturage générait moins de traites. En effet, 2,7 traites automatisées par vache et par jour peuvent être enregistrées en moyenne à l’étable, alors qu’en système pâturant, la fréquence de traite atteint difficilement plus de 2 traites par jour. La gestion de la circulation des animaux vers le robot est généralement plus difficile au pâturage, expliquant la diminution de cet indicateur de performances. Alors qu’à l’étable, le retour vers le robot met en jeu un comportement individuel, en prairie, l’instinct grégaire des animaux se marque davantage, avec pour conséquence une répartition des traites moins homogène sur la journée. D’autres facteurs entrent également en jeu : les vaches sont soumises à d’autres contraintes, telles que la distance au robot, la disponibilité en eau, les aléas climatiques…Les facteurs influençant la circulation des animaux au pâturage peuvent être classés en paramétrables (que l’exploitant peut modifier) et non paramétrables (sur lesquels l’exploitant n’a pas de contrôle). La partie expérimentale de ce travail est divisé en trois parties. Le premier volet concerne les facteurs paramétrables permettant la combinaison du robot et du pâturage, le deuxième volet étudie les facteurs climatiques, non paramétrables et le dernier fait la synthèse des précédentes parties. Le premier article fait l’état des lieux des différentes stratégies mises en place en Europe pour aménager un robot de traite en prairie. La deuxième publication a eu pour objectif de vérifier si les modalités d’attribution de concentré avaient un impact sur la fréquentation du robot par les vaches au pâturage. En effet, à l’étable, il est reconnu que la circulation des animaux est améliorée par la distribution de quantités variables de concentrés. Vérifier l’impact de cette distribution dans un système de robot au pâturage a donc paru judicieux. La gestion des grands troupeaux semble facilitée par les systèmes robotisés. En effet, l’automatisation de la traite permet de suppléer à la demande en main d’œuvre nécessaire pour la gestion d’un troupeau de telles tailles. De plus, la génération de rapports et les différentes alarmes disponibles permettraient de faciliter la surveillance des animaux avec des interventions humaines limitées. Les troisième et quatrième études ont visé à évaluer la possibilité de pratiquer le pâturage dans deux troupeaux de plus de 100 animaux et de vérifier l’intérêt économique de cet aménagement. Les animaux en prairie sont davantage soumis aux aléas climatiques susceptibles de modifier leur comportement. Or, dans le contexte du réchauffement climatique, les épisodes de stress thermiques deviennent plus fréquents. L’objectif de la cinquième étude a été de quantifier les impacts de conditions météorologiques contrastées sur les déplacements, la production laitière et le temps de rumination des vaches laitières en système 100% pâturant.AUTOGRASSMILK - Innovative and sustainable systems combining automatic milking and precision grazin

    Is ProtiWanze a valuable alternative to soy and canola meals in cattle feeding?

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    Suite à une conscientisation de plus en plus forte de la problématique environnementale, la production de biocarburants s’est développée un peu partout dans le monde. C’est en Wallonie que la plus grande usine de production de bioéthanol de Belgique, BioWanze, a été inaugurée, en décembre 2008. Le ProtiWanze® est différent des autres co-produits issus de la fabrication de bioéthanol. En effet, il est élaboré à partir d’un substrat unique, le froment alors que le plus souvent les usines de production de biocarburants utilisent comme matières premières le maïs, le seigle, l’orge, la canne à sucre, seuls ou en mélanges en proportions variables suivant les prix du marché. Par conséquent, ces co-produits destinés à l’alimentation animale ont des caractéristiques variant au gré des mélanges sélectionnés alors que le ProtiWanze® est relativement stable. Les principaux atouts du ProtiWanze® sont sa teneur en énergie (1130 VEM) et sa teneur en protéines (280 g Matière azotée totale/kg de matière sèche en moyenne). Il est pauvre en matière sèche (teneur moyenne de 27%) et se présente sous forme liquide, ce qui réduit sa valeur d’encombrement au niveau du rumen. L’incorporation du ProtiWanze® dans l’alimentation des bovins en Wallonie a fait l’objet d’un suivi par l’Université de Liège et a été testé chez les vaches laitières, les vaches allaitantes et les taureaux à l’engrais et ce 2 années consécutives. Les résultats tant zootechniques qu’économiques liées à l’utilisation de cet aliment font l’objet de cette présentation.Valorisation des solubles de blé liquides co-produits lors de la fabrication de bio-éthanol (ProtiWanze®) dans l’alimentation des bovins en Walloni
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