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EANO guideline on rational molecular testing of gliomas, glioneuronal, and neuronal tumors in adults for targeted therapy selection
The mainstay of treatment for adult patients with gliomas, glioneuronal and neuronal tumors consists of combinations of surgery, radiotherapy, and chemotherapy. For many systemic cancers, targeted treatments are a part of the standard of care, however, the predictive significance of most of these targets in central nervous system (CNS) tumors remains less well-studied. Despite that, there is increasing use of advanced molecular diagnostics that identify potential targets, and tumor-agnostic regulatory approvals on targets also present in CNS tumors have been granted. This raises the question of when and for which targets it is meaningful to test in adult patients with CNS tumors. This evidence-based guideline reviews the evidence available for targeted treatment for alterations in the RAS/MAPK pathway (BRAF, NF1), in growth factor receptors (EGFR, ALK, fibroblast growth factor receptor (FGFR), neurotrophic tyrosine receptor kinase (NTRK), platelet-derived growth factor receptor alpha, and ROS1), in cell cycle signaling (CDK4/6, MDM2/4, and TSC1/2) and altered genomic stability (mismatch repair, POLE, high tumor mutational burden (TMB), homologous recombination deficiency) in adult patients with gliomas, glioneuronal and neuronal tumors. At present, targeted treatment for BRAF p.V600E alterations is to be considered part of the standard of care for patients with recurrent gliomas, pending regulatory approval. For approved tumor agnostic treatments for NTRK fusions and high TMB, the evidence for efficacy in adult patients with CNS tumors is very limited, and treatment should preferably be given within prospective clinical registries and trials. For targeted treatment of CNS tumors with FGFR fusions or mutations, clinical trials are ongoing to confirm modest activity so far observed in basket trials. For all other reviewed targets, evidence of benefit in CNS tumors is currently lacking, and testing/treatment should be in the context of available clinical trials
Ponction à l'aiguille fine de masses pancréatiques sous échoendoscopie (performance diagnostique et impact thérapeutique)
Introduction. Le but de cette étude était d'évaluer l'impact diagnostique et thérapeutique des ponctions à l'aiguille fine (PAF) des masses pancréatiques guidées par échoendoscopie. Méthodes. Soixante-dix patients consécutifs ont été adressés et inclus. La PAF permettait l obtention de matériel étalé sur lames et de microbiopsies placées dans le formol. L amylase et l antigène carcinoembryonnaire étaient dosés dans les masses liquidiennes. L impact thérapeutique était évalué rétrospectivement sur la possibilité d instaurer une prise en charge adaptée au diagnostic final. Résultats. La ponction était techniquement impossible 8 fois. Quarante neuf lésions solides et 13 lésions liquidiennes ont été analysées. Deux patients ont été perdus de vue. Un diagnostic était obtenu chez 60 patients. Les sensibilité, spécificité, et précision des ponctions étaient 69,6%, 66,7%, et 69,4% respectivement pour les masses solides; 100%, 100% et 100% pour les masses liquidiennes. Pour les masses solides, la sensibilité et la précision de la cytologie étaient significativement supérieures à celles de l histologie. La PAF influençait la prise en charge de 45 des 60 patients. Les 15 patients restants comprenaient 1 faux positif et 14 faux négatifs (14 cancers). Conclusion. En intention de traiter, la ponction sous échoendoscopie influence directement la prise en charge des 2/3 des patients.NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF
Entéroscopie poussée par double voie (rendement diagnostique et impacts immédiats, suivi à moyen terme des patients explorés pour saignement digestif)
