97 research outputs found

    Preparing a solar take-off: solar energy demonstration and exhibitions in Japan, 1945–1993

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    When the first oil crisis hit Japan in 1973, the country was highly dependent on imported oil as the source of electric power. The dire prospect of an oil cut-off gave sufficient and immediate impetus for Japan to begin searching frantically for alternative energy sources. Starting in 1974, the state-sponsored Sunshine Project, which originated from concern about the country’s excessive oil dependency – rather than being a direct response to the oil crisis – mobilised the technological and financial resources for finding viable energy alternatives and implemented a number of state-funded projects. One of the most successful enterprises was the development of solar photovoltaic (PV) power generation, and, as a consequence, the household solar PV panel penetrated into the consumer market in the 1990s, comparatively earlier than most of the developed nations. The existing literature tends to focus on the economic incentive provided by state subsidy. However, the diffusion of the solar panel in Japan calls for a more nuanced explanation. A certain degree of social acceptance was needed before a large number of consumers embraced a new energy technology to the extent that they were willing to pay for the initial cost. The social acceptance for using a new technology was, in turn, based on pre-existing knowledge about the technology. This paper aims at shedding light on the pathways through which the knowledge about solar energy proliferated in the Japanese society, by focusing on solar energy demonstration and exhibitions – these forms of knowledge circulation had their roots in the penetration of the solar water heater in rural areas of Japan in the immediate post-WWII period

    Histoire de l’innovation et des technologies de l’information

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    Larissa Zakharova, maĂźtresse de confĂ©rencesYves Bouvier, maĂźtre de confĂ©rences Ă  l’UniversitĂ© de SavoieLĂ©onard Laborie, ValĂ©rie Schafer, chargĂ©s de recherche au CNRSStĂ©phanie Le Gallic, allocataire-moniteur Ă  l’UniversitĂ© Paris-SorbonneBenjamin Thierry, PRAG Ă  l’IUFM Paris-Sorbonne Le sĂ©minaire a permis de mener une rĂ©flexion collective autour des technologies de l’information et de la communication, en s’intĂ©ressant aux acteurs de l’innovation (individuels et collectifs), Ă  leurs interaction..

    Organisations internationales, normalisation et circulations techniques au XIXe siĂšcle. Sur l’échec d’un projet d’école internationale de tĂ©lĂ©graphie

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    International audienceLes contemporains du 19e siĂšcle voient dans la « facilitĂ© des communications » le signe distinctif de leur Ă©poque, et ce dĂšs avant l’avĂšnement des chemins de fer Ă  vapeur et de la tĂ©lĂ©graphie Ă©lectrique. Nadaud chante la disparition simultanĂ©e des diligences et du tĂ©lĂ©graphe aĂ©rien, s’effaçant devant le nouveau couple qui ancre cette reprĂ©sentation d’une modernitĂ© communicationnelle plus profondĂ©ment encore. La perception d’une accĂ©lĂ©ration des circulations, des hommes, des marchandises et des idĂ©es, est largement partagĂ©e. Un discours sur l’intĂ©gration et la marche Ă  la fraternitĂ© universelle l’accompagne. La promesse semble se concrĂ©tiser quand des formes institutionnelles nouvelles voient le jour dans le dernier tiers du siĂšcle, pour gouverner en commun les rĂ©seaux qui portent ces circulations. La premiĂšre en date est l’Union tĂ©lĂ©graphique internationale, formĂ©e Ă  Paris en 1865

