42 research outputs found

    La mandíbula de Bañolas

    Get PDF

    Digital modelling and stereolithographic production of a Homo Erectus skull

    Get PDF
    The National Museum of Natural History has been carrying out, over the last several years, a study of hominid fossil skulls, which have been discovered in different regions of the world. The aim of the palaeo‐anthropological study of these skulls is to reconstruct the genealogic tree of the evolution of man and to understand better, the diversity of the homo Erectus species on the different continents. Currently, digital techniques and those of rapid prototyping offer a solution to these problems by allowing the virtual or physical reconstitution of the skulls for scientific study. This paper presents this new perspective for the world of palaeontology

    Neandertal Mandibular Molars from Hortus Cave, France: A Comparison of Crown Shapes Using Elliptical Fourier Analysis

    Get PDF
    Neandertal permanent mandibular molars are well represented at Hortus Cave, France, Sub-Phase IVb and Vb, providing an opportunity to assess intrapopulation and intersite shape variation. We expected the mandibular molars from Hortus cave, comprising Hortus II, Hortus IV, Hortus V and Hortus VI to cluster together, compared to Neandertals close in proximity, such as Malarnaud and La Quina 5 as well as those more distantly located such as Arcysur- Cure 1, Engis 2 and Scladina 4A-1. A single Neolithic cave burial from Maurenne Caverne de la Cave, Belgium (n = 11) is used to contextualize the degree of variation in the Hortus assemblage. From photographic images of the permanent molars, crown shapes were digitized and binarized. The resulting images were processed in R using elliptical Fourier analysis and the resulting amplitudes of the harmonics were subjected to principal components analysis and hierarchical clustering. Hortus II and Hortus V, both from Sub-Phase Vb, are relatively similar to one another in M1 crown shape, and are secondarily grouped with Hortus IV from Sub-Phase IVb. Maurenne Caverne de la Cave has a larger degree of variation in crown shape than the Hortus assemblage, and the Neandertals imperfectly cluster together and apart from the Neolithic sample for some multivariate comparisons. Variance in Neandertal molar crown shape can be primarily explained as the result of chronology. Hortus consistently groups with other MIS 3 Neandertals such as La Quina 5 and Engis 2, while those from MIS 5, represented by Scladina 4A-1 and Malarnaud are distinct as is Arcy-sur-Cure 1 from late MIS 3. Across the molars, the Hortus assemblage is most similar to La Quina 5 from Charente, Southwest France

    The diet of young Neandertals from France, Pech de l’Azé I and Hortus II, reconstructed using dental microwear texture analysis

