13 research outputs found

    Use of the continuity equation for transesophageal Doppler assessment of severity of proximal left coronary artery stenosis: a quantitative coronary angiography validation study

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    AbstractObjectives. We tested the value of transesophageal Doppler echocardiography (TEDE) for quantitating proximal left coronary artery (LCA) stenosis by using the continuity equation.Background. The continuity equation applied to a stenosis states that the ratio of the time–velocity integral (TVI) of prestenotic to stenotic flow velocities is equal to the ratio of stenotic to prestenotic cross-sectional areas. TEDE allows the measurement of coronary blood flow velocities within the proximal part of the LCA.Methods. Forty-one patients with a stenosis of the proximal or mid left anterior descending coronary artery or with a nonostial stenosis of the left main coronary artery were studied. Coronary flow velocities were recorded by TEDE guided by color flow imaging. Prestenotic velocities were recorded by pulsed Doppler echocardiography and transstenotic velocities were recorded by pulsed or high pulse repetition frequency or continuous wave Doppler echocardiography. The prestenotic and transstenotic diastolic TVIs were calculated and the TEDE-derived percent area stenosis was calculated as (1 − TVI ratio) × 100. Quantitative angiography lesion analysis was performed using a computer-assisted automated edge-detection system.Results. TEDE recordings were successful in 35 of the 41 patients. A good linear correlation was found between TEDE and quantitative angiographically derived percent area stenosis (r = 0.89, p = 0.0001, SEE 5.7). However, TEDE measurements underestimated the actual percent area stenosis (slope of regression 0.54). A better agreement (slope 1.08) was obtained after dividing prestenotic velocity by 2 in the continuity equation, based on the assumption of a parabolic cross-sectional velocity profile in the prestenotic segment.Conclusions. TEDE may be used for quantitating stenosis of the proximal part of the LCA with the use of a modified continuity equation that takes into account the parabolic velocity profile in the normal prestenotic segment

    Carbon dynamics of intensively managed forest along a full rotation

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    Temperate and tropical forests are increasingly exploited for wood and biomass extraction and only one third of forest area was considered as primary in the recent FRA in 2010. Management practices affect the soil-forest-atmosphere continuum through various effects on soil and surface properties. They result ultimately in either positive or negative changes in the biomass and soil carbon pools but, if any, few datasets or modeling tools are available for quantifying their impacts on the net carbon balance of forest stands. To analyse these effects, the net half-hourly fluxes of CO2, water vapour and heat exchanges were monitored for 23 years in two closed stands of maritime pines in southwestern France. Carbon content of the aboveground biomass was measured annually and soil pools 10-early in the younger stand and 5-yearly in the mature stand. For analysing the data collected and disentangling the climate and management effects, we used the three components process-based model GRAECO+ (Loustau et al. this session) linking a 3D radiative transfer and photosynthesis model, MAESTRA, a soil carbon model adapted from ROTH-C and a plant growth model.Eddy flux data were processed, gapfilled and partitioned using the methodological recommendations (Aubinet et al. 2000, Adv. Eco. Res:30, 114-173, Falge et al. 2001, Agr. For. Meteo. : 107, 43-69, Reichstein et al. 2005, Glob. Change Biol., 11:1424-1439). Analysis of the sequence showed that, whether by an increased sensitivity to soil drought compared to the pines or by a rapid re-colonization of the inter-row after understorey removal and plowing, the weeded vegetation contributed to create specific intra-annual dynamics of the fluxes and therefore, controls the dynamics of carbon balance of the stand.After three growing seasons, the stand was already a carbon sink, but the impact of thinning and weeded vegetation removal at the age of 5-year brought the balance to almost neutral. We interpret this change as the combined effects of the reduction of the LAI, the enhancement of the heterotrophic respiration related to the decomposition of dead materials and the improvement of the mineralization of the large stock of soil organic matter by tillage. At the mature stage, the stand remains consistently a carbon sink and CO2 fluxes were insensitive to thinning. Conversely, the carbon balance was sensitive to climate effects as evidenced by repeated drastic reductions in NEP caused by soil drought. Our data underlines the importance of disturbances linked to forest management for the forest carbon balance during the early stage of tree growth. Since management intensification tends to shorten the forest life cycle and enhance the share of the young stages, our results confirm that the consequence of management operations on the carbon cycle in forest may revert intensified forest stands from a net sink to a source and should be accounted for carefully

    Biopollatm : Biosphère et pollution atmosphérique en zone rurale et périurbaine. Rapport de fin de contrat

