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    Gestion intégrée des petits réservoirs à vocation multi-usage dans le bassin de la Volta Un volet du Défi pour le développement du Bassin de la Volta pour phase 2 du CPWF

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    Le Challenge Program on Water and Food (CPWF) vise à l’amélioration de la gestion de l'eau afin de sécuriser et d’accroître la production alimentaire. Pendant sa première phase, un projet "petits réservoirs" (http://www.smallreservoirs.org/), a été mené dans trois bassins subtropicaux, dont le bassin de la Volta en Afrique de l’Ouest (http://cpwfbfp.pbworks.com/w/page/5926948/FrontPage). Par ailleurs, une synthèse des connaissances et une analyse prospective des besoins en termes de recherche a été conduite, toujours sous l’égide du CPWF (BFP Volta, http://hal.ird.fr/ird-00505116/fr/ ). Suite à ces travaux, le CPWF a lancé une seconde phase de projets centrée sur des "Basin Development Challenges" (défis de développement à l’échelle des grands bassins hydrographiques), dont l’un concerne spécifiquement le bassin de la Volta. Chaque BDC s’est appuyé sur les résultats de la première phase du CPWF, et a été défini à la suite d’une consultation conduite en 2009 auprès de l’ensemble des acteurs concernés (exploitants et producteurs, gestionnaires, agences de développement, chercheurs, etc.). Les principaux produits attendus de cette nouvelle vague de travaux visent à démontrer qu’il est possible de réduire la pauvreté rurale récurrente et d’accroître les revenus des paysans, et qu’il existe des moyens d’augmenter la résilience des sociétés rurales et de leur environnement face aux changements globaux qui les affectent directement. Pour la Volta, le "challenge" est d'augmenter la productivité et de réduire la pauvreté en focalisant les travaux sur la gestion intégrée des systèmes agro-pastoraux et celle des petits réservoirs dans un contexte multi-usages

    Relationship between soil water content and crop yield under sahelian climate conditions: case study of Tougou experimental site in Burkina Faso

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    This study aims at assessing the relationship between soil water stock and the yield of agricultural practices in Tougou catchment located in northern Burkina Faso. It is a region that has experienced a significant and continuous degradation of its natural resources, especially soils, due to the climate variability and the rapid increase of the population. Areas allocated to subsistence agriculture are increasing at the expense of pastoral land. This degradation causes a change in processes and mechanisms that control ecological systems. In order to provide solutions to this issue, some agricultural practices have been implemented to improve crop yield. This is particularly the case of traditional techniques:za, stony line and half-moon, which can significantly improve the soil infiltration capacity and yield. Daily monitoring of soil moisture and pressure in experimental plots based on these agricultural practices show that half-moon and ZaÂŻ provided good yield with 2180kg / ha and 1070 kg / ha respectively compared to that of the control plot with about 480 kg/ha. These important yields are due in large part to the improvement of the retention capacity of these soils, thus giving to crops the necessary water need for their development even in drought period

    Initial lists of AMMA-2050 user-relevant climate metrics

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    AMMA-2050 (African Monsoon Multi-disciplinary Analysis 2050) will improve understanding of how the West African monsoon will be affected by climate change in the coming decades – and help West African societies prepare and adapt

    Impact of Drought and Land – Use Changes on Surface – Water Quality and Quantity: The Sahelian Paradox

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    International audienceAfrique de l'Ouest a connu des conditions de sĂ©cheresse depuis la fin des annĂ©es 1960. Cette tendance a Ă©tĂ© particuliĂšrement Ă©vident dans le Sahel, mais semble avoir attĂ©nuĂ© dans la derniĂšre dĂ©cennie dans les rĂ©gions orientales et centrales de cette rĂ©gion. D'autre part, la pluviomĂ©trie annuelle reste trĂšs faible dans la partie ouest du Sahel [ 1 ]. Une diminution correspondante a Ă©galement Ă©tĂ© observĂ© dans le dĂ©bit moyen annuel des fleuves SĂ©nĂ©gal et Niger, qui sont le plus grand dans la rĂ©gion et principalement alimentĂ© par l'eau provenant de rĂ©gions tropicales humides. Toutefois, le pourcentage de diminution du dĂ©bit annuel moyen Ă©tait presque deux fois plus grande que la diminution des prĂ©cipitations [ 2 ] pour la pĂ©riode 1970-2010. Des tendances similaires ont Ă©tĂ© observĂ©es sur des rĂ©seaux hydrographiques plus petits. En revanche, mĂȘme si le Sahel et la plupart de l'Afrique de l'Ouest ont connu la sĂ©cheresse aussi importante au cours des 40 derniĂšres annĂ©es, les coefficients de ruissellement et des dĂ©bits d'eau ont augmentĂ© dans la plupart des rĂ©gions du Sahel. Ce phĂ©nomĂšne a Ă©tĂ© appelĂ© «Le Sahel Paradox" aprĂšs l'augmentation de la nappe phrĂ©atique au Niger depuis les annĂ©es 1960, a Ă©tĂ© nommĂ© le paradoxe de Niamey et attribuĂ©s Ă  des changements importants dans l'utilisation des terres. Le les (Afrique multidisciplinaire de la mousson d'analyse) programmes AMMA HAPEX-Sahel (hydrologique et ExpĂ©rience atmosphĂ©rique pilote) et ont fourni, parmi de nombreux rĂ©sultats complets, les mesures de valeur portant sur les variations spatiales et temporelles de la teneur en eau du sol sahĂ©lienne ainsi que de l'infiltration de l'eau Ă  travers les couches profondes du sol de la zone non saturĂ©e. Le but de ce chapitre est de fournir un aperçu du comportement hydrologique en Afrique de l'Ouest basĂ©e sur le point, locale, mĂ©so et Ă©chelles rĂ©gionales observations
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