14 research outputs found

    Partureints' need of continous labor support in labor wards

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    No Abstract. The Ethiopian Journal of Health Development Vol. 21 (1) 2007: pp. 35-3

    Glycogénose type : approche clinique, dépistage et prise en charge thérapeutique des enfants avec troubles neurocomportementaux à Kinshasa: Glycogenosis type : clinical approach, screening and therapeutic management of children with neurobehavioral disorders in Kinshasa

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    Contexte. La glycogénose de type 1 est une maladie du métabolisme intermédiaire due à une anomalie de la fonction de l‟enzyme Glucose-6-hosphatase (G6Pase). Cette enzyme intervient à l‟étape ultime de la régulation glycémique de l‟organisme en permettant à la fois le bon fonctionnement des deux voies, la glycogénolyse et la néoglucogenèse. Le déficit fonctionnel de G6Pase a pour conséquence l‟installation des épisodes d‟hypoglycémie de jeûne court avec des conséquences sur le Système Nerveux Central (SNC). L‟atteinte de ce dernier peut être à la base des anomalies entre autres des troubles neurocomportementaux.En République Démocratique du Congo, on estime que 2% d‟enfants sont handicapés ; mais les étiologies qui ont conduit à ces handicaps ne sont pas toujours élucidées.Objectifs. L‟objectif de la présente étude était d‟améliorer la prise en charge des troubles neurocomportementaux observés chez l‟enfant de la ville de Kinshasa. De façon spécifique ce travail va identifier les enfants avec troubles neurocomportementaux, puis déterminer des marqueurs cliniques et biologiques suggestifs de glycogénose type 1, confirmer ensuite le diagnostic par la biologie moléculaire et, enfin proposer des moyens thérapeutiques adéquats notamment la fécule de maïs car riche en polymère de glucose (Maïzena®).Méthodes. D‟avril 2016 à mai 2017, les enfants âgés moins ou égal à 15 ans fréquentant dans les institutions de rééducation spécialisées de la ville de Kinshasa ont été soumis à un examen clinique par des spécialistes. Il s‟est agi des enfants des centres scolaires « Villages Bondeko », « Bon Départ » à Limété et centre pour handicapés mentaux de Lemba et Mbinza IPN (Professeur MUKAU). Seuls les enfants répondant aux critères cliniques et biologiques suggestifs de Glycogénose type 1 (hyperlactacidémie associée à une hypoglycémie de jeûne court) ont bénéficié des analyses génétiques après consentement écrit et avis du Comité d‟Ethique. Les examens biologiques de base (glycémie, lactatémie, triglycéridémie) ont été réalisés en ambulatoire tandis que les analyses génétiques ont été effectuées dans le laboratoire de génétique du professeur LABRUNNE à Paris.Résultats. Cent vingt-cinq enfants ont été éligibles et seuls 45 ont bénéficié du bilan génétique. Les résultats préliminaires montrent une tendance vers la corrélation entre les troubles neurocomportementaux (retard mental, trouble de mémoire, signes autistiques) et les 7 mutations isolées décrites. Néanmoins, l‟étude se poursuit afin de proposer des signes cliniques très suggestifs de la glycogénose type 1 chez ces enfants qui ont sûrement survécu aux accès aigues mais qui portent les conséquences des épisodes insidieux et répétitifs d‟hypoglycémie. Ces signes cliniques et biologiques pourraient permettre de porter le diagnostic de glycogénose type 1 et d‟entamer le traitement par l‟administration de fécule de maïs (Maïzena) avant la confirmation par la biologie moléculaire.Conclusion. Les troubles neurocomportementaux sont d‟étiologies diverses : certaines sont bien connues (infectieuses, anomalies de caryotypes, traumatiques) mais celles liées au métabolisme intermédiaire ne sont pas suffisamment explorées. La glycogénoses type 1, par les accès d‟hypoglycémie qu‟elle entraine peut influer sur les anomalies neurocomportementales observées chez les enfants de la ville de Kinshasa. Cette étude pourra suggérer des solutions thérapeutiques pour tout nourrisson présentant des signes insidieux d‟hypoglycémie et chez les grands enfants des troubles neurocomportementaux

    Infection néonatale bactérienne précoce : Quand mettre sous antibiotique et quelle antibiothérapie ? Early bacterial neonatal infection: When to indicate antibiotic treatment and what antibiotic therapy ?

