14 research outputs found

    All-optical switching and strong coupling using tunable whispering-gallery-mode microresonators

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    We review our recent work on tunable, ultrahigh quality factor whispering-gallery-mode bottle microresonators and highlight their applications in nonlinear optics and in quantum optics experiments. Our resonators combine ultra-high quality factors of up to Q = 3.6 \times 10^8, a small mode volume, and near-lossless fiber coupling, with a simple and customizable mode structure enabling full tunability. We study, theoretically and experimentally, nonlinear all-optical switching via the Kerr effect when the resonator is operated in an add-drop configuration. This allows us to optically route a single-wavelength cw optical signal between two fiber ports with high efficiency. Finally, we report on progress towards strong coupling of single rubidium atoms to an ultra-high Q mode of an actively stabilized bottle microresonator.Comment: 20 pages, 24 figures. Accepted for publication in Applied Physics B. Changes according to referee suggestions: minor corrections to some figures and captions, clarification of some points in the text, added references, added new paragraph with results on atom-resonator interactio

    Biologies et potentialités aquacoles du Carangidae Trachinotus teraia (Cuvier et Valenciennes, 1832) en milieu lagunaire ivoirien

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    Le carangidé ouest-africain #Trachinotus teraia est une des principales espèces exploitées par la pêche lagunaire ivoirienne. Par ailleurs, son statut de poisson noble et la faisabilité de l'aquaculture des #Trachinotus spp., démontrée sur les espèces ouest-atlantiques en font un candidat potentiel pour l'aquaculture lagunaire. La biologie des populations est étudiée à partir de données antérieures sur les captures des pêcheries à la senne de plage et sur l'écologie des peuplements ichtiques. En mer, on note la présence sporadique d'adultes et de subadultes. En lagune, #T. teraia$ est présent de façon régulière et permanente à tous les stades depuis la taille de première capture (40 mm LF) et aucun des facteurs de l'environnement n'apparaît limitant à sa répartition. L'abondance est relativement faible : en lagune Ebrié, le rendement moyen des pêches expérimentales à la senne tournante est de 1,4 individu et O,5 kg par hectare encerclé. Le recrutement des juvéniles a lieu en fin de saison sèche. La croissance est estimée par la méthode des filiations modale

    Production de familles de brochetons en petits étangs par reproduction naturelle aménagée : bilan de trois années d'expérimentation et comparaison avec la méthode d'alevinage

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    La méthode de Reproduction Naturelle Aménagée (R.N.A.) consiste à introduire à la mi-février et selon une mise en charge adéquate une femelle brochet et deux mâles dans un milieu naturel "protégé " (petit étang enherbéetpeu profond, doté de poissonfourrage, dépourvu de prédateurs et dont le niveau d'eau est stable). La récolte des brochetons issus de la fraie et la récupération des géniteurs s'effectuent simultanément par vidange à la fin mai. La R.N.A. a été miseen'oeuvreen 1980-81-82 dans des batteries de petits étangs (270-400 m2 ) situées au Paraclet (Somme) et dans La Dombes. Les performances de la R.N.A. ont été comparées aux résultats obtenus dans les mêmes milieux par alevinage classique (introduction d'une fratrie d'alevins en fin de résorption par étang) : 1. Les productions numériques moyennes de brochetons de 2-3 g ne diffèrent pas significativement entre les deux méthodes (Alevinage : 1,8 brochetons/m2 - R.N.A.: 2,3 brochetons/m2). 2. La variabilité inter-lots du nombre de brochetons par m2 est significativement plus élevée dans le cas de la R.N.A. (coefficient de variation c.v. : 47 % ; valeurs extrêmes : 0,9-4,0 brochetons/m2) que dans celui de l'alevinage (c.v. : 29 % ; extrêmes : 0,9-2,6 brochetons/m2). 3. Les biomasses moyennes de brochetons ne sont pas significativement différentes (Alevinage : 54 kg/ha - R.N.A. : 46 kg/ha). 4. Dans les conditions de mise en charge adoptées, la variabilité intra-lots du poids individuel des brochetons est en moyenne la même pour les deux méthodes (c.v. moyen : 30%). 5. Le taux de survie moyen du stade ovocyte au stade brocheton de 2-3 g est de l'ordre de 4% par R.N.A., ce qui correspond à une production d'environ 1 200 brochetons par kg de femelle. Ce taux de survie est élevé pour une reproduction naturelle, mais inférieur d'un facteur 1,3 à 5 aux taux obtenus par reproduction artificielle et alevinage. Cette différence pourrait cependant être en partie compensée par la survie élevée des géniteurs après R.N.A. : 81 % pour les femelles, 6 2% pour les mâles. Une tentative d'extension de la Reproduction Naturelle Aménagée à des étangs de 1 500-2000 m2 a été conduite au Paraclet en 1982 : la production moyenne (1,8 brochetons/m2 ; 61 kg/ha) a été sensiblement inférieure a celle obtenue dans des étangs-témoins alevinés (2,6 brochetons/m2 ; 81 kg/ha). La différence observée résulte très vraisemblablement d'une surcharge initiale dans les lots de R.N.A. Une meilleure adaptation de la mise en charge par géniteurs à cette catégorie d'étangs reste donc à définir. Ces différents résultats suggèrent que, dans de petits étangs enherbés propices à la fraie et sous réserve d'une mise en charge adéquate, la méthode de Reproduction Naturelle Aménagée peut constituer une variante de l'élevage extensif du brocheton aussi productive que l'alevinage classique. Dans les conditions où nous l'avons pratiquée, la R.N.A. s'est avérée être une technique reproductible, nedemandantqu'une main-d'oeuvre réduite et peu de technicité, et permettant de faire l'économie d'une écloserie. De plus, la survie élevée des géniteurs après la fraie permet d'envisager leur utilisation pendant plusieurs années consécutives