L'émergence de nouvelles techniques d'exploration du grêle fait discuter les indications de l'entéroscopie. Les buts de notre étude ont été d'évaluer a) son rendement diagnostique, b) son impact thérapeutique, d'analyser c) le suivi à moyen terme des patients adressés pour saignement digestif, d) le taux de récidive hémorragique et e) de rechercher des facteurs prédictifs de récidive. Patients et méthodes : Entre Février 1996 et Mars 2002. 168 patients ont eu une entéroscopie pour anémie (n=53). hémorragie (n=66). douleurs abdominales (n=10), diarrhée (n=9). anomalie radiologique grêle (n=6) ou autre (n=23). Les patients adressés pour saignement digestif ont été suivis 29 mois. Résultats : Le rendement diagnostique a été a) saignement digestif 42% (traitement définitif de la lésion 13%), b) douleur abdominale 10%. c) diarrhée 11% et d) anomalie radiologique 50% (traitement définitif de la lésion 100%). En cas de saignement, 2/3 des lésions étaient accessibles à une endoscopie standard et une récidive est survenue dans 45% des cas. Elle était moins fréquente en l'absence de lésion (28% vs 73% à 5 ans, p=0,02). La présence d'une lésion était le seul facteur prédictif indépendant de récidive. Conclusion : L'entéroscopie a un rendement diagnostique global faible, elle semble intéressante en cas d'anomalie radiologique, peu intéressante pour saignement digestif et inutile dans les autres indications.NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF
Ponction à l'aiguille fine de masses pancréatiques sous échoendoscopie (performance diagnostique et impact thérapeutique)
Introduction. Le but de cette étude était d'évaluer l'impact diagnostique et thérapeutique des ponctions à l'aiguille fine (PAF) des masses pancréatiques guidées par échoendoscopie. Méthodes. Soixante-dix patients consécutifs ont été adressés et inclus. La PAF permettait l obtention de matériel étalé sur lames et de microbiopsies placées dans le formol. L amylase et l antigène carcinoembryonnaire étaient dosés dans les masses liquidiennes. L impact thérapeutique était évalué rétrospectivement sur la possibilité d instaurer une prise en charge adaptée au diagnostic final. Résultats. La ponction était techniquement impossible 8 fois. Quarante neuf lésions solides et 13 lésions liquidiennes ont été analysées. Deux patients ont été perdus de vue. Un diagnostic était obtenu chez 60 patients. Les sensibilité, spécificité, et précision des ponctions étaient 69,6%, 66,7%, et 69,4% respectivement pour les masses solides; 100%, 100% et 100% pour les masses liquidiennes. Pour les masses solides, la sensibilité et la précision de la cytologie étaient significativement supérieures à celles de l histologie. La PAF influençait la prise en charge de 45 des 60 patients. Les 15 patients restants comprenaient 1 faux positif et 14 faux négatifs (14 cancers). Conclusion. En intention de traiter, la ponction sous échoendoscopie influence directement la prise en charge des 2/3 des patients.NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF
Les mécanismes de résistance aux antibiotiques chez Staphylococcus Aureus
RENNES1-BU Santé (352382103) / SudocSudocFranceF
Gastrostomie percutanée endoscopique (indications et suivi à moyen terme)
De 1996 à 2001, 210 patients consécutifs (sex-ratio 1, moyenne d'âge 60 ans) ont été adressés au CHU de Nantes pour une première pose de gastrostomie percutanée endoscopique (GPE). Ils étaient adressés par un Service Hospitalier dans 80% des cas (Neurologie 36%, Pneumologie 21%, Gastroentérologie 15%). Les causes hautes représentaient 80% des indications (AVC 50% et Affections Neurologiques Evolutives 31%) et les causes locales 20% (Cancers oropharyngés 1/3, myopathie ou myasthénie 1/3). La GPE a été posée après simple anesthésie pharyngée dans plus de 90% des cas. Les difficultés locales étaient exceptionnelles. Trois décès ont été liés à la GPE (2 précoces, 1 à 5 mois). Les autres complications à court terme ( J30 : 2,4%) ont toutes été mineures. Un renouvellement a été nécessaire chez 83 patients (41%) (moyenne 2,8 changements, extrêmes :1-14). Ces changements étaient systématiques à un an (39%) ou liés à un vieillissement prématuré de la sonde (42%). Un retrait définitif de la GPE a été possible chez 16% des patients, justifiant ainsi rétrospectivement son utilité.NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF
Entéroscopie double ballon (enquête de pratique dans trois CHU français)