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    Le projet BIOPOLLATM vise à mieux comprendre les interactions biosphère-atmosphère dans le domaine de la pollution atmosphérique. On cherche (1) à comprendre les modalités d’impacts de plusieurs polluants sur le fonctionnement des plantes et (2) le rôle de la biosphère comme source et puits dans la pollution atmosphérique locale et régionale. Des caractéristiques fortes de BIOPOLLATM sont (1) une intégration entre des approches biologiques et physiques, à l’interface des sciences de la vie, de la terre et de l’atmosphère, (2) l’objet d’étude privilégié qui sont les écosystèmes cultivés en zones périurbaines et (3) l’intégration d’échelle, allant de la plante à la région selon les thématiques scientifiques et appliquées concernées. Ce rapport fait un point sur l’avancement du projet après 2 ans de travail (le projet se poursuit dans le cadre de PRIMEQUAL notamment, avec un financement du MEDD/DPPR). Il se compose de trois parties : - un rappel sur les objectifs et l’organisation du projet - un rapport plus détaillé sur les travaux conduits, organisé en trois grands domaines : o impact de l’ozone sur le fonctionnement des couverts végétaux à différentes échelles et selon différentes approches, allant de la modification des enzymes impliquées dans la photosynthèse jusqu’à la modélisation de l’impact sur le rendement des cultures ; o échanges de polluants entre un couvert végétal et l’atmosphère, organisé autour du développement et la validation d’un modèle à résistance à deux couches, destiné d’une part à être utilisé par les écophysiologistes/agronomes pour estimer les quantités de polluant absorbées par la végétation et, d’autre part, à être utilisé comme interface surface-atmosphère dans des modèles de chimie atmosphérique ; o une présentation des bases de données créées et des dispositifs expérimentaux créés dans le cadre de ce projet pour l’étude des échanges de polluants entre les surfaces naturelles et l’atmosphère. Ces acquis perdureront au delà du projet et pourront être utilisés par nos équipes et d’autres pour la poursuite de ce type de travaux. - Une synthèse des résultats acquis et une présentation des perspectives de ce travail à échéance de deux ans

    Biopollatm : Biosphère et pollution atmosphérique en zone rurale et périurbaine. Rapport de fin de contrat

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    Le projet BIOPOLLATM vise à mieux comprendre les interactions biosphère-atmosphère dans le domaine de la pollution atmosphérique. On cherche (1) à comprendre les modalités d’impacts de plusieurs polluants sur le fonctionnement des plantes et (2) le rôle de la biosphère comme source et puits dans la pollution atmosphérique locale et régionale. Des caractéristiques fortes de BIOPOLLATM sont (1) une intégration entre des approches biologiques et physiques, à l’interface des sciences de la vie, de la terre et de l’atmosphère, (2) l’objet d’étude privilégié qui sont les écosystèmes cultivés en zones périurbaines et (3) l’intégration d’échelle, allant de la plante à la région selon les thématiques scientifiques et appliquées concernées. Ce rapport fait un point sur l’avancement du projet après 2 ans de travail (le projet se poursuit dans le cadre de PRIMEQUAL notamment, avec un financement du MEDD/DPPR). Il se compose de trois parties : - un rappel sur les objectifs et l’organisation du projet - un rapport plus détaillé sur les travaux conduits, organisé en trois grands domaines : o impact de l’ozone sur le fonctionnement des couverts végétaux à différentes échelles et selon différentes approches, allant de la modification des enzymes impliquées dans la photosynthèse jusqu’à la modélisation de l’impact sur le rendement des cultures ; o échanges de polluants entre un couvert végétal et l’atmosphère, organisé autour du développement et la validation d’un modèle à résistance à deux couches, destiné d’une part à être utilisé par les écophysiologistes/agronomes pour estimer les quantités de polluant absorbées par la végétation et, d’autre part, à être utilisé comme interface surface-atmosphère dans des modèles de chimie atmosphérique ; o une présentation des bases de données créées et des dispositifs expérimentaux créés dans le cadre de ce projet pour l’étude des échanges de polluants entre les surfaces naturelles et l’atmosphère. Ces acquis perdureront au delà du projet et pourront être utilisés par nos équipes et d’autres pour la poursuite de ce type de travaux. - Une synthèse des résultats acquis et une présentation des perspectives de ce travail à échéance de deux ans

    Biopollatm : Biosphère et pollution atmosphérique en zone rurale et périurbaine. Rapport de fin de contrat

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    Le projet BIOPOLLATM vise à mieux comprendre les interactions biosphère-atmosphère dans le domaine de la pollution atmosphérique. On cherche (1) à comprendre les modalités d’impacts de plusieurs polluants sur le fonctionnement des plantes et (2) le rôle de la biosphère comme source et puits dans la pollution atmosphérique locale et régionale. Des caractéristiques fortes de BIOPOLLATM sont (1) une intégration entre des approches biologiques et physiques, à l’interface des sciences de la vie, de la terre et de l’atmosphère, (2) l’objet d’étude privilégié qui sont les écosystèmes cultivés en zones périurbaines et (3) l’intégration d’échelle, allant de la plante à la région selon les thématiques scientifiques et appliquées concernées. Ce rapport fait un point sur l’avancement du projet après 2 ans de travail (le projet se poursuit dans le cadre de PRIMEQUAL notamment, avec un financement du MEDD/DPPR). Il se compose de trois parties : - un rappel sur les objectifs et l’organisation du projet - un rapport plus détaillé sur les travaux conduits, organisé en trois grands domaines : o impact de l’ozone sur le fonctionnement des couverts végétaux à différentes échelles et selon différentes approches, allant de la modification des enzymes impliquées dans la photosynthèse jusqu’à la modélisation de l’impact sur le rendement des cultures ; o échanges de polluants entre un couvert végétal et l’atmosphère, organisé autour du développement et la validation d’un modèle à résistance à deux couches, destiné d’une part à être utilisé par les écophysiologistes/agronomes pour estimer les quantités de polluant absorbées par la végétation et, d’autre part, à être utilisé comme interface surface-atmosphère dans des modèles de chimie atmosphérique ; o une présentation des bases de données créées et des dispositifs expérimentaux créés dans le cadre de ce projet pour l’étude des échanges de polluants entre les surfaces naturelles et l’atmosphère. Ces acquis perdureront au delà du projet et pourront être utilisés par nos équipes et d’autres pour la poursuite de ce type de travaux. - Une synthèse des résultats acquis et une présentation des perspectives de ce travail à échéance de deux ans
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