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    Objective. Propose a relevant management strategy that can identify newborns with a bacterial infectious risk and those under clinical monitoring alone or in combination with parenteral antibiotic therapy.Methods. Retrospective study carried out between SA < 42, suspected of early bacterial infection and monitored in Maternity and in the Neonatology Unit of the Hospital Group Carnelle Portes of Oise [Val France]. The clinical-biological and bacteriological data, the therapeutic strategy and the evolution are analyzed. Results. Two hundred and forty newborns were eligible and divided into three groups: 120 asymptomatic newborns with antenatal criteria for bacterial infectious risk [G1NAS], 70 symptomatic newborns with antenatal criteria for bacterial infectious risk [G2NSCARIB] and 50 symptomatic newborns without antenatal criteria of bacterial infectious risk [G3NSSCARIB]. Inflammatory biology is limited tocolonized G1NAS newborns and symptomatic groups. The identified bacteria [Peripheral samples, gastric fluid, blood and cerebrospinal fluid] were mainly the Streptococcus of the group and the E Coli. Antibiotic therapy has been shown to be useful in asymptomatic newborns with inflammatory syndrome and bacteria identified on peripheral samples and gastric fluid, but  also in all symptomatic newborns. Conclusion. In a early bacterial infection, an interventionist attitude is required, but early antibiotic therapy is only useful in the situation of symptomatic newborns. On the otherhand, in the asymptomatic newborns, antibiotic therapy will be reserved for those carrying both an identified bacteria and an inflammatory syndrome. Contexte et objectif. L‟infection nĂ©onatale bactĂ©rienne prĂ©coce est greffĂ©e d‟une forte mortalitĂ© et morbiditĂ© conduisant Ă  une antibiothĂ©rapie probabiliste sans dĂ©lai souvent Ă  posteriori inutile. L‟objectif du prĂ©sent travail Ă©tait de proposer une stratĂ©gie de prise en charge pertinente susceptible de bien identifier les nouveau-nĂ©s Ă  risque infectieux bactĂ©rien et ceux relevant d‟une surveillance clinique seule ou associĂ©e Ă  une antibiothĂ©rapie parentĂ©rale.    MĂ©thodes. Etude documentaire menĂ©e entre janvier 2014 et janvier 2016 sur des nouveau-nĂ©s de 36≥SA<42, suspects d‟infection bactĂ©rienne prĂ©coce et suivis en MaternitĂ© et dans l‟unitĂ© de NĂ©onatologie du Groupe Hospitalier Carnelle Portes de l‟Oise [Val D‟Oise, France]. Les donnĂ©es clinico-biologiques et bactĂ©riologiques, la stratĂ©gie thĂ©rapeutique et l‟évolution sont analysĂ©es.  RĂ©sultats. Deux cent quarante nouveau-nĂ©s [NNES] ont Ă©tĂ© Ă©ligibles et repartis en trois groupes : 120 NNES asymptomatiques avec critères antĂ©natals de risque infectieux bactĂ©rien [G1NAS], 70 NNES symptomatiques avec critères antĂ©natals de risque infectieux bactĂ©rien [G2NSCARIB] et 50 NNES symptomatiques sans critères antĂ©natals de risque infectieux bactĂ©rien [G3NSSCARIB]. La biologie inflammatoire est limitĂ©e aux NNES du groupe G1NAS colonisĂ©s et aux groupes symptomatiques. Les germes identifiĂ©s [PrĂ©lèvements pĂ©riphĂ©riques, liquide gastrique, sang et liquide cĂ©phalorachidien] ont Ă©tĂ© principalement le Streptocoque du groupe β et l‟E Coli. L‟antibiothĂ©rapie s‟est avĂ©rĂ©e utile chez les NNES asymptomatiques avec syndrome inflam-matoire et germes identifiĂ©s sur les prĂ©lèvements pĂ©riphĂ©riques et liquide gastrique, mais aussi chez tous les NNES symptomatiques.                                                                    Conclusion. Chez un NNE âgĂ© de ≥ 36SA et suspect d‟infection bactĂ©rienne prĂ©coce, une attitude interventionniste est de rigueur, mais l‟antibiothĂ©rapie sans dĂ©lai n‟est utile que dans les situations des NNES symptomatiques. En revanche, chez les NNES asymptomatiques, l‟antibiothĂ©rapie sera rĂ©servĂ©e Ă  ceux porteurs Ă  la fois d‟un germe et d‟un syndrome inflammatoire