    Get PDF
    Les adultes nĂ©andertaliens prĂ©sentent des diffĂ©rences de rĂ©gime alimentaire en fonction de leur palĂ©ohabitat. Nous examinons si les jeunes enfants nĂ©andertaliens de France datant du stade isotopique marins 3 montrent Ă©galement ces distinctions alimentaires Ă  partir de l’étude de la texture des micro-usures dentaires des deuxiĂšmes molaires dĂ©ciduales des individus Pech de l’Azé I, datant d’une phase froide-tempĂ©rĂ©e, et Hortus II, datant d’une phase froid-aride extrĂȘme. L’échantillon comparatif (n=76) comprend des molaires dĂ©ciduales d’agriculteurs-cueilleurs provenant de trois grottes nĂ©olithiques de Belgique, dont Caverne de la Cave Ă  Maurenne (n=5), Sclaigneaux (n=7) et Bois Madame (n=6), ainsi que des agriculteurs de l’époque romaine d’Herculanum (n=15) et mĂ©diĂ©vaux de Canterbury, Angleterre (n=43). Lorsque la complexitĂ© est comparĂ©e Ă  l’anisotropie, Pech de l’Azé I prĂ©sente une valeur Ă©levĂ©e provenant de la mastication de plantes Ă  parties dures ou de particules adhĂ©rentes, ou de la consommation d’aliments mal transformĂ©s ou chargĂ©s de silicates abrasifs. En revanche, Hortus II a une valeur faible, peut-ĂȘtre en raison de l’accĂšs limitĂ© aux parties dures des plantes comme les graines et les noix. Toutefois, Pech de l’Azé I et Hortus II se ressemblent en prĂ©sentant une faible valeur d’anisotropie qui est rĂ©vĂ©latrice de mouvements complexes des mĂąchoires lors de la mastication et sont diffĂ©rents des enfants humains nĂ©olithiques, romains et mĂ©diĂ©vaux qui ont tendance Ă  avoir des valeurs plus Ă©levĂ©es. Les rĂ©gimes alimentaires des enfants nĂ©andertaliens diffĂšrent en fonction du palĂ©ohabitat et sont gĂ©nĂ©ralement plus diversifiĂ©s que ceux des producteurs d’aliments, qu’ils habitent des environnements boisĂ©s ou ouverts.Neandertal adults show differences in diet with respect to paleohabitat. To examine whether Neandertal children of France during Marine Isotope Stage 3 also show these dietary distinctions, the deciduous second molars of Pech de l’Azé I, from a cold-temperate period, and Hortus II from Sub-Phase Vb, an extreme cold-arid interval, were examined using dental microwear texture analysis. The comparative sample (n=76) includes deciduous molars from Neolithic forager-farmers of Belgium, including Caverne de la Cave at Maurenne (n=5), Sclaigneaux (n=7) and Bois Madame (n=6), Roman-era farmers from Herculaneum (n=15) and Medieval agriculturalists from Canterbury, England (n=43). When complexity is compared to anisotropy, Pech de l’Azé I exhibits an elevated value from the mastication of plants with hard parts or adherent particles, or the consumption of foods that were poorly processed or grit-laden, whereas Hortus II presents a low value, perhaps from limited access to hard plant parts such as seeds and nuts. However, Pech de l’Azé I and Hortus II resemble each other in having a low value for anisotropy, which is indicative of complicated movements of the jaws during mastication and are dissimilar to Neolithic, Roman and Medieval human children who tend to have higher values. The diets of Neandertal children differ with respect to paleohabitat and typically were more diverse than those of food producers regardless of whether they inhabited wooded or open environments

    La variabilité des homininés en Asie du sud-est insulaire au cours du PléistocÚne : étude des caractÚres dentaires

    Get PDF
    Les Ăźles de la partie ouest de l’archipel indonĂ©sien constituent un territoire clĂ© bien connu pour la palĂ©oanthropologie. Pendant le Quaternaire, il a Ă©tĂ© affectĂ© par les changements du climat et du niveau marin, ce qui a eu un impact sur les hominines se retrouvant parfois isolĂ©s au cours du PlĂ©istocĂšne. Le but de cette Ă©tude est de caractĂ©riser la variabilitĂ© de ces groupes humains occupant la rĂ©gion du plateau de la Sonde Ă  partir des collections dentaires qui viennent de plusieurs sites p..

    Les restes humains fossiles de la grotte du Lazaret (Nice, Alpes-Maritimes): Des Homo erectus européens évolués en voie de néandertalisation