    « Pas de socialisme sans la science »; L’avenir de Plogoff et du programme Ă©lectronuclĂ©aire français : promesse de campagne; François Mitterrand Ă  l’école de l’informatique; Inauguration du TGV Sud-Est ou l'art de prendre le train en marche; Biarritz-ElysĂ©e: son et lumiĂšre sur l'avenir des communications en France; Eureka! François Mitterrand a trouvĂ© l'Europe de la technologie; Signature du traitĂ© franco-britannique Ă  Canterbury : le bout du tunnel pour le tunnel sous la Manche; Un pari technique et industriel: la haute dĂ©finition pour la tĂ©lĂ©vision française naissante; Le TGV Atlantique, une dĂ©cision "trĂšs personnelle" du PrĂ©sident Mitterrand; TĂ©moin d'un lancement d'Ariane Ă©chouĂ©, Mitterrand solidaire et convaincu du futur de l'Europe spatiale; François Mitterrand en direct avec un astronaute français dans l'espace; Inauguration d'une usine de production d'Airbus A340; UniversitĂ© 2000 : "justice sociale" et amĂ©nagement du territoire universitaire; La Lorraine en crise, premier voyage du nouveau prĂ©sident

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    Notices sur le thĂšme de la politique de la recherche et de l'innovation du prĂ©sident de la RĂ©publique François Mitterrand, pour la fresque interactive de l’Institut national de l’audiovisuel "François Mitterrand, le verbe en images", publiĂ©e en octobre 2016 (http://fresques.ina.fr/mitterrand)

    De l'histoire de la diplomatie scientifique Ă  l'histoire dans la diplomatie scientifique

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    International audienceWhile other authors have already mentioned the contribution of history to contemporary thinking on scientific diplomacy - not to define what scientific diplomacy is, but to criticize the definition given to it by practitioners, often based on a positivist approach to science and a selective, if not teleological, mobilization of a more or less mythologized past- this introduction to a special issue titled "History and Science Diplomacy" outlines what historians can do to science diplomacy in practice, drawing on the experience of an international collaborative research project "Inventing a shared science diplomacy for Europe" (H2020 InSciDE, 2018-2022).Ce texte constitue l'introduction du dossier "Histoire et diplomatie scientifique". Tandis que d’autres auteurs ont dĂ©jĂ  Ă©voquĂ© ce qu'apporte l’histoire comme discipline des sciences humaines dans la rĂ©flexion contemporaine sur la diplomatie scientifique – non pas dĂ©finir ce qu’est la diplomatie scientifique, mais critiquer la dĂ©finition qui en est donnĂ©e par les praticiens, souvent fondĂ©e sur une approche positiviste des sciences et une mobilisation sĂ©lective, si ce n’est tĂ©lĂ©ologique, d’un passĂ© plus ou moins mythifiĂ© –, il prĂ©sente ce que peut l'histoire en pratique, en s'appuyant sur l'expĂ©rience d'un projet international de recherche collaborative "Inventing a shared science diplomacy for Europe" (H2020 InSciDE, 2018-2022)

    1886. Un accord clé

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    National audienceComment ouvrir et fermer les portes des trains arrivant de l’étranger ? En apparence triviale, cette question est capitale pour la circulation internationale des marchandises. Pour la Suisse qui se positionne au cƓur du transit ferroviaire europĂ©en depuis l’ouverture du tunnel du Gothard en 1883, et qui espĂšre en tirer pleinement bĂ©nĂ©fice, c’est un vĂ©ritable enjeu diplomatique. Au printemps 1886, elle parvient Ă  organiser une « confĂ©rence pour l’unitĂ© technique des chemins de fer et la fermeture des wagons Ă  marchandises devant passer en douane »

    L’histoire des grands rĂ©seaux techniques : les cloisons tombent

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    Alors que l’histoire des rĂ©seaux contemporains avait eu tendance Ă  se dĂ©velopper autour des infrastructures qui les matĂ©rialisaient, elle se recompose dĂ©sormais autour des enjeux sociaux et culturels qu’ils vĂ©hiculent. Comme dans bien d’autres champs des sciences humaines et sociales, le tournant culturel et l’intĂ©rĂȘt associĂ© pour les usages font tomber les cloisons. Communication, mobilitĂ©, Ă©nergie, rĂ©gulation, accĂšs, dĂ©mocratie : telles sont les transversales sectorielles et thĂ©matiques qui..
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