L'entéroscopie double ballons (EDB) est une technique récente d'exploration du grêle. Les études concernent des séries le plus souvent limitées venant de centres experts. But : Etude de pratique multicentrique dans 3 CHU français Méthodes : 842 EDB ont été réalisées chez 653 patients dans les centres de Nancy, Nantes et Paris HEGP. Les principales indications étaient les saignements digestifs ou anémie inexpliquées (n=486), les anomalies morphologiques (n=110), la maladie de Crohn (n=80) et les polyposes (n=38). L EDB était effectuée après exploration par vidéo-capsule endoscopique dans 74% des cas. Résultats : 629 examens ont été réalisés par voie haute et 213 par voie basse. Seules 2 entéroscopies totales ont été réalisées. Il existait une variation importante des pratiques concernant la réalisation simultanée ou non des explorations hautes et basse, le nombre de médecins impliqué, la façon d'exprimer la longueur de grêle exploré. Une seule complication per-entéroscopie a été notée. Le rendement diagnostique était de 61% et un traitement a été réalisé dans 32,8% des cas. Conclusion : La quasi totalité des EDB réalisées sont incomplètes. Il existe des variations importantes des pratiques d'un centre à l autre. Malgré cette variation, le rendement diagnostique moyen semble conforme aux données de la littérature.NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocSudocFranceF
Current Management of Adult Diffuse Infiltrative Low Grade Gliomas
International audienceDiffuse infiltrative low grade gliomas (LGG) account for approximately 15 % of all gliomas. The prognosis of LGG differs between high-risk and low-risk patients notwithstanding varying definitions of what constitutes a high-risk patient. Maximal safe resection optimally is the initial treatment. Surgery that achieves a large volume resection improves both progression-free and overall survival. Based on results of three randomized clinical trials (RCT), radiotherapy (RT) may be deferred in patients with low-risk LGG (defined as age 40 years or incomplete resection) by demonstrating a nearly twofold improvement in overall survival with the addition of PCV (procarbazine, CCNU, vincristine) chemotherapy following RT as compared to RT alone. Chemotherapy alone as a treatment of LGG may result in less toxicity than RT; however, this has only been prospectively studied once (EORTC 22033) in high-risk patients. A challenge remains to define when an aggressive treatment improves survival without impacting quality of life (QoL) or neurocognitive function and when an effective treatment can be delayed in order to preserve QoL without impacting survival. Current WHO histopathological classification is poorly predictive of outcome in patients with LGG. The integration of molecular biomarkers with histology will lead to an improved classification that more accurately reflects underlying tumor biology, prognosis, and hopefully best therapy
Chemotherapy-Related Neurotoxicity
International audienceChemotherapy may have detrimental effects on either the central or peripheral nervous system. Central nervous system neurotoxicity resulting from chemotherapy manifests as a wide range of clinical syndromes including acute, subacute, and chronic encephalopathies, posterior reversible encephalopathy, acute cerebellar dysfunction, chronic cognitive impairment, myelopathy, meningitis, and neurovascular syndromes. These clinical entities vary by causative agent, degree of severity, evolution, and timing of occurrence. In the peripheral nervous system, chemotherapy-induced peripheral neuropathy (CIPN) and myopathy are the two main complications of chemotherapy. CIPN is the most common complication, and the majority manifest as a dose-dependent length-dependent sensory axonopathy. In severe cases of CIPN, the dose of chemotherapy is reduced, the administration delayed, or the treatment discontinued. Few treatments are available for CIPN and based on meta-analysis, duloxetine is the preferred symptomatic treatment. Myopathy due to corticosteroid use is the most frequent cause of muscle disorders in patients with cancer
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