    No full text
    International audienceCet ouvrage consacrĂ© Ă  la grotte du Lazaret a pour but de prĂ©senter les 28 restes humains fossiles dĂ©couverts au cours des chantiers de fouilles prĂ©historiques organisĂ©s dans cette caverne depuis 1961 et de les replacer dans le cadre phylĂ©tique de l’évolution humaine.Quelles sont les ressemblances et les diffĂ©rences des hommes du Lazaret avec ceux plus anciens de la Caune de l’Arago en Roussillon (450 000 ans), de Ceprano dans le Latium (350 000 ans) ou de la Sima de los Huesos en Castille-et-LĂ©on (300 000 ans) ? Et en quoi se diffĂ©rencient-ils des hommes plus rĂ©cents comme ceux de la Caverne delle Fate en Ligurie (80 000 ans), de l’Hortus dans l’HĂ©rault (65 000 Ă  35 000 ans) ou avec les NĂ©andertaliens classiques du sud-ouest de la France : La Chapelle-aux-Saints, la Ferrassie, la Quina (60 000 Ă  45 000 ans) ?Quels sont les caractĂšres principaux qui permettent de les individualiser sous le nom d’Homo erectus europĂ©ens Ă©voluĂ©s en voie de nĂ©andertalisation ?Afin de mieux connaĂźtre les restes humains fossiles, les premiers chapitres de cet ouvrage ont pour but de les replacer dans leur cadre stratigraphique, gĂ©ochronologique et biochronologique, c’est-Ă -dire de les dater, de prĂ©senter les palĂ©oenvironnements au sein desquels les hommes du Lazaret ont vĂ©cu, de suivre l’évolution des climats Ă  la fin du PlĂ©istocĂšne moyen et celle des faunes de mammifĂšres qu’ils rencontraient.Une attention particuliĂšre a Ă©tĂ© apportĂ©e Ă  l’étude de leur culture matĂ©rielle (un AcheulĂ©en supĂ©rieur trĂšs riche en bifaces, passant progressivement Ă  un AcheulĂ©en supĂ©rieur riche en bifaces, puis Ă  un AcheulĂ©en supĂ©rieur pauvre en bifaces, Ă  un AcheulĂ©en final Ă  rares bifaces et enfin Ă  un Proto-MoustĂ©rien sans biface), ainsi qu’aux comportements de subsistance de ces anciens peuples chasseurs-cueilleurs et Ă  leur mode de vie.Dans cet ouvrage le lecteur, amateur ou scientifique, intĂ©ressĂ© par la plus haute antiquitĂ© de l’Homme, dĂ©couvrira la vie quotidienne de ces trĂšs anciens Niçois qui occupaient Ă  intervalles plus ou moins rĂ©guliers la grotte du Lazaret, entre 190 000 et 120 000 ans

    Les restes humains fossiles de la grotte du Lazaret. Nice, Alpes-Maritimes, France. Des Homo erectus européens évolués en voie de néandertalisation.

    No full text
    International audienceCet ouvrage consacrĂ© Ă  la grotte du Lazaret a pour but de prĂ©senter les 28 restes humains fossiles dĂ©couverts au cours des chantiers de fouilles prĂ©historiques organisĂ©s dans cette caverne depuis 1961 et de les replacer dans le cadre phylĂ©tique de l’évolution humaine.Quelles sont les ressemblances et les diffĂ©rences des hommes du Lazaret avec ceux plus anciens de la Caune de l’Arago en Roussillon (450 000 ans), de Ceprano dans le Latium (350 000 ans) ou de la Sima de los Huesos en Castille-et-LĂ©on (300 000 ans) ? Et en quoi se diffĂ©rencient-ils des hommes plus rĂ©cents comme ceux de la Caverne delle Fate en Ligurie (80 000 ans), de l’Hortus dans l’HĂ©rault (65 000 Ă  35 000 ans) ou avec les NĂ©andertaliens classiques du sud-ouest de la France : La Chapelle-aux-Saints, la Ferrassie, la Quina (60 000 Ă  45 000 ans) ?Quels sont les caractĂšres principaux qui permettent de les individualiser sous le nom d’Homo erectus europĂ©ens Ă©voluĂ©s en voie de nĂ©andertalisation ?Afin de mieux connaĂźtre les restes humains fossiles, les premiers chapitres de cet ouvrage ont pour but de les replacer dans leur cadre stratigraphique, gĂ©ochronologique et biochronologique, c’est-Ă -dire de les dater, de prĂ©senter les palĂ©oenvironnements au sein desquels les hommes du Lazaret ont vĂ©cu, de suivre l’évolution des climats Ă  la fin du PlĂ©istocĂšne moyen et celle des faunes de mammifĂšres qu’ils rencontraient.Une attention particuliĂšre a Ă©tĂ© apportĂ©e Ă  l’étude de leur culture matĂ©rielle (un AcheulĂ©en supĂ©rieur trĂšs riche en bifaces, passant progressivement Ă  un AcheulĂ©en supĂ©rieur riche en bifaces, puis Ă  un AcheulĂ©en supĂ©rieur pauvre en bifaces, Ă  un AcheulĂ©en final Ă  rares bifaces et enfin Ă  un Proto-MoustĂ©rien sans biface), ainsi qu’aux comportements de subsistance de ces anciens peuples chasseurs-cueilleurs et Ă  leur mode de vie.Dans cet ouvrage le lecteur, amateur ou scientifique, intĂ©ressĂ© par la plus haute antiquitĂ© de l’Homme, dĂ©couvrira la vie quotidienne de ces trĂšs anciens Niçois qui occupaient Ă  intervalles plus ou moins rĂ©guliers la grotte du Lazaret, entre 190 000 et 120 000 ans

