38 research outputs found

    Olfactory detection of prey by the termite-raiding ant Pachycondyla analis

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    The African termite-raiding ant Pachycondyla analis Latreille (Hymenoptera: Formicidae) organizes group raids on termites of the sub-family Macrotermitinae. Termites and ants occupy and share similar habitats, resulting in a co-evolutionary arms race between termites as prey and ants as predators. The present study explored whether P. analis uses semiochemical signaling cues to detect potential termite prey prior to and during raids. Ants’ responses to odors emitted from termites alone, termite gallery soil, and termites inside their galleries were tested using Y-tube olfactometer assays. The results showed that P. analis detected odors of termites and those of their galleries, and odors from termites inside their galleries were more attractive to both minor and major ant workers than odors from termites alone. The composition of these odor sources was identified using gas chromatography- mass spectrometry analysis. While the odors from termite gallery soils were compositionally richer (containing 13 compounds rather than nine from termites alone), those from the termites alone were quantitatively richer, releasing about six times more odors than gallery soil. Most of the compounds in the odor profiles were identified as hydrocarbons. Naphthalene, previously identified as an insect repellent, was also identified as a component of the odors from the gallery soil. These results demonstrate that odors play an important role in prey detection by P. analis.This research was funded in part by the Dutch SII through project 2004/09 Activity No. 10799 to icipe, The National Research Foundation (NRF), and a DAAD fellowship to AAY.http://www.insectscience.orgam201

    Densités et biomasses de Camponotus acvapimensis (Hym. Formicidae) dans une savane de Côte-d’Ivoire

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    Camponotus acvapimensis is the commonest species of terricolous ant found in the Lamto savanna of the Ivory Coast. Estmates of the population densities and standing crop biomasses for each cast have been made for the three major soil categories (Tables I a -c). The standing crop biomass (dry weight) of this species of ant averages 0.52 g/m2 in black soils, 0.47 g/m2 in ferralitic soils and 0.20 g/m2 in hydromorphic soils (Table II). The lack of suitable space appears to be the major limiting factor for the establishment of new colonies.L’étude quantitative des populations de Camponotus acvapimensis, espèce de fourmi la plus abondante dans une savane de Côte-d’Ivoire, a permis d’évaluer les effectifs et les biomasses de chacune des castes de l’espèce dans les divers faciès pédologiques. À titre d’exemple, on a estimé à 2,2 X 106 ouvrières, 1,1 X 105 mâles, 9 X 104 femelles et 6,9 X 105 larves les densités à l’hectare dans les sols argileux, domaine de prédilection de l’espèce (Tableaux Ia, Ib et Ic). Ceci fournit des biomasses respectives en poids frais de 1,42 g/m2 pour les ouvrières, 0,2 g/m2 pour les sexués et 0,6 g/m2 pour les larves. Les poids secs équivalents sont de 0,35, 0,04 et 0,12 g/m2. Les équivalents énergétiques des biomasses étant de 6,321 ± 0,185 kcal/g pour les ouvrières et de 5,499 ± 0,166 kcal/g pour les larves, la biomasse totale de C. aevapimensis représente une valeur énergétique de 3,200 kcal/m2. L’étude de l’implantation et de la densité par hectare des sociétés et des femelles essaimantes montre que l’espace est le facteur limitant l’expansion de cette fourmi ; aussi les sociétés tendent-elles à se remplacer nombre par nombre.Lévieux Jean. Densités et biomasses de Camponotus acvapimensis (Hym. Formicidae) dans une savane de Côte-d’Ivoire. In: La Terre et La Vie, Revue d'Histoire naturelle, tome 30, n°2, 1976. pp. 264-275

    Examples of studies on genetic resistance of forest trees to insect attacks

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    Brian, M. V. — Social Insect Populations. London, Academic Press, 1965

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    Lévieux Jean. Brian, M. V. — Social Insect Populations. London, Academic Press, 1965. In: La Terre et La Vie, Revue d'Histoire naturelle, tome 21, n°1, 1967. pp. 91-92

    Données préliminaires sur le peuplement en fourmis terricoles

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    The ant populations of the Lamto savanna have been studied during the rainy season of 1965. The distribution and number of ant colonies is mainly influenced by the soil conditions. In tropical ferrugineous soils, the dominant species is Campanotas acvapimensis, while Pheidole sp. is more abundant in the damp and sandy areas. In valleys a number of forest species (Odontomachus troglodytes, Psalidomyrmex sp.) are found, extending from the gallery forest. The black clays are inhabited by the same species as the tropical ferrugineous soils, but their relative abundance is different. On the average, about 7000 ant colonies per hectare are found in the Lamto savanna. Table V gives the maximum and average colony sizes of 12 species. Colony size in small Ponerine ants is much smaller than in larger species.L’étude du peuplement en Fourmis terricoles de la savane de Lamto a mis en évidence le rôle important joué par les caractéristiques des sols. Les sables ferrugineux tropicaux des plateaux abritent une faune savanicole africaine classique dominée essentiellement par Camponotus acvapimensis. A l’inverse, les sables de bas de pente, souvent à tendance hydromorphe et très humides, permettent l’établissement d’une nouvelle série d’espèces. Une Pheidole du groupe termitophila en est le représentant le plus caractéristique. L’installation de cette faune se fait au détriment des espèces des plateaux, qui régressent quantitativement. De plus, la présence fréquente des forêts-galeries le long des talwegs permet des infiltrations d’éléments en provenance de la forêt (Odontomachus troglodytes, Psalidomyrmex sp.). Les terres noires, de nature argileuse et entourées de tous côtés par les sables ferrugineux tropicaux, ont un spectre spécifique qui se rapproche de celui des sables des plateaux ; dans cette faune savanicole dominée elle aussi par C. acvapimensis, les diverses espèces sont toutefois représentées dans des proportions différentes. La densité du peuplement est au total de l’ordre de 7 000 fourmilières à l’hectare. L’effectif présent dans les nids de quelques espèces courantes a été déterminé. Bien que les valeurs obtenues soient évidemment très variables suivant l’espèce considérée, on peut noter que les Ponerinae de taille petite ou moyenne ont des populations bien moins importantes que ceux de grande taille.Lévieux Jean. Données préliminaires sur le peuplement en fourmis terricoles. In: La Terre et La Vie, Revue d'Histoire naturelle, tome 21, n°3, 1967. pp. 278-296

    Insert - Seed orchards and insects

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    Description de quelques nids de Fourmis de Côte d'Ivoire [Hym.]

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    Lévieux J. Description de quelques nids de Fourmis de Côte d'Ivoire [Hym.]. In: Bulletin de la Société entomologique de France, volume 70 (9-10), Novembre-décembre 1965. pp. 259-266

    Description de quelques nids de Fourmis de Côte d'Ivoire [Hym.]

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    Lévieux J. Description de quelques nids de Fourmis de Côte d'Ivoire [Hym.]. In: Bulletin de la Société entomologique de France, volume 70 (9-10), Novembre-décembre 1965. pp. 259-266
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