    Quality of post-abortion care in public health facilities in Ethiopia

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    No Abstract. Ethiopian Journal of Health Development Vol. 22 (1) 2008: pp. 26-3

    Dabat rural health Project, North West Ethiopia: Report of the baseline survey

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    Blood Donation and Associated Factors Among Employees Working at Negele Arsi General Hospital and Medical College, Southeast Ethiopia: A Cross-sectional Study

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    Ashebir Nigussie Yirgu,1 Kassim Hussien Mohammed,2 Sisay Degno Diriba,3 Abdella Kumbi Babso,4 Abdella Amano Abdo5 1Negele Arsi General Hospital and Medical College, Department of Anesthesia, Negele Arsi, Ethiopia; 2Department of Sociology, Negele Arsi General Hospital and Medical College, Negele Arsi, Ethiopia; 3MaddaWalabu University, Shashemene Campus, School of Health Science, Department of Public Health, Shashemene, Ethiopia; 4Negele Arsi General Hospital and Medical College, Department of Gynecology and Obstetrics, Negele Arsi, Ethiopia; 5Hawassa University, College of Medicine and Health Science, School of Public Health, Hawassa, EthiopiaCorrespondence: Ashebir Nigussie Yirgu Email [email protected]: Blood is a specialized body fluid in humans. Securing voluntary, nonpaid blood donation is an important national goal to prevent blood shortages. The donated blood plays a big role during surgery, accidents, delivery, bleeding cases, and the like. Currently, in many developing and developed countries, the blood supply is critically insufficient. Hence, the aim of this study was to assess the practice of blood donation and associated factors among employees (clinical and nonclinical) at Negele Arsi General Hospital and Medical College.Methods: A facility-based cross-sectional study was conducted from August 1 to 20, 2020. Self-administered and interview-administered questionnaires were used to collect the data. A stratified sampling method was employed to select 122 participants. Data were entered into EpiData 3.1 software and the analysis was done using SPSS version 25. Bivariable and multivariable binary logistic regression analysis with 95%CI was carried out.Results: Among 122 employees who participated in the study, 39% have ever donated blood. Clinical staff were eight times more likely to donate blood compared to nonclinical staff (AOR=7.81, 95%CI: 2.15– 28.39). Those who had one to five years work experience were 85% (AOR=0.15, 95% CI:0.03-0.74) less likely to donate blood compared to > 11 years of work experience.Those with inadequate knowledge were 71.0% (AOR=0.29, 95%CI: 0.09– 0.89) less likely to donate blood compared to those with adequate knowledge. Those with an unfavorable attitude were 68.0% (AOR=0.32, 95%CI: 0.11– 0.92) less likely to donate blood compared to those with a favorable attitude.Conclusion: Generally, blood donation practice was low in the study area. The professional category, work experience, knowledge, and attitude were significantly associated with the practice of blood donation. Therefore, a blood donation campaign should be prepared to strengthen the practice.Keywords: blood donation, practice, associated factors, employees, hospital, Negele Ars
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