    Les restes humains fossiles de la grotte du Lazaret. Nice, Alpes-Maritimes, France. Des Homo erectus européens évolués en voie de néandertalisation.

    No full text
    International audienceCet ouvrage consacrĂ© Ă  la grotte du Lazaret a pour but de prĂ©senter les 28 restes humains fossiles dĂ©couverts au cours des chantiers de fouilles prĂ©historiques organisĂ©s dans cette caverne depuis 1961 et de les replacer dans le cadre phylĂ©tique de l’évolution humaine.Quelles sont les ressemblances et les diffĂ©rences des hommes du Lazaret avec ceux plus anciens de la Caune de l’Arago en Roussillon (450 000 ans), de Ceprano dans le Latium (350 000 ans) ou de la Sima de los Huesos en Castille-et-LĂ©on (300 000 ans) ? Et en quoi se diffĂ©rencient-ils des hommes plus rĂ©cents comme ceux de la Caverne delle Fate en Ligurie (80 000 ans), de l’Hortus dans l’HĂ©rault (65 000 Ă  35 000 ans) ou avec les NĂ©andertaliens classiques du sud-ouest de la France : La Chapelle-aux-Saints, la Ferrassie, la Quina (60 000 Ă  45 000 ans) ?Quels sont les caractĂšres principaux qui permettent de les individualiser sous le nom d’Homo erectus europĂ©ens Ă©voluĂ©s en voie de nĂ©andertalisation ?Afin de mieux connaĂźtre les restes humains fossiles, les premiers chapitres de cet ouvrage ont pour but de les replacer dans leur cadre stratigraphique, gĂ©ochronologique et biochronologique, c’est-Ă -dire de les dater, de prĂ©senter les palĂ©oenvironnements au sein desquels les hommes du Lazaret ont vĂ©cu, de suivre l’évolution des climats Ă  la fin du PlĂ©istocĂšne moyen et celle des faunes de mammifĂšres qu’ils rencontraient.Une attention particuliĂšre a Ă©tĂ© apportĂ©e Ă  l’étude de leur culture matĂ©rielle (un AcheulĂ©en supĂ©rieur trĂšs riche en bifaces, passant progressivement Ă  un AcheulĂ©en supĂ©rieur riche en bifaces, puis Ă  un AcheulĂ©en supĂ©rieur pauvre en bifaces, Ă  un AcheulĂ©en final Ă  rares bifaces et enfin Ă  un Proto-MoustĂ©rien sans biface), ainsi qu’aux comportements de subsistance de ces anciens peuples chasseurs-cueilleurs et Ă  leur mode de vie.Dans cet ouvrage le lecteur, amateur ou scientifique, intĂ©ressĂ© par la plus haute antiquitĂ© de l’Homme, dĂ©couvrira la vie quotidienne de ces trĂšs anciens Niçois qui occupaient Ă  intervalles plus ou moins rĂ©guliers la grotte du Lazaret, entre 190 000 et 120 000 ans

    Les restes d'hominidés du site de Fejej FJ-1

    No full text
    corecore