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    Gérard Siegwalt, Dieu est plus grand que Dieu. Entretiens avec Lise d’Amboise et Fritz Westphal

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    Gérard Siegwalt (GS), professeur honoraire de la Faculté de théologie protestante de Strasbourg a publié, de 1986 à 2007, une Dogmatique pour la catholicité évangélique, en 10 volumes co-édités par les éditions Labor et Fides et les éditions du Cerf – une œuvre majeure, déjà plusieurs fois honorée par des colloques à l’Université Laval au Canada et par une thèse soutenue à l’Université de Strasbourg en mars 2012. Avec le recul, c’est dans le cadre d’entretiens avec Lise d’Amboise, formatrice ..

    Vie de la Faculté

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    Knaebel Simon. Vie de la Faculté. In: Revue des Sciences Religieuses, tome 72, fascicule 2, 1998. pp. 236-237

    Vie de la Faculté

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    Knaebel Simon. Vie de la Faculté. In: Revue des Sciences Religieuses, tome 71, fascicule 2, 1997. pp. 253-254

    Vie de la Faculté

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    Knaebel Simon. Vie de la Faculté. In: Revue des Sciences Religieuses, tome 73, fascicule 2, 1999. Aspects de la Bible grecque, sous la direction de Jan Joosten et Philippe Le Moigne. pp. 229-230

    Ch. Wackenheim, Entre la routine et la magie, la messe, 1982

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    Knaebel Simon. Ch. Wackenheim, Entre la routine et la magie, la messe, 1982. In: Revue des Sciences Religieuses, tome 57, fascicule 2, 1983. pp. 164-165

    Guiseppe Alberigo (discours pour le doctorat honoris causa)

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    Knaebel Simon. Guiseppe Alberigo (discours pour le doctorat honoris causa). In: Revue des Sciences Religieuses, tome 71, fascicule 2, 1997. pp. 230-232

    Vie de la Faculté

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    Knaebel Simon. Vie de la Faculté. In: Revue des Sciences Religieuses, tome 72, fascicule 2, 1998. pp. 236-237

    Mort de Dieu, déconstruction du christianisme et manipulation de Dieu

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    La déconstruction du christianisme n’est pas sa destruction. Près de deux mille ans de théologie chrétienne ont certes abouti, aux yeux de Kant, de Hegel et de leurs héritiers, à une « clôture de la métaphysique », une « fin de l’onto-théologie » et à la « mort de Dieu ». La réflexion que Jean-Luc Nancy mène depuis près de trente ans à ce sujet ne requiert, de son propre aveu, ni rejet ni réception pure et simple du christianisme. La théologie des cinquante dernières années a largement pris en compte les critiques qui ont été adressées à la théologie métaphysique. Elle a apporté des réponses à ces critiques. Notamment les notions de kénose, de théologie de la Croix ainsi que l’exploitation de la notion kierkegaardienne de christianité représentent un ensemble de réflexions d’après-mort de Dieu sur l’avenir de la foi chrétienne dont le motif central, qu’il reste à penser, est plus que jamais l’incarnation. Ces notions pointent en direction de ce qui échappe à toute emprise et font du christianisme ou, plutôt, de la christianité, un point de départ de la pensée perpétuellement vivant.The deconstruction of Christianism is not its destruction. Almost two thousand years of Christian theology have indeed resulted, according to Kant, Hegel and their followers, in a « closure of metaphysics », the « end of onto-theology » and the « death of God ». The reflection that Jean-Luc Nancy has led on this subject for almost thirty years does not require, by his own admission, either mere rejection or mere reception of Christianism. The theology of the past fifty years has largely taken into account the criticism that has been leveled against metaphysical theology and it has contributed some responses to these critiques. Notably the notions of kenosis, of theology of the Cross, as well as the development of Kierkegaard’s notion of Christianity as a set of reflections succeeding the death of God about the future of Christian faith, whose main motif, and the sole remaining to be pursued, is more than ever the Incarnation. These notions point to that which escapes all control and make of Christianism, or rather of Christianity, a point of departure of the ever-living thought

    Giordano Bruno et la théologie

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    It is paradoxical that the present of the philosopher, scholar and researcher Giordano Bruno goes hand in hand with the past of his theology. If it is perfectly well known that Bruno would not have been burned in our day, his theology remains nonetheless marked by the state of the sciences and cosmology in his own day. To return to his theology now, over and above commemorating his death, allows us to judge the power and the radical nature of the evolution which has taken place over the four centuries which separate us from the tragic death of the Nolan, burned in Rome on 17th February 1600. Starting with contemporary theological epistemology, the article weighs the distinctiveness of Bruno, situating him first within his own epoch, and then within the evolution which has taken place up to our own time.Le paradoxe veut que l'actualité du philosophe, savant et chercheur Giordano Bruno aille de pair avec l'inactualité de sa théologie. S'il est parfaitement acquis qu'on ne brûlerait plus Bruno aujourd'hui, sa théologie reste marquée par l'état des sciences et la cosmologie de son temps. Y revenir présente, par-delà la commémoration de sa mort, l'intérêt de pouvoir juger de la puissance et de la radicalité des évolutions qui ont eu cours pendant les quatre siècles qui nous séparent de la mort tragique du Nolain brûlé à Rome le 17 février 1600. Partant de l'épistémologie théologique contemporaine, l'article prend la mesure de la différence de Bruno et le situe d'abord dans son temps puis dans l'évolution qui a eu lieu jusqu'à nous.Knaebel Simon. Giordano Bruno et la théologie. In: Revue des Sciences Religieuses, tome 73, fascicule 1, 1999. pp. 80-93
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