    Production de familles de brochetons en petits étangs par reproduction naturelle aménagée : bilan de trois années d'expérimentation et comparaison avec la méthode d'alevinage

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    La méthode de Reproduction Naturelle Aménagée (R.N.A.) consiste à introduire à la mi-février et selon une mise en charge adéquate une femelle brochet et deux mâles dans un milieu naturel "protégé " (petit étang enherbéetpeu profond, doté de poissonfourrage, dépourvu de prédateurs et dont le niveau d'eau est stable). La récolte des brochetons issus de la fraie et la récupération des géniteurs s'effectuent simultanément par vidange à la fin mai. La R.N.A. a été miseen'oeuvreen 1980-81-82 dans des batteries de petits étangs (270-400 m2 ) situées au Paraclet (Somme) et dans La Dombes. Les performances de la R.N.A. ont été comparées aux résultats obtenus dans les mêmes milieux par alevinage classique (introduction d'une fratrie d'alevins en fin de résorption par étang) : 1. Les productions numériques moyennes de brochetons de 2-3 g ne diffèrent pas significativement entre les deux méthodes (Alevinage : 1,8 brochetons/m2 - R.N.A.: 2,3 brochetons/m2). 2. La variabilité inter-lots du nombre de brochetons par m2 est significativement plus élevée dans le cas de la R.N.A. (coefficient de variation c.v. : 47 % ; valeurs extrêmes : 0,9-4,0 brochetons/m2) que dans celui de l'alevinage (c.v. : 29 % ; extrêmes : 0,9-2,6 brochetons/m2). 3. Les biomasses moyennes de brochetons ne sont pas significativement différentes (Alevinage : 54 kg/ha - R.N.A. : 46 kg/ha). 4. Dans les conditions de mise en charge adoptées, la variabilité intra-lots du poids individuel des brochetons est en moyenne la même pour les deux méthodes (c.v. moyen : 30%). 5. Le taux de survie moyen du stade ovocyte au stade brocheton de 2-3 g est de l'ordre de 4% par R.N.A., ce qui correspond à une production d'environ 1 200 brochetons par kg de femelle. Ce taux de survie est élevé pour une reproduction naturelle, mais inférieur d'un facteur 1,3 à 5 aux taux obtenus par reproduction artificielle et alevinage. Cette différence pourrait cependant être en partie compensée par la survie élevée des géniteurs après R.N.A. : 81 % pour les femelles, 6 2% pour les mâles. Une tentative d'extension de la Reproduction Naturelle Aménagée à des étangs de 1 500-2000 m2 a été conduite au Paraclet en 1982 : la production moyenne (1,8 brochetons/m2 ; 61 kg/ha) a été sensiblement inférieure a celle obtenue dans des étangs-témoins alevinés (2,6 brochetons/m2 ; 81 kg/ha). La différence observée résulte très vraisemblablement d'une surcharge initiale dans les lots de R.N.A. Une meilleure adaptation de la mise en charge par géniteurs à cette catégorie d'étangs reste donc à définir. Ces différents résultats suggèrent que, dans de petits étangs enherbés propices à la fraie et sous réserve d'une mise en charge adéquate, la méthode de Reproduction Naturelle Aménagée peut constituer une variante de l'élevage extensif du brocheton aussi productive que l'alevinage classique. Dans les conditions où nous l'avons pratiquée, la R.N.A. s'est avérée être une technique reproductible, nedemandantqu'une main-d'oeuvre réduite et peu de technicité, et permettant de faire l'économie d'une écloserie. De plus, la survie élevée des géniteurs après la fraie permet d'envisager leur utilisation pendant plusieurs années consécutives

    Miniaturized Optical Microwave Source Using a Dual-Wavelength Whispering Gallery Mode Laser

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    Chinese Scholar Committee (CSC); Centre National d'Etudes Spatiales [60281/00]We report on the observation of a compact optical microwave source based on a whispering gallery mode (WGM) laser. The use of a single 160-mu m diameter erbium-doped glass microsphere and two half fiber tapers allows a dual single-mode laser emission around 1550 nm to be obtained. The generated beat note at 10.86 GHz has a linewidth of 22 kHz. This preliminary experimental demonstration shows the potentialities of erbium-doped WGM resonators for microwave generation

    Impacts of roads, hunting, and habitat alteration on nocturnal mammals in African rainforest

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    Nocturnal mammals are poorly studied in Central Africa, a region experiencing dramatic increases in logging, roads, and hunting activity. In the rainforests of southern Gabon, we used spotlighting surveys to estimate abundances of nocturnal mammal species and guilds at varying distances from forest roads and between hunted and unhunted treatments (comparing a 130-km2 oil concession that was nearly free of hunting, with nearby areas outside the concession that had moderate hunting pressure). At each of 12 study sites that were evenly divided between hunted and unhunted areas, we established standardized 1-km transects along road verges and at 50, 300, and 600 m from the road. We then repeatedly surveyed mammals at each site during 2006. Hunting had few apparent effects on this assemblage. Nevertheless, the species richness and often the abundance of nocturnal primates, smaller ungulates, and carnivores were significantly depressed within approximately 30 m of roads. Scansorial rodents increased in abundance in hunted forests, possibly in response to habitat changes caused by logging or nearby swidden farming. In multiple-regression models many species and guilds were significantly influenced by forest-canopy and understory cover, both of which are altered by logging and by certain abiotic variables. In general, nocturnal species, many of which are arboreal or relatively small in size (<10 kg), were less strongly influenced by hunting and more strongly affected by human-induced changes in forest structure than were larger mammal species